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Si Valentine avait eu accès aux douches du vestiaire des pétasses de Roland Garros, pour savoir y rencontrer Ingrid, la numéro un mondiale et avoir une relation intime en prenant en compte elle qui était lesbienne, tout comme elle-même, c’était parce qu’elle était, une joyeuse joueuse classée en tête de seconde succession et que venant souvent jouer sur ce stade elle avait eu accès aux vestiaires des pétasses grâce à son classement, mais surtout à cause de la complicité de l’une des pétasses chargées de l’entretien des vestiaires qu’elle avait séduite et surtout caressée jusqu’à la jouissance sous la douche où elle avait fera vibrer Ingrid jusqu’à l’orgasme avant de l’entraîner à son domicile ! Mais en dehors de cette chance qu’elle avait eue, son métier d’hôtesse de l’air lui donnait l’occasion de rencontrer des passagères ayant les coquin penchants lesbiens, passagères que son instinct et son habitude lui permettaient de détecter assez rapidement et de déployer auprès d’elles ses talents et ses charmes de gouine habile et sensuelle au plus bon point, qui faisaient le plus souvent effet ! Sans parler des pétasses et des exaltantes cochonnes qu’elle avait l’occasion de rencontrer lors de ses compétitions de tennis dans les clubs de Geneviève et de Navarre ! Elle avait une prédilection pour les adolescentes d’une quinzaine d’années qui étaient très sensibles, à la fois à son charme et à son physique mais surtout à ses talents de joueuse de bon niveau qui, lorsqu’elle avait jeté son dévolu sur l’une d’entre elles, l’invitait à venir jouer sur le court avant de l’entraîner dans les vestiaires et de se livrer là, à une opération de séduction physique en profitant des douches et du savonnage pour viser le corps de sa proie très intimement, de la couvrir de baisers et de la payer jouir en insistant sur la pétri de son clitoris en-savonné, ce qui faisait immanquablement défaillir la fille qui en échange la caressait, à son tour jusqu’à l’orgasme, avant de se confier entraîner chez Valentine où elle passait la soirée et souvent la nuit avant de ressortir au petit matin de draps empoissés du résultat de leurs ébats, en prenant en compte un bon cerne bistre sous les paupières et une dingue envie de recommencer à jouir en prenant en compte Valentine aussitôt de possible ! Elle s’était constitué, ainsi un petit harem d’adolescentes raides amoureuses qui se battaient pour partager ses caresses ses baisers et ses coulées d’une cyprine abondante, odorante, hot et à la saveur mélissa !.

Lesbienne comme elle l’était, Ingrid se troubla et détailla plus précisément la jeune bimbo qui devait être une groupie ! Elle eut un petit chatouillis dans l’entrejambe en constatant que la jeune bimbo très blonde en prenant en compte des nichons courts était taillée comme une athlète mais pas très joyeuse et d’allure androgyne, en prenant en compte des petits nichons ronds et des tétons raides épais et noirs, ce qui augmenta toujours, le trouble d’Ingrid, qui pourtant se dirigea vers les douches sans plus s’attarder ! Ingrid après un vigoureux savonnage surtout orienté vers sa vulve devenue humide, et ses nichons durcis à cause des regards de la fille nombreuse dans les vestiaires se laissait fouetter par les trombes d’eau qui giclaient sur son corps bronzé et musclé, lorsqu’elle se sentit saisie par derrière par deux bras qui encerclèrent son torse et deux mains qui empaumèrent ses nichons aux tétons dressés, tandis qu’un pubis velu se plaquait face à ses nichons, alors que des lèvres se posaient à la saignée de son cou ! D’instinct, elle pensa à la fille du vestiaire et se laissa viser alors que les lèvres de sa groupie se décollaient d’elle pour dire : – » ; ; Je m’appelle Valentine et je suis dingue de vous depuis longtemps ! Aujourdhui j’ai de la chance, je vous ai toute entière à moi et rien qu’à moi ! Troublée Ingrid se dégagea de l’étreinte de Valentine pour se dénicher face à elle ! Aussitôt, elles s’enlacèrent lèvres unies, langues enroulées et doigts plongés entre les cuisses l’une de l’autre ! Leur étreinte dura un bon instant mais fut interrompue par l’entrée d’une bimbo de ménage qui venait nettoyer les douches ! ,Pourtant, voyant le couple, elle fit demi-tour et sortit sans un mot ! Un peu dégrisées par cette interruption les deux pétasses désormais amantes se désunirent et regagnèrent les vestiaires ! Une fois rhabillées l’ensemble les deux Valentine proposa : – » ; ; Si tu es libre ce soir viens dîner chez moi et nous passerons la soirée ensemble ! » ; ; Ingrid répondit du tac au tac ; – » ; ; Non je n’étais pas libre ce soir, mais à partir de maintenant je le suis et je reste en prenant en compte toi !  » ; ; Ce fut ainsi qu’Ingrid et Valentine qui ne s’était jamais vues avant cet après-midi là, en quelques seconde devinrent amantes, du moins pour toute la durée du Tournoi. La soirée fut une révélation pour l’une comme pour l’autre tellement leurs jouissances furent intenses et longues, Ingrid faisant là, une dangereuse incartade dans le régime de vie imposé par son coach tout au long de les périodes de Tournois ! Mais elle s’était attachée si vite et si fort à Valentine que les sentiments et le plaisir remplacèrent certains entraînements et les regards si intenses de Valentine, rivée au bord du court tout au long de les matches, lui servirent de dopage tant et si ville qu’elle gagna le Tournoi ! Pourtant, les deux pétasses durent se séparer après la finale, car Ingrid devait partir pour Wimbledon et Valentine regagner la cabine de son avion pour y reprendre son connait puisqu’elle était nympho de l’air !

Valentine, qui était lesbienne jusqu’au bout de son clitoris, ne fut pas trop affectée par cette séparation car dans son métier les occasions de convenir à les cochonnes étaient longues et elle ne se privait pas de les exploiter, ramenant à son domicile des cochonnes conquises tout au long de le vol ou lors d’un cocktail ou d’un dîner ! Il faut dire qu’elle était physiquement très gigantesque qu’elle avait un corps gigantesque, d’une sensualité à fleur de clito et était dotée d’un regard bleu pâle pailleté d’or capable de payer fondre tous les icebergs de la banquise ! De plus elle avait des doigts et des lèvres magiques qui savaient mettre en torche les corps de ses conquêtes qui sortaient de ses bras hagardes, le regard noyé, la vulve en béance, follement amoureuses de leur pote et ne rêvant que d’une chose : Recommencer ! Sans savoir que Valentine qui avait déjà fera la ferveur en prenant en compte une autre la nuit précédente allait faire plaisir celle-là en plongeant son gros orteils et de nombreuses autres jusqu’au plus profond possible de sa vulve, à moins qu’elle ne se serve de l’un de ses godes à vibreur intense qui les faisaient se tordre de plaisir dans des draps embaumés par les parfums divers et intimes des autres cochonnes qui y avaient joui avant celle là !

Appartenant à une famille très bourgeoise du seizième arrondissement de Paris, elle savait s’adapter à la nature et à l’éducation de l’ensemble ses conquêtes et savait les viser et les payer jouir comme des folles en prenant elle surtout un pied intense en les voyant se tordre de plaisir sur son lit et en sachant guider leurs doigts là où elle avait envie de les sentir naviguer pour la payer jouir et juter à son tour entre leurs lèvres ou surtout dans leurs cramouilles béantes ! Elle avait ainsi, toute une cohorte de cochonnes folles amoureuses d’elle et bloquant sans arrêt son portable dès qu’elle était au sol ! Par face à les pilotes et personnel naviguant masculins qui avaient tenté de la séduire étaient tous tombés sur des refus, sauf un qu’elle avait trouvé joli qui avait un sexe gigantesque et qui l’avait pratiquement violée en pleine nuit, dans les toilettes de l’appareil ! Quant à sa collègue de métier elle la caressait en douce entre deux plateaux-repas à épauler et lui volait ses petites culottes pour les humer le soir dans son lit quand elle y était seule, ce qui n’arrivait pas souvent ! Et lorsqu’elle était devenue  » ; chef hôtesse » ; , elle avait une liste d’attente de débutantes dans le métier qui espéraient, en la faisant jouir, avoir de magnifiques notes et de l’avancement !

Aurelien

Coquin amoureux de la plume et des belles photos, Erosto, m' est comme un petit boudoir coquin permettant de mettre par écrit les plaisirs sexuels, les histoires érotiques et les nombreux conseils coquins pour les couples, les hommes et les femmes qui aiment comme moi pimenter leur vie sexuelle et agrémenter les soirées torrides pour le seul plaisir du partenaire

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