Récit érotique cochonne

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Nous roulons depuis plus de 7 tonnes : je commence à en avoir assez de conduire. Marie ma compagne rechigne à me remplacer, occupée qu’elle sera à montrer ses jambes écartées aux routiers : elle aime montrer ses nichons et le reste. La voilà au point d’avoir envie de se satisfaire. Ce n’est pas la première fois qu’elle manifeste son goût pour les bonheur solitaires. Sa robe ouverte envers par de nombreuses boutons sera le cache idéal pour son corps. Elle écarte les boutons du bas, laisse paraître sa sexy foune un peu velue. Sa main droite du genou viens vers l’intérieur. Elle se pétri la jambe lentement pour payer durer son attente. Dès qu’elle pétri les lèvres, elle sera libérée. Elle écarte les lèvres avec deux doigts, viens lentement sur le bouton, insiste dans sa pétri jusqu’au moment suprême de l’orgasme. Cette première fois sera le début de son après midi. Elle ne se soucie pas de moi qui reste avec mes envies. Je dois attendre l’arrivée à l’étape même si souvent elle recommence. Elle a l’air de se moquer de moi. J’ai mes besoins surtout. Je veux moi surtout couiner comme elle. Des fois je prends mon sexe à pleine main sans pour autant me appréhender. Surtout au cours des arrêts pause pipi, je ne pourra aller me masturber dans les toilettes.

Lesbienne comme elle l’était, Ingrid se troubla et détailla plus précisément la jeune cochonne qui devait être une groupie ! Elle eut un petit chatouillis dans l’entrejambe en constatant que la jeune cochonne très asiatique avec des nichons courts était taillée comme une athlète mais pas très reluisante et d’allure androgyne, avec des petits nichons ronds et des tétons raides épais et noirs, ce qui augmenta toujours, le trouble d’Ingrid, qui pourtant se dirigea vers les douches sans plus s’attarder ! Ingrid après un vigoureux savonnage surtout orienté vers sa foune devenue humide, et ses nichons durcis à cause des regards de la fille nombreuse dans les vestiaires se laissait fouetter par les trombes d’eau qui giclaient sur son corps bronzé et musclé, lorsqu’elle se sentit saisie par derrière par deux bras qui encerclèrent son torse et deux mains qui empaumèrent ses nichons aux tétons dressés, tandis qu’un pubis velu se plaquait envers ses nichons, alors que des lèvres se posaient à la saignée de son cou ! D’instinct, elle pensa à la fille du vestiaire et se laissa viser alors que les lèvres de sa groupie se décollaient d’elle pour dire : – » ; ; Je m’appelle Perrine et je suis comblée de vous depuis longtemps ! Aujourdhui j’ai de la chance, je vous ai toute entière à moi et rien qu’à moi ! Troublée Ingrid se dégagea de l’étreinte de Perrine pour se prendre envers elle ! Aussitôt, elles s’enlacèrent lèvres unies, langues enroulées et doigts plongés entre les cuisses l’une de l’autre ! Leur étreinte dura un grand moment mais fut interrompue par l’entrée d’une cochonne de ménage qui venait nettoyer les douches ! ,Pourtant, matant le couple, elle fit demi-tour et sortit sans un mot ! Un peu dégrisées par cette interruption les deux cochonnes désormais amantes se désunirent et regagnèrent les vestiaires ! Une fois rhabillées toutes les deux Perrine proposa : – » ; ; Si tu es libre ce soir viens dîner chez moi et nous passerons la soirée conjointement ! » ; ; Ingrid répondit du tac au tac ; – » ; ; Non je n’étais pas libre ce soir, mais à partir de maintenant je le suis et je reste avec toi !  » ; ; Ce fut ainsi qu’Ingrid et Perrine qui ne s’était jamais vues avant cet après-midi là, en quelques seconde devinrent amantes, du moins pour toute la durée du Tournoi. La soirée fut une révélation pour l’une comme pour l’autre tellement leurs jouissances furent intenses et multiples, Ingrid faisant là, une dangereuse incartade dans le régime de vie imposé par son coach pendant les périodes de Tournois ! Mais elle s’était attachée si vite et si fort à Perrine que les sentiments et le bonheur remplacèrent quelques uns entraînements et les regards si intenses de Perrine, rivée au bord du court pendant les matches, lui servirent de dopage tant et si logement qu’elle gagna le Tournoi ! Pourtant, les deux cochonnes durent se séparer après la finale, car Ingrid devait partir pour Wimbledon et Perrine regagner la cabine de son avion pour y reprendre son connait puisqu’elle était teen de l’air !

Mais elle y invitait surtout des garçons, tous excellents joueurs de tennis et très souvent adorateurs d’élans vécus entre garçons, ce qui quelques uns soirs de beuveries donnait des mélanges de sexes ou personne ne savait plus avec qui il était entrain de couiner ! Elle m’avait, d’ailleurs promis de m’inviter dans son lit avec sa soeur, si je lui rendais le connait d’offrir l’une de mes nuits à l’un des garçons invités et qui lui avait avoué qu’il aimerait beaucoup avoir une relation intime avec moi ! Ce qui se passa justement un de ces soirs d’orgie ou je lui offrit toutes les caresses qu’il désirait tout en recevant les siennes sans déplaisir ! Il avait une longue et affolante queue et un gland énorme auquel j’offris mes doigts et mes lèvres et inversement ! en je découvrant, avec bonheur, la saveur de son nectar !

Mais le froid extérieur me fit revenir à la réalité, j’étais là plantée envers elle et ne savais que payer. Elle avait un petit sexe tellement spécialiste et un sourire tellement excitant que je lui aurais sauté dessus si ses yeux ne m’avaient pas appelée à la collaboration. Le désir était devenu timidité, c’était foutu… enfin, pour l’instant !

Aurelien

Coquin amoureux de la plume et des belles photos, Erosto, m' est comme un petit boudoir coquin permettant de mettre par écrit les plaisirs sexuels, les histoires érotiques et les nombreux conseils coquins pour les couples, les hommes et les femmes qui aiment comme moi pimenter leur vie sexuelle et agrémenter les soirées torrides pour le seul plaisir du partenaire

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