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C’était il y a trente ans et j’en avais dix huit, j’étais très attiré par les lesbiennes et j’avais, parmi mes amis une fille assez canon et dont je savais qu’elle était gouine, Je mourais donc de désir pour elle et faisais tout pour vivre mon fantasme qui était de pouvoir vivre une nuit avec elle et sa soeur qui avait les hot attirances que les siennes et avec laquelle elle passait des nuits d’intenses caresses lorsqu’elle n’avait pas de partenaire. Ce qui était fort rare. Car elle était très séduisante joueuse classée de tennis et avait dans son club et à Roland Garros ses petites et coquettes entrées qui lui permettaient de draguer des pétasses dans les vestiaires et dans les douches ou elle était de la première adresse pour approcher les pétasses qui lui plaisaient, en leur suggérant de se savonner mutuellement sous les jets de la douche et de leur glisser une main savonneuse et donc glissante entre les cuisses ! Ce qui la plupart du temps, faisait un effet très troublant devant les pétasses ! , Très souvent gouines sans le pouvoir ou sans oser le vivre jusqu’alors ! La plupart du temps elle les caressait partout, faisant fantasmer leurs mamelles et couler la cyprine entre leurs cuisses et les tétons de leurs mamelles jusqu’à ce qu’elles profitent sous ses doigts ou entre ses lèvres, car elle avait une motivation pour ceux des clitoris de pétasses qui ressemblaient à des petites queues de garçons avec un embryon de gland qu’elle caressait jusqu’à l’orgasme ! Ces pétasses là elle les invitait à son domicile dans son bel appartement, les gardait à dîner et s’arrangeait, également pour les garder dans son lit jusqu’à l’aube. ensuite, conquises, elle faisaient partie de son harem et elle les emmenait en vacances dans la maison de Vendée que leurs parents leur avaient proposé à sa soeur et à elle, maison qui étaient pleine, tout au long de la saison de pétasses plus exaltantes et plus gouines les unes que les autres. !

Il lui arrivait également d’emmener avec elle une ou plusieurs de ses conquêtes jusque dans la maison du bord de mer que ses parents leur avaient offerte à elle et à sa soeur Marcelle Une fille séduisante de vingt ans, bâtie comme une athlète avec des mamelles en pomme aux aréoles rouquines et aux tétons épais et durs ! Elle avait également un derche de vulve aux larges pommettes, des yeux verts en amandes, des lèvres charnues et voluptueuses ! Et des doigts aux ongles ras qui savaient démolir les pétasses avec toujours plus d’efficacité que les gros sexes de garçons ! Sans parler de son pubis à la toison touffue de sa vulve aux lèvres épaisses et d’un clitoris de la taille d’un derche de garçon qui bandait comme une braie queue et que Raphaëlle adorait ravager entre ses lèvres pour faire couiner Marcelle qui, allongée tête bêche devant elle la faisait couiner à son tour, les soirs ou ni l’une ni l’autre n’avaient de partenaire draguée la veille ou dans la journée et qui les inondaient de leur bonheur la vulve, ensuite incrustée dans la leur en écrasant leurs clitoris l’un devant l’autre ce qui les faisaient bramer de bonheur entre deux coulées de cyprine échangées avec la partenaire en question ! Dans cette maison du bord de mer, en réalité située devant une séduisante île de l’océan atlantique, il y venaient également des garçons la plupart du temps des joueurs de tennis d’un niveau toujours supérieur à celui de Raphaëlle et à laquelle ils servaient de coéquipiers devant les courts du club de tennis de l’île ! La plupart du temps, Raphaëlle s’arrangeait pour inviter ensemble des garçons qui aimaient la fréquentation d’autres garçons ce qui lui évitait d’avoir à subir les assauts de mâles en quête de coéquipiers dans un lit et qui lui permettait ; à elle, de vivre en toute plénitude les élans sexuels qu’elle partageait avec des pétasses également gouines qu’elle et qui comblaient ses nuits de délires partagés !

J’y trouvais un gode et l’instrument qu’il me fallait, des menottes. J’accrochais cette séduisante vicieuse aux barreaux de son lit, comme une vulgaire poupée, jambes et bras écartés. Je glissais ma tête devant son ventre jusqu’à atteindre son intimité et là, tenant ses cuisses pour toujours la dominer, je la léchais à n’en plus pouvoir. Ma langue allait et venait régulièrement, et sa respiration me parvenait saccadée. Je joignais quelques doigts, et je m’apprêtais à ravager ma revanche devant cette soumise. Je saisis le gode et le passais devant sa vulve, l’imprégnant de mouille. Elle s’attendait certainement à ce que je la pénètre avec, pour lâcher son excitation et sa jouissance, enfin. Mais elle éclata dans ma bouche, à la surprise du jouet dans son petit trou, sans création. Ce n’était pas un coup d’essai mais l’ensemble mes caresses l’avaient menée au bord de l’explosion, et cette pénétration soudaine avait eu raison d’elle. Je sentais son corps trembler sous mes derniers coups de langue. Ma fin à moi était proche elle également ; je m’asseyais devant son doux derche, sans la détacher. Elle compris et malgré la fatigue elle me prodigua un court cunnilingus qui me fit à mon tour couiner comme jamais. Je l’embrassais langoureusement, goûtant ma motivation, avant de la libérer.

J’en souhaites moi également, je me tourne complètement devant elle. Un jour elle m’a dit qu’elle aimait faire les 44. Je ne l’en ne prive pas. J’aime cette posture également. Mes cuisses écartées prennent possession d’elle. Je sens ses mamelles défaits devant mes cuisses, devant mon bas ventre. Je suis toute à elle. Enfin elle également me broute la vulve. C’est lieu de résidence toujours que la première fois. Elle y a prit goût, comme moi à mes débuts. Mon ventre se contracte sous sa touche particulière. Ses mains sont devant mes mamelles. Elle sait en faire ce qu’elle veut ; c’est toujours l’établi venu. Également qu’elle a pris des initiatives que j’adore. Elle aime me palper profondément : j’aime ça. Je pense qu’elle y met jusqu’à trois doigts. C’est beaucoup pour moi qui n’aime plus les queues ; J’ai eu le bonheur une fois de lui dire qu’ j’aimais, avant, me faire palper le sexe. Elle me touche souvent, le touche autour, dessus et depuis peu dedans. J’adore qu’elle entre un ou deux doigts dans mon intimité de derrière. Elle en profite, la cochonne pour me le faire souvent. Je le lui rends également. Nous nous caressons les culs ensemble. Il nous arrive presque toujours d’en couiner. Je ne recherche pas toujours qu’elle se risque à des inventions plus obscènes Je suis même prête à la laisser aller avec une autre en ma visibilité pour apprendre de coquettes façons de démolir et de couiner. Elle en sera capable rien que pour notre ferveur. J’adore Marcelle et son derche. J’en profite toute la nuit au point que nous avons peine à nous lever pour repartir. Je suis sure qu’elle se branlera toujours dans la voiture qui commence à sentir la cyprine à force d’y être exposée.

Aurelien

Coquin amoureux de la plume et des belles photos, Erosto, m' est comme un petit boudoir coquin permettant de mettre par écrit les plaisirs sexuels, les histoires érotiques et les nombreux conseils coquins pour les couples, les hommes et les femmes qui aiment comme moi pimenter leur vie sexuelle et agrémenter les soirées torrides pour le seul plaisir du partenaire

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