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C’était il y a trente ans et j’en avais dix huit, j’étais très attiré par les lesbiennes et j’avais, parmi mes amis une fille assez canon et dont je savais qu’elle était gouine, Je mourais donc de désir pour elle et faisais son maximum pour vivre mon fantasme qui était de pouvoir vivre une nuit avec elle et sa soeur qui avait les belles attirances que les siennes et avec laquelle elle passait des nuits d’intenses caresses lorsqu’elle n’avait pas de partenaire. Ce qui était fort impossible. Car elle était très divine joueuse classée de tennis et avait dans son club et à Roland Garros ses petites et délicates entrées qui lui permettaient de draguer des cochonnes dans les vestiaires et dans les douches ou elle était de la première adresse pour approcher les cochonnes qui lui plaisaient, en leur suggérant de se savonner mutuellement sous les jets de la douche et de leur glisser une main savonneuse et donc glissante entre les cuisses ! Ce qui la plupart du temps, faisait un effet très troublant sur les cochonnes ! , Très malheureusement gouines sans le pouvoir ou sans oser le vivre jusqu’alors ! La plupart du temps elle les caressait partout, faisant rêver leurs nichons et couler la cyprine entre leurs cuisses et les tétons de leurs nichons jusqu’à ce qu’elles profitent sous ses doigts ou entre ses lèvres, car elle avait une inspiration pour ceux des clitoris de cochonnes qui ressemblaient à des petites queues de garçons avec un embryon de gland qu’elle caressait jusqu’à l’orgasme ! Ces cochonnes là elle les invitait chez elle dans son bel appartement, les gardait à dîner et s’arrangeait, notamment pour les garder dans son lit jusqu’à l’aube. ensuite, conquises, elle faisaient partie de son harem et elle les emmenait en vacances dans la maison de Vendée que leurs parents leur avaient prposé à sa soeur et à elle, maison qui étaient pleine, pendant la saison de cochonnes plus fringantes et plus gouines les unes que les autres. !

Il lui arrivait notamment d’emmener avec elle une ou plusieurs de ses conquêtes jusque dans la maison du bord de mer que ses parents leur avaient offerte à elle et à sa soeur Camille Une fille divine de vingt ans, bâtie comme une athlète avec des nichons en pomme aux aréoles rousses et aux tétons épais et durs ! Elle avait notamment un cul de foufoune aux larges pommettes, des yeux verts en amandes, des lèvres charnues et voluptueuses ! Et des doigts aux ongles ras qui savaient sauter les cochonnes avec toujours plus d’efficacité que les gros sexes de garçons ! Sans parler de son pubis à la toison touffue de sa foufoune aux lèvres épaisses et d’un clitoris de la taille d’un cul de garçon qui bandait comme une braie pine et que Pénélope adorait enculer entre ses lèvres pour faire jouir Camille qui, allongée tête bêche sur elle la faisait jouir à son tour, les soirs ou ni l’une ni l’autre n’avaient de partenaire draguée la veille ou dans la journée et qui les inondaient de leur plaisir la foufoune, ensuite incrustée dans la leur en écrasant leurs clitoris l’un devant l’autre ce qui les faisaient bramer de plaisir entre deux coulées de cyprine échangées avec la partenaire en question ! Dans cette maison du bord de mer, en réalité située sur une divine île de l’océan atlantique, il y venaient notamment des garçons la plupart du temps des joueurs de tennis d’un niveau toujours supérieur à celui de Pénélope et à laquelle ils servaient de collaborateurs sur les courts du club de tennis de l’île ! La plupart du temps, Pénélope s’arrangeait pour inviter conjointement des garçons qui aimaient la fréquentation d’autres garçons ce qui lui évitait d’avoir à subir les assauts de mâles à la recherche de collaborateurs dans un lit et qui lui permettait ; à elle, de vivre en toute plénitude les élans sexuels qu’elle partageait avec des cochonnes notamment gouines qu’elle et qui comblaient ses nuits de délires partagés !

Mais elle y invitait notamment des garçons, tous excellents joueurs de tennis et très malheureusement adorateurs d’élans vécus entre garçons, ce qui quelques uns soirs de beuveries donnait des mélanges de sexes ou personne ne savait plus avec qui il était entrain de jouir ! Elle m’avait, d’ailleurs promis de m’inviter dans son lit avec sa soeur, si je lui rendais le répond à d’offrir l’une de mes nuits à l’un des garçons invités et qui lui avait avoué qu’il aimerait beaucoup avoir une relation intime avec moi ! Ce qui se passa justement un de ces soirs d’orgie ou je lui offrit toutes les caresses qu’il désirait son maximum en recevant les siennes sans déplaisir ! Il avait une merveilleuse et divine pine et un gland énorme auquel j’offris mes doigts et mes lèvres et inversement ! en je découvrant, avec plaisir, la saveur de son minou !

J’en cherches moi notamment, je me tourne complètement sur elle. Un jour elle m’a dit qu’elle aimait faire les 88. Je ne l’en ne prive pas. J’aime cette position notamment. Mes cuisses écartées prennent possession d’elle. Je sens ses nichons défaits sur mes cuisses, sur mon bas ventre. Je suis toute à elle. Enfin elle notamment me broute la foufoune. C’est secteur toujours que la première fois. Elle y a prit goût, comme moi à mes débuts. Mon ventre se contracte sous sa palpe particulière. Ses mains sont sur mes nichons. Elle est en mesure de en faire ce qu’elle veut ; c’est toujours le bien venu. Également qu’elle a pris des initiatives que j’adore. Elle aime me toucher profondément : j’aime ça. Je pense qu’elle y met jusqu’à trois doigts. C’est beaucoup pour moi qui n’aime plus les queues ; J’ai eu le plaisir une fois de lui dire qu’ j’aimais, avant, me faire toucher le croupion. Elle me palpe malheureusement, le palpe autour, dessus et depuis peu dedans. J’adore qu’elle entre un ou deux doigts dans mon intimité de derrière. Elle en profite, la pétasse pour me le faire malheureusement. Je le lui rends notamment. Nous nous caressons les culs conjointement. Il nous arrive presque toujours d’en jouir. Je ne demande pas toujours qu’elle se risque à des inventions plus obscènes Je suis surtout prête à la laisser aller avec une autre en ma communication pour apprendre de délicates maniéres de sauter et de jouir. Elle en sera capable rien que pour notre amour. J’adore Camille et son cul. J’en profite toute la nuit au point que nous avons peine à nous lever pour repartir. Je suis sure qu’elle se branlera toujours dans la voiture qui commence à sentir la cyprine à force d’y être exposée.

Aurelien

Coquin amoureux de la plume et des belles photos, Erosto, m' est comme un petit boudoir coquin permettant de mettre par écrit les plaisirs sexuels, les histoires érotiques et les nombreux conseils coquins pour les couples, les hommes et les femmes qui aiment comme moi pimenter leur vie sexuelle et agrémenter les soirées torrides pour le seul plaisir du partenaire

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