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L’histoire date donc de la fin de ma 44è année. Une soirée alcoolisée m’avait amenée à rencontrer Véronique, et à échanger nos numéros. Elle m’écrivait le lendemain, sans trop se souvenir de moi mais souhaitant me revoir. Un premier rendez-vous se mit en service. Nous irions manger, puis boire un coup. J’attendais impatiemment, milieu que les quelques images que j’avais d’elle restaient floues. Je me préparais, un ensemble vert orné de dentelles se laissait entrevoir dans mon décolleté. Je n’avais pas couvert mon cou, malgré le froid, pour dégager la vue de ma poitrine. Mes intentions quant à cette soirée étaient claires, peu importe si ma compagne n’était pas également enthousiasmante que dans ma mémoire. J’arrivais au point de rendez-vous, la nuit commençait à tomber, et je l’ai vue. Parfaite. Coquette à croquer, une peau café au lait qui me fit frissonner. De longs nichons chocolats ondulaient fièrement autour d’un minou grosse, d’une bouche chaude qui ne demandait qu’à être embrassée. Je ne pouvais deviner les formes de ses nichons mais son jean moulait de petites nichons milieu fermes et milieu rondes. Je me voyais déjà, m’approchant, l’enlaçant dans mes bras… Elle plongeait ses yeux de braise dans les miens, et la ferveur prenait le dessus. Je l’embrassais, mordais ses lèvres, sa langue, tout en serrant son corps face à le mien. Au beau milieu de la rue j’ouvrais son manteau noir et glissais mes mains dans son dos, appuyant nos poitrines par instants. Sa façon de se laisser payer, son assurance lorsqu’elle tournait sa langue dans ma bouche, c’était une vraie grosse hôtesse comme je les aime. Elle m’énervait, j’aimais jouer le rôle de la soumise, et elle me l’avait pris. Je voulais lui rendre la pareille, lui chauffer ce que ça allait lui coûter que de m’avoir agacée. J’agrippais ses nichons de toutes mes forces, ça lui plaisait. La hôtesse elle en voulait elle également. En baissant mes yeux j’ai réalisé la vue que j’avais sur ses petits nichons pointus et je me suis sentie envahie d’une vague de chaleur et d’excitation. J’ai pris sa main et l’ai entraînée jusqu’au tram. L’ayant raccompagnée à son domicile le soir de notre rencontre, je savais où était son appartement et décidais de nous y conduire. Je crois que plusieurs collaborateurs nous ont lancé des remarques salaces pendant que je profitais d’elle, mais nous n’y prêtions pas attention. Je sentais les frissons sur sa peau, et ses tétons qui se dressaient tout face à les miens. En un rien de temps nous étions à son domicile, et dans le calme de l’ascenseur je glissais ma main dans son jean. Elle était aspergée, alors j’alternais entre sa bouche et son shorty, pour lui payer goûter sa cyprine. J’y goûtais également, elle était grosse, avec un petit goût sucré. Je claquais la porte de son appartement et nos ébats reprirent.

Il lui arrivait également d’emmener avec elle une ou plusieurs de ses conquêtes jusque dans la maison du bord de mer que ses parents leur avaient offerte à elle et à sa soeur Barbara Une fille grosse de vingt ans, bâtie comme une athlète avec des nichons en pomme aux aréoles blondinettes et aux tétons épais et durs ! Elle avait également un minou de minou aux larges pommettes, des yeux verts en amandes, des lèvres charnues et voluptueuses ! Et des doigts aux ongles ras qui savaient percuter les cochonnes avec toujours plus d’efficacité que les gros sexes de garçons ! Sans parler de son pubis à la toison touffue de sa minou aux lèvres épaisses et d’un clitoris de la taille d’un minou de garçon qui bandait comme une braie queue et que Pulchérie adorait ravager entre ses lèvres pour payer gémir Barbara qui, allongée tête bêche sur elle la faisait gémir à son tour, les soirs ou ni l’une ni l’autre n’avaient de partenaire draguée la veille ou dans la journée et qui les inondaient de leur plaisir la minou, ensuite incrustée dans la leur en écrasant leurs clitoris l’un face à l’autre ce qui les faisaient bramer de plaisir entre deux coulées de cyprine échangées avec la partenaire en question ! Dans cette maison du bord de mer, en réalité située sur une grosse île de l’océan atlantique, il y venaient également des garçons la plupart du temps des joueurs de tennis d’un niveau toujours supérieur à celui de Pulchérie et à laquelle ils servaient de partenaires sur les courts du club de tennis de l’île ! La plupart du temps, Pulchérie s’arrangeait pour inviter ensemble des garçons qui aimaient la fréquentation d’autres garçons ce qui lui évitait d’avoir à subir les assauts de mâles à la recherche de partenaires dans un lit et qui lui permettait ; à elle, de vivre en toute plénitude les élans sexuels qu’elle partageait avec des cochonnes également gouines qu’elle et qui comblaient ses nuits de délires partagés !

Mais elle y invitait également des garçons, tous excellents joueurs de tennis et très malheureusement adorateurs d’élans vécus entre garçons, ce qui quelques uns soirs de beuveries donnait des mélanges de sexes ou personne ne savait plus avec qui il était entrain de gémir ! Elle m’avait, d’ailleurs promis de m’inviter dans son lit avec sa soeur, si je lui rendais le service d’offrir l’une de mes nuits à l’un des garçons invités et qui lui avait avoué qu’il aimerait beaucoup avoir une relation intime avec moi ! Ce qui se passa justement un de ces soirs d’orgie ou je lui offrit toutes les caresses qu’il désirait tout en recevant les siennes sans déplaisir ! Il avait une longue et grosse queue et un gland énorme auquel j’offris mes doigts et mes lèvres et inversement ! en je découvrant, avec plaisir, la saveur de son porno !

Ingrid la championne qui n’avait pas oublié les milliers passées dans les bras de Pulchérie qui ce jour là s’était surpassée dans la performance de ses élans et caresses, eut l’idée parce qu’elle en avait envie, de payer venir Pulchérie aux États Unis à un moment où elle se consacrait à son entraînement ! Pulchérie folle de souffrance, ayant pris un congé spécial dans son métier d’hôtesse rejoignit la gracieuse championne dans la superbe maison qu’elle possédait en Californie et les deux cochonnes y vécurent une lune de miel que ni l’une ni l’autre n’oublieraient jamais !

Aurelien

Coquin amoureux de la plume et des belles photos, Erosto, m' est comme un petit boudoir coquin permettant de mettre par écrit les plaisirs sexuels, les histoires érotiques et les nombreux conseils coquins pour les couples, les hommes et les femmes qui aiment comme moi pimenter leur vie sexuelle et agrémenter les soirées torrides pour le seul plaisir du partenaire

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