Recherche d’une lesbienne

Moi :
Je ne me remets pas de sa disparition. Il me manque pour tout, surtout pour jouir, même si je me masturbe. Mais même pendant que je me donne du plaisir je voudrais qu’il soit là à mes cotés comme avant. Même mon amie se moque de moi.
Elle :
Il faut que je la fasse sortir de son espèce de deuil particulier. Il a disparu, d’autre s’en remettent. Je pense avoir trouvé le moyen. C’est délicat, mais si ça marche je sais qu’elle sera à nouveau normale.
Moi :
Mon amie est gentille, presque trop. Elle m’embrasse souvent que ça devient presque gênant. C’est quand même agréable ses baisers sur les joues, presque sur le bouche, mais une bouche de fille sur la mienne, ça va pas non ?
Elle :
Les simples baisers sur les joues ne suffisent pas. Je vais aller bien plus loin. Et en plus j’en ai envie, j’ai envie d’elle.
Moi :
C’est bizarre, elle est de plus en plus présente.
J’ai même l’impression qu’elle me drague. C’est assez agréable.
Elle :
Enfin elle se laisse un peu faire. Je ne désespère pas de la voir dans mon lit.
Moi :
J’apprécie ses baisers dans le cou et sur mes mains. Elle me caresse souvent les mains. Nos doigts s’entrelacent longuement. Elle me veut quelque chose, mais quoi ?
Elle :
Je sens qu’elle va comprendre ce que je la désire de plus en plus. J’en suis réduite à me caresser en ne la voyant qu’elle dans des positions insensées. Je l’ai même imaginée sur moi, à l’envers, prête à m’embrasser le pubis. Que j’aimerais que ce soit la vérité.
Moi :
Ses baisers sont plus forts, elle y met sa langue.
Si elle veut plus qu’elle ose me le demander, je ne dirais sans doute pas non.
Elle :
J’ai posé ma bouche au coin de sa bouche. Il suffit qu’elle tourne un peu la tête nous échangions note premier baiser que j’espère.
Moi :
Elle m’a presque embrassé sur la bouche : je sentais son souffle. C’est finalement agréable.
Elle :
Ça y est je l’ai embrassé sur la bouche. Elle n’a pas refusé le baiser chaud. Demain j’irais plus loin.
Moi :
Son baiser léger sur la bouche m’ouvre des horizons. Je verrais bien.
Elle :
C’est la fête : je l’ai embrassé normalement sur la bouche. J’ai mis ma langue dans sa bouche.
Elle me l’a caressée comme j’ai fait à la sienne. J’en espère beaucoup.
Moi :
Je sais qu’elle me voudrait couchée près d’elle.
Je ne connais rien aux file, je vais me laisser conduire.
Elle :
Je l’ai embrassée sur la bouche puis dans le cou.
J’ai frôlé ses seins. Que je la désire.
Moi :
Décidément elle me cherche pour son lit. C’est peut être bon.
Elle :
Je la veux, je la veux. Je commence à chercher sa poitrine. Ses seins se gonflent quand ma main s’y
pose.
Moi :
Qu’est ce qu’elle attend pour me peloter. Ce matin je me suis caressée en ne pensant qu’à elle. J’espère que nous nous coucherons ensemble dans pas longtemps.
Elle :
Je crois qu’elle me désire aussi. J’essaie de lui caresser les genoux. Je remonterais ensuite le
long des cuisses.
Moi :
Elle me donne des frissons en passant une main sur les genoux. Elle va me faire ouvrir les jambes et elle aura gagné.
Elle :
Je l’ai embrassé je ne sais combien de fois sur la bouche, je lui ai caressé les genoux. Ma main passe doucement entre ses cuisses quelle ouvre quand je monte. Je fais comme mon premier amant avait fait et ça fonctionne.
Moi :
Sa caresse est douce dans mes jambes. Je les écarte pour lui permettre de venir bien plus haut : je mouille.
Elle :
Demain je la masturbe.
Moi :
Elle a passé le haut des bas, je ai senti sur ma peau. Elle était tout près de ma chatte. Ses doigts l’ont touché amoureusement. Je crois qu’elle m’a caresser le clitoris avec deux doigts, juste de qui me faire reconnaître le paradis.
Elle :
Je l’ai masturbé, pas à fond.
Moi :
Elle a recommencé à me faire du bien. J’ai joui mieux qu’hier. Je veux sa bouche sur mon sexe.
Elle :
Enfin elle est chez moi. Je l’embrasse comme si elle était déjà ma maîtresse. Nous busons un verre, nous nous asseyons, je reviens la caresser.
Elle me rend presque la même caresse sur ma chatte. C’est même très bon.
Moi :
Chez elle j’ai osé la masturber. Je l’ai faite jouir. Elle me fait déshabiller. Elle se met nue comme moi. Joli corps, avec une belle poitrine que j’ai envie d’embrasser. Ses tétons sont durs sous ma langue. Je sens ses mains sur mon ventre. Elle passe ma petite fourrure. Ça y est elle est sur ma chatte que je lui laisse.
Elle :
Elle me laisse lui caresser l’entrejambe. Son sexe est mouillé. Je relève la protection de son clitoris. Je peux la masturber un peu avant d’y coller ma bouche. Outre son goût fabuleux je me régale de son odeur de petite fille.
Moi :
Enfin elle me caresse longuement. J’attends ce moment depuis le premier baiser. Elle m’a fait un cunnilingus : un régal des sens.
Elle :
Elle prend de l’assurance en posant sa bouche sur mon sexe. Je la laisse faire : j’ai tellement attendu ce moment. Sa langue est agile sur mon intimité. Je suis obligé de me cabrer trop vite quand elle me fait jouir.
Moi :
Enfin nous sommes dans le même lit pour une nuit, notre première nuit.
Elle :
Nous sommes allongées, je me tourne tête au pied. Elle écarte vite les cuisses : je me régale de la vue sur toutes ses richesses. Elle me fait la surprise de poser sa bouche sur ma chatte la première. Sa langue devient celle de Satan. Elle lèche comme devait le faire un dieu antique. Je n’ai même pas le temps de la caresser qu’elle m’envoie au 7° ciel.
Moi :
Je l’ai surprise en lui léchant la chatte à ma façon. J’ai léché de bas en haut : de l’anus au pubis et retour. Je l’ai senti jouir. J’en suis fière : elle pensait l’inverse, me faire partir avant elle. En plus c’ est agréable de lécher une fille, ça change du sperme, même si le goût est un peu différent avec son arrière goût de coquillage frais. Je recommencerais si elle le veut bien.
Elle :
Je l’ai, je la garde.

fabrissa

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