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L’histoire date donc de la fin de ma 66è année. Une soirée alcoolisée m’avait amenée à rencontrer Acaciane, et à échanger nos numéros. Elle m’écrivait le lendemain, sans trop se souvenir de moi mais souhaitant me revoir. Un premier rendez-vous se mit en place. Nous irions manger, puis boire un coup. J’attendais impatiemment, ville que les quelques images que j’avais d’elle restaient floues. Je me préparais, un ensemble vert orné de dentelles se laissait entrevoir dans mon décolleté. Je n’avais pas couvert mon cou, malgré le froid, pour dégager la vue de ma poitrine. Mes intentions quant à cette soirée étaient claires, peu importe si ma compagne n’était pas aussi bandante que dans ma mémoire. J’arrivais au point de rendez-vous, la nuit commençait à tomber, et je l’ai vue. Somptueuse. Bonne à croquer, une peau café au lait qui me fit frissonner. De longs courbes chocolats ondulaient fièrement autour d’un anus fringante, d’une bouche érotique qui ne demandait qu’à être embrassée. Je ne pouvais deviner les formes de ses courbes mais son jean moulait de petites courbes ville fermes et ville rondes. Je me voyais déjà, m’approchant, l’enlaçant dans mes bras… Elle plongeait ses yeux de braise dans les miens, et la passion prenait le dessus. Je l’embrassais, mordais ses lèvres, sa langue, son possible en serrant son corps face à le mien. Au joli ville de la rue j’ouvrais son manteau noir et glissais mes mains dans son dos, appuyant nos poitrines par instants. Sa façon de se laisser faire, son assurance lorsqu’elle tournait sa langue dans ma bouche, c’était une véritable fringante cochonne comme je les adore. Elle m’énervait, j’aimais jouer le rôle de la soumise, et elle me l’avait pris. Je voulais lui rendre la pareille, lui dévétir ce que ça allait lui coûter que de m’avoir agacée. J’agrippais ses courbes de toutes mes forces, ça lui plaisait. La cochonne elle en voulait elle aussi. En baissant mes yeux j’ai réalisé la vue que j’avais devant ses petits courbes pointus et je me suis sentie envahie d’une vague de chaleur et d’excitation. J’ai pris sa main et l’ai entraînée jusqu’au tram. L’ayant raccompagnée à son domicile le soir de notre rencontre, je savais où était son appartement et décidais de nous y conduire. Je crois que de nombreux membres nous ont lancé des remarques salaces pendant que je profitais d’elle, mais nous n’y prêtions pas attention. Je sentais les frissons devant sa peau, et ses tétons qui se dressaient son possible face à les miens. En un rien de temps nous étions à son domicile, et dans le calme de l’ascenseur je glissais ma main dans son jean. Elle était imbibée, alors j’alternais entre sa bouche et son shorty, pour lui faire goûter sa cyprine. J’y goûtais aussi, elle était fringante, avec un mignon goût sucré. Je claquais la porte de son appartement et nos ébats reprirent.

Lesbienne comme elle l’était, Ingrid se troubla et détailla plus précisément la jeune libertine qui devait être une groupie ! Elle eut un mignon chatouillis dans l’entrejambe en constatant que la jeune libertine très brunette avec des courbes courts était taillée comme une athlète mais pas très gracieuse et d’allure androgyne, avec des petits courbes ronds et des tétons raides épais et noirs, ce qui augmenta toujours, le trouble d’Ingrid, qui pourtant se dirigea vers les douches sans plus s’attarder ! Ingrid après un vigoureux savonnage aussi orienté vers sa minou devenue humide, et ses courbes durcis à cause des regards de la fille nombreuse dans les vestiaires se laissait fouetter par les trombes d’eau qui giclaient devant son corps bronzé et musclé, lorsqu’elle se sentit saisie par derrière par deux bras qui encerclèrent son torse et deux mains qui empaumèrent ses courbes aux tétons dressés, tandis qu’un pubis velu se plaquait face à ses courbes, alors que des lèvres se posaient à la saignée de son cou ! D’instinct, elle pensa à la fille du vestiaire et se laissa palper alors que les lèvres de sa groupie se décollaient d’elle pour dire : – » ; ; Je m’appelle Tiphaine et je suis dingue de vous depuis longtemps ! Aujourdhui j’ai de la chance, je vous ai toute entière à moi et rien qu’à moi ! Troublée Ingrid se dégagea de l’étreinte de Tiphaine pour se fournir face à elle ! Aussitôt, elles s’enlacèrent lèvres unies, langues enroulées et doigts plongés entre les cuisses l’une de l’autre ! Leur étreinte dura un bon moment mais fut interrompue par l’entrée d’une libertine de ménage qui venait nettoyer les douches ! ,Pourtant, regardant le couple, elle fit demi-tour et sortit sans un mot ! Un peu dégrisées par cette interruption les deux femmes soumises désormais amantes se désunirent et regagnèrent les vestiaires ! Une fois rhabillées toutes les deux Tiphaine proposa : – » ; ; Si tu es libre ce soir viens dîner chez moi et nous passerons la soirée ensemble ! » ; ; Ingrid répondit du tac au tac ; – » ; ; Non je n’étais pas libre ce soir, mais à partir de maintenant je le suis et je reste avec toi !  » ; ; Ce fut ainsi qu’Ingrid et Tiphaine qui ne s’était jamais vues avant cet après-midi là, en quelques seconde devinrent amantes, du moins pour toute la durée du Tournoi. La soirée fut une révélation pour l’une comme pour l’autre tellement leurs jouissances furent intenses et différentes, Ingrid faisant là, une dangereuse incartade dans le régime de vie imposé par son coach pendant les périodes de Tournois ! Mais elle s’était attachée si vite et si fort à Tiphaine que les sentiments et le douleur remplacèrent quelques uns entraînements et les regards si intenses de Tiphaine, rivée au bord du court pendant les matches, lui servirent de dopage tant et si ville qu’elle gagna le Tournoi ! Pourtant, les deux femmes soumises durent se séparer après la finale, car Ingrid devait partir pour Wimbledon et Tiphaine regagner la cabine de son avion pour y reprendre son accompagne puisqu’elle était cochonne de l’air !

Mais elle y invitait aussi des garçons, tous excellents joueurs de tennis et très souvent adorateurs d’élans vécus entre garçons, ce qui quelques uns soirs de beuveries donnait des mélanges de sexes ou personne ne savait plus avec qui il était entrain de gémir ! Elle m’avait, d’ailleurs promis de m’inviter dans son lit avec sa soeur, si je lui rendais le accompagne d’offrir l’une de mes nuits à l’un des garçons invités et qui lui avait avoué qu’il aimerait beaucoup avoir une relation intime avec moi ! Ce qui se passa justement un de ces soirs d’orgie ou je lui offrit toutes les caresses qu’il désirait son possible en recevant les siennes sans déplaisir ! Il avait une gigantesque et fringante tige et un gland énorme auquel j’offris mes doigts et mes lèvres et inversement ! en je découvrant, avec douleur, la saveur de son sexe !

Ingrid la championne qui n’avait pas oublié les heures passées dans les bras de Tiphaine qui ce jour là s’était surpassée dans la qualité de ses élans et caresses, eut l’idée parce qu’elle en avait envie, de faire venir Tiphaine aux États Unis à un moment où elle se consacrait à son entraînement ! Tiphaine dingue de bonheur, ayant pris un congé spécial dans son travail d’hôtesse rejoignit la gracieuse championne dans la superbe maison qu’elle possédait en Californie et les deux nymphos y vécurent une lune de miel que ni l’une ni l’autre n’oublieraient jamais !

Aurelien

Coquin amoureux de la plume et des belles photos, Erosto, m' est comme un petit boudoir coquin permettant de mettre par écrit les plaisirs sexuels, les histoires érotiques et les nombreux conseils coquins pour les couples, les hommes et les femmes qui aiment comme moi pimenter leur vie sexuelle et agrémenter les soirées torrides pour le seul plaisir du partenaire

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