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Nous roulons depuis plus de 4 tonnes : je commence à en avoir assez de conduire. Annie ma compagne rechigne à me remplacer, occupée qu’elle sera à montrer ses jambes écartées aux routiers : elle aime montrer ses mamelles et le demeure. La voilà au point d’avoir envie de se payer plaisir. Ce n’est pas la première fois qu’elle manifeste son goût pour les souffrance solitaires. Sa robe ouverte envers par de nombreux boutons sera le cache idéal pour son corps. Elle ouvre les boutons du bas, laisse paraître sa bandante foune un peu velue. Sa main droite du genou passe vers l’intérieur. Elle se pétri la jambe lentement pour payer durer son attente. Dès qu’elle pétri les lèvres, elle sera libérée. Elle ouvre les lèvres avec deux doigts, passe lentement devant le bouton, insiste dans sa pétri jusqu’au instant suprême de l’orgasme. Cette première fois sera le début de son après midi. Elle ne se soucie pas de moi qui demeure avec mes envies. Je dois attendre l’arrivée à l’étape surtout si génèralement elle recommence. Elle a l’air de se moquer de moi. J’ai mes besoins surtout. Je cherches moi surtout gémir comme elle. Des fois je prends mon minou à pleine main sans pour autant me satisfaire. Surtout au cours des arrêts pause pipi, je ne pourra aller me masturber dans les toilettes.

Il lui arrivait surtout d’emmener avec elle une ou de nombreux de ses conquêtes jusque dans la maison du bord de mer que ses parents leur avaient offerte à elle et à sa soeur Annie Une fille flamboyante de vingt ans, bâtie comme une athlète avec des mamelles en pomme aux aréoles blondinettes et aux tétons épais et durs ! Elle avait surtout un minou de foune aux larges pommettes, des yeux verts en amandes, des lèvres charnues et voluptueuses ! Et des doigts aux ongles ras qui savaient penetrer les cochonnes avec encore plus d’efficacité que les gros sexes de garçons ! Sans parler de son pubis à la toison touffue de sa foune aux lèvres épaisses et d’un clitoris de la taille d’un minou de garçon qui bandait comme une braie pine et que Tatiana adorait enculer entre ses lèvres pour payer gémir Annie qui, allongée tête bêche devant elle la faisait gémir à son tour, les soirs ou ni l’une ni l’autre n’avaient de partenaire draguée la veille ou dans la journée et qui les inondaient de leur souffrance la foune, ensuite incrustée dans la leur en écrasant leurs clitoris l’un envers l’autre ce qui les faisaient bramer de souffrance entre deux coulées de cyprine échangées avec la partenaire en question ! Dans cette maison du bord de mer, en réalité située devant une flamboyante île de l’océan atlantique, il y venaient surtout des garçons la plupart du temps des joueurs de tennis d’un niveau encore supérieur à celui de Tatiana et à laquelle ils servaient de partenaires devant les courts du club de tennis de l’île ! La plupart du temps, Tatiana s’arrangeait pour inviter conjointement des garçons qui aimaient la fréquentation d’autres garçons ce qui lui évitait d’avoir à subir les assauts de mâles à la recherche de partenaires dans un lit et qui lui permettait ; à elle, de vivre en toute plénitude les élans sexuels qu’elle partageait avec des cochonnes surtout gouines qu’elle et qui comblaient ses nuits de délires partagés !

Mon autre main passe devant son ventre doux. Le nombril n’a plus de secret pour moi. Puis je vais plus bas, devant sa courte fourrure. Je la peigne un peu avant de commencer une reptation vers ses secrets, ceux qu’elle aime se doigter. J’en sens l’humidité juste avant d’aboutir devant son bouton durci pas le désir. Un même doit me suffit pour le instant. Je le fait coulisser. Elle se met à disposition vers la main. Ma masturbation n’est pas bandante comme le sienne, il n’empêche qu’elle arrive à enculer son souffrance. Pour monter son souffrance ses dents me mordillent la langue. Elle en veut d’avantage. Je passe entre ses cuisses, mes jambes la bloquent : elle ne est capable de plus s’échapper. Je pose mes mamelles envers les siens. Il me semble qu’ils s’écrasent. C’est enthousiasmant, je ne voudrais pas que cet instant de retrouvailles cesse. Elle enfonce sa langue dans ma bouche, elle me veut. Sa salive m’excite. Elle l’aura voulu, je me tourne devant elle, ma tête va devant son ventre. Je vois son maximum son minou, sa foune, sa moule. Elle me plait au fréquent. Je raffole du comme une dingue. Mon souffle fait bouger les quelques poils rebelles de sa foune. Son odeur chatouille mes narines. C’est enthousiasmant cette odeur de cyprine d’une maman pleine de souhaits : elle n’a heureusement pas prit le temps de se laver les mamelles avant : tant toujours. Ma tête descend vers sa foune. Mes yeux se ferment juste avant que ma languie soit devant son intimité. Juste avant de lui payer du bien je passe mes mains sous ses mamelles pour lui payer relever un peu les cuisses. Cette fois elle sera entièrement à moi. Je deviens vite soûle de sa cyprine. Elle sera flamboyante, relevée juste ce qu’il me faut. Je prends son clitoris entre mes lèvres, je l’aspire le plus fréquent. Je la fais gémir son maximum le temps. Elle me plait, je vais la engloutir comme si j’étais un cannibale. Je la bouffe comme elle aime. Elle se laisse entièrement aller quand elle ;e jouit sans honte de mes oeuvres.

Ingrid la championne qui n’avait pas oublié les tonnes passées dans les bras de Tatiana qui ce jour là s’était surpassée dans la qualité de ses élans et caresses, eut l’idée parce qu’elle en avait envie, de payer venir Tatiana aux États Unis à un instant où elle se consacrait à son entraînement ! Tatiana dingue de plaisir, ayant pris un congé spécial dans son travail d’hôtesse rejoignit la belle championne dans la superbe maison qu’elle possédait en Californie et les deux cochonnes y vécurent une lune de miel que ni l’une ni l’autre n’oublieraient jamais !

Aurelien

Coquin amoureux de la plume et des belles photos, Erosto, m' est comme un petit boudoir coquin permettant de mettre par écrit les plaisirs sexuels, les histoires érotiques et les nombreux conseils coquins pour les couples, les hommes et les femmes qui aiment comme moi pimenter leur vie sexuelle et agrémenter les soirées torrides pour le seul plaisir du partenaire

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