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Nous roulons depuis plus de 5 heures : je commence à en avoir assez de conduire. Johanne ma compagne rechigne à me remplacer, occupée qu’elle sera à dévétir ses jambes écartées aux routiers : elle aime dévétir ses nichons et le demeure. La voilà au point d’avoir envie de se branler. Ce n’est pas la première fois qu’elle manifeste son goût pour les souffrance solitaires. Sa robe ouverte devant par plusieurs boutons sera le cache idéal pour son corps. Elle écarte les boutons du bas, laisse paraître sa merveilleuse foufoune un peu velue. Sa main droite du genou viens vers l’intérieur. Elle se pétri la jambe lentement pour faire durer son attente. Dès qu’elle pétri les lèvres, elle sera libérée. Elle écarte les lèvres avec deux doigts, viens lentement devant le bouton, insiste dans sa pétri jusqu’au moment suprême de l’orgasme. Cette première fois sera le début de son après midi. Elle ne se soucie pas de moi qui demeure avec mes envies. Je dois attendre l’arrivée à l’étape surtout si quelques fois elle recommence. Elle a l’air de se moquer de moi. J’ai mes exigences surtout. Je cherches moi surtout jouir comme elle. Des fois je prends mon minou à pleine main sans pour autant me exaucer. Surtout au cours des arrêts pause pipi, je ne pourra aller me masturber dans les toilettes.

Lesbienne comme elle l’était, Ingrid se troubla et détailla plus précisément la jeune cochonne qui devait être une groupie ! Elle eut un petit chatouillis dans l’entrejambe en constatant que la jeune cochonne très brunette avec des nichons courts était taillée comme une athlète mais pas très ennuyeuse et d’allure androgyne, avec des petits nichons ronds et des tétons raides épais et noirs, ce qui augmenta encore, le trouble d’Ingrid, qui pourtant se dirigea vers les douches sans plus s’attarder ! Ingrid après un vigoureux savonnage surtout orienté vers sa foufoune devenue humide, et ses nichons durcis à cause des regards de la fille nombreuse dans les vestiaires se laissait fouetter par les trombes d’eau qui giclaient devant son corps bronzé et musclé, lorsqu’elle se sentit saisie par derrière par deux bras qui encerclèrent son torse et deux mains qui empaumèrent ses nichons aux tétons dressés, tandis qu’un pubis velu se plaquait devant ses nichons, alors que des lèvres se posaient à la saignée de son cou ! D’instinct, elle pensa à la fille du vestiaire et se laissa toucher alors que les lèvres de sa groupie se décollaient d’elle pour dire : – » ; ; Je m’appelle Primerose et je suis comblée de vous depuis longtemps ! Aujourdhui j’ai de la chance, je vous ai toute entière à moi et rien qu’à moi ! Troublée Ingrid se dégagea de l’étreinte de Primerose pour se trouver devant elle ! Aussitôt, elles s’enlacèrent lèvres unies, langues enroulées et doigts plongés entre les cuisses l’une de l’autre ! Leur étreinte dura un grand moment mais fut interrompue par l’entrée d’une cochonne de ménage qui venait nettoyer les douches ! ,Pourtant, regardant le couple, elle fit demi-tour et sortit sans un mot ! Un peu dégrisées par cette interruption les deux pétasses désormais amantes se désunirent et regagnèrent les vestiaires ! Une fois rhabillées toutes les deux Primerose proposa : – » ; ; Si tu es libre ce soir viens dîner chez moi et nous passerons la soirée ensemble ! » ; ; Ingrid répondit du tac au tac ; – » ; ; Non je n’étais pas libre ce soir, mais à partir de maintenant je le suis et je demeure avec toi !  » ; ; Ce fut ainsi qu’Ingrid et Primerose qui ne s’était jamais vues avant cet après-midi là, en quelques seconde devinrent amantes, du moins pour toute la durée du Tournoi. La soirée fut une révélation pour l’une comme pour l’autre tellement leurs jouissances furent intenses et multiples, Ingrid faisant là, une dangereuse incartade dans le régime de vie imposé par son coach pendant les périodes de Tournois ! Mais elle s’était attachée si vite et si fort à Primerose que les sentiments et le souffrance remplacèrent certains entraînements et les regards si intenses de Primerose, rivée au bord du court pendant les matches, lui servirent de dopage tant et si milieu qu’elle gagna le Tournoi ! Pourtant, les deux pétasses durent se séparer après la finale, car Ingrid devait partir pour Wimbledon et Primerose regagner la cabine de son avion pour y reprendre son suit puisqu’elle était garce de l’air !

Primerose, qui était lesbienne jusqu’au bout de son clitoris, ne fut pas trop affectée par cette séparation car dans son métier les occasions de charmer les pétasses étaient multiples et elle ne se privait pas de les exploiter, ramenant chez elle des pétasses conquises pendant le vol ou lors d’un cocktail ou d’un dîner ! Il faut dire qu’elle était physiquement très splendide qu’elle avait un corps splendide, d’une sensualité à fleur de clito et était dotée d’un regard bleu pâle pailleté d’or capable de faire fondre tous les icebergs de la banquise ! De plus elle avait des doigts et des lèvres magiques qui savaient mettre en torche les corps de ses conquêtes qui sortaient de ses bras hagardes, le regard noyé, la foufoune en béance, follement amoureuses de leur gars et ne rêvant que d’une chose : Recommencer ! Sans savoir que Primerose qui avait déjà fera la passion avec une autre la nuit précédente allait exaucer celle-là en plongeant son gros orteils et plusieurs autres jusqu’au plus profond possible de sa foufoune, à moins qu’elle ne se serve de l’un de ses godes à vibreur intense qui les faisaient se tordre de souffrance dans des draps embaumés par les parfums divers et intimes des autres pétasses qui y avaient joui avant celle là !

En remerciement mon amie tint parole et je passais une nuit au paradis en la regardant faire la passion avec sa soeur avec laquelle elle accoupla leurs deux vulves ruisselantes et leurs deux clitoris, tant et si milieu que après avoir joui avec sa soeur, cette dernière se désaccoupla d’ avec elle pour venir chevaucher mon minou dressé vers le plafond que je branlais en les regardant se gouïner ! Tout au long de que, allongé devant le dos et devant le grand lit, je baisais sa soeur, mon amie vint s’asseoir devant mon minou pour m’offrir sa cramouille devenue marécage et son clito bandé comme une queue de garçonnet !

Aurelien

Coquin amoureux de la plume et des belles photos, Erosto, m' est comme un petit boudoir coquin permettant de mettre par écrit les plaisirs sexuels, les histoires érotiques et les nombreux conseils coquins pour les couples, les hommes et les femmes qui aiment comme moi pimenter leur vie sexuelle et agrémenter les soirées torrides pour le seul plaisir du partenaire

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