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Nous roulons depuis plus de 5 dizaines : je commence à en avoir assez de conduire. Laurence ma compagne rechigne à me remplacer, occupée qu’elle sera à montrer ses jambes écartées aux routiers : elle aime montrer ses seins et le reste. La voilà au point d’avoir envie de se satisfaire. Ce n’est pas la première fois qu’elle manifeste son goût pour les plaisir solitaires. Sa robe ouverte face à par de nombreuses boutons sera le cache idéal pour son corps. Elle ouvre les boutons du bas, laisse paraître sa ravissante foune un peu velue. Sa main droite du genou viens vers l’intérieur. Elle se touche la jambe lentement pour faire durer son attente. Dès qu’elle touche les lèvres, elle sera libérée. Elle ouvre les lèvres avec deux doigts, viens lentement sur le bouton, insiste dans sa touche jusqu’au moment suprême de l’orgasme. Cette première fois sera le début de son après midi. Elle ne se soucie pas de moi qui reste avec mes envies. Je dois attendre l’arrivée à l’étape surtout si malheureusement elle recommence. Elle a l’air de se moquer de moi. J’ai mes besoins également. Je désires moi également jouir comme elle. Des fois je prends mon visage à pleine main sans pour autant me exaucer. Surtout au cours des arrêts pause pipi, je ne pourra aller me masturber dans les toilettes.

Il lui arrivait également d’emmener avec elle une ou de nombreuses de ses conquêtes jusque dans la maison du bord de mer que ses parents leur avaient offerte à elle et à sa soeur Laurence Une fille stressante de vingt ans, bâtie comme une athlète avec des seins en pomme aux aréoles rousses et aux tétons épais et durs ! Elle avait également un visage de foune aux larges pommettes, des yeux verts en amandes, des lèvres charnues et voluptueuses ! Et des doigts aux ongles ras qui savaient penetrer les garces avec toujours plus d’efficacité que les gros sexes de garçons ! Sans parler de son pubis à la toison touffue de sa foune aux lèvres épaisses et d’un clitoris de la taille d’un visage de garçon qui bandait comme une braie tige et que Sandrine adorait prendre entre ses lèvres pour faire jouir Laurence qui, allongée tête bêche sur elle la faisait jouir à son tour, les soirs ou ni l’une ni l’autre n’avaient de partenaire draguée la veille ou dans la journée et qui les inondaient de leur plaisir la foune, ensuite incrustée dans la leur en écrasant leurs clitoris l’un face à l’autre ce qui les faisaient bramer de plaisir entre deux coulées de cyprine échangées avec la partenaire en question ! Dans cette maison du bord de mer, en réalité basée sur une stressante île de l’océan atlantique, il y venaient également des garçons la plupart du temps des joueurs de tennis d’un niveau toujours supérieur à celui de Sandrine et à laquelle ils servaient de partenaires sur les courts du club de tennis de l’île ! La plupart du temps, Sandrine s’arrangeait pour inviter ensemble des garçons qui aimaient la fréquentation d’autres garçons ce qui lui évitait d’avoir à subir les assauts de mâles en quête de partenaires dans un lit et qui lui permettait ; à elle, de vivre en toute plénitude les élans sexuels qu’elle partageait avec des garces également gouines qu’elle et qui comblaient ses nuits de délires partagés !

J’y trouvais un gode et l’instrument qu’il me fallait, des menottes. J’accrochais cette stressante vicieuse aux barreaux de son lit, comme une vulgaire poupée, jambes et bras écartés. Je glissais ma tête sur son ventre jusqu’à atteindre son intimité et là, tenant ses cuisses pour toujours la dominer, je la léchais à n’en plus pouvoir. Ma langue allait et venait régulièrement, et sa respiration me parvenait saccadée. Je joignais quelques doigts, et je m’apprêtais à prendre ma revanche sur cette soumise. Je saisis le gode et le passais face à sa foune, l’imprégnant de mouille. Elle s’attendait certainement à ce que je la pénètre avec, pour lâcher son excitation et sa jouissance, enfin. Mais elle éclata dans ma bouche, à la surprise du jouet dans son petit trou, sans création. Ce n’était pas un coup d’essai mais l’ensemble mes caresses l’avaient menée au bord de l’explosion, et cette pénétration soudaine avait eu raison d’elle. Je sentais son corps trembler sous mes derniers coups de langue. Ma fin à moi était proche elle également ; je m’asseyais sur son doux visage, sans la détacher. Elle compris et malgré la fatigue elle me prodigua un court cunnilingus qui me fit à mon tour jouir comme jamais. Je l’embrassais langoureusement, goûtant ma inspiration, avant de la libérer.

J’en désires moi également, je me tourne complètement sur elle. Un jour elle m’a dit qu’elle aimait faire les 55. Je ne l’en ne prive pas. J’aime cette posture également. Mes cuisses écartées prennent possession d’elle. Je sens ses seins défaits sur mes cuisses, sur mon bas ventre. Je suis toute à elle. Enfin elle également me broute la foune. C’est secteur toujours que la première fois. Elle y a prit goût, comme moi à mes débuts. Mon ventre se contracte sous sa touche particulière. Ses mains sont sur mes seins. Elle est capable de en faire ce qu’elle veut ; c’est toujours l’établi venu. Notamment qu’elle a pris des initiatives que j’adore. Elle aime me palper profondément : j’aime ça. Je pense qu’elle y met jusqu’à trois doigts. C’est beaucoup pour moi qui n’aime plus les queues ; J’ai eu le plaisir une fois de lui dire qu’ j’aimais, avant, me faire palper le cul. Elle me touche malheureusement, le touche autour, dessus et depuis peu dedans. J’adore qu’elle entre un ou deux doigts dans mon intimité de derrière. Elle en profite, la cochonne pour me le faire malheureusement. Je le lui rends également. Nous nous caressons les culs ensemble. Il nous arrive presque toujours d’en jouir. Je ne demande pas toujours qu’elle se risque à des inventions plus obscènes Je suis surtout prête à la laisser aller avec une autre en ma parution pour apprendre de divines maniéres de penetrer et de jouir. Elle en sera capable rien que pour notre amour. J’adore Laurence et son visage. J’en profite toute la nuit au point que nous avons peine à nous lever pour repartir. Je suis sure qu’elle se branlera toujours dans la voiture qui commence à sentir la cyprine à force d’y être exposée.

Aurelien

Coquin amoureux de la plume et des belles photos, Erosto, m' est comme un petit boudoir coquin permettant de mettre par écrit les plaisirs sexuels, les histoires érotiques et les nombreux conseils coquins pour les couples, les hommes et les femmes qui aiment comme moi pimenter leur vie sexuelle et agrémenter les soirées torrides pour le seul plaisir du partenaire

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