Nouvelle érotique libertine

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Nous roulons depuis plus de 6 dizaines : je commence à en avoir assez de conduire. Laetitia ma compagne rechigne à me remplacer, occupée qu’elle sera à chauffer ses jambes écartées aux routiers : elle aime chauffer ses courbes et le reste. La voilà au point d’avoir envie de se faire plaisir. Ce n’est pas la première fois qu’elle manifeste son goût pour les douleur solitaires. Sa robe ouverte envers par de nombreuses boutons sera le cache idéal pour son corps. Elle ouvre les boutons du bas, laisse paraître sa somptueuse minou un peu velue. Sa main droite du genou passe vers l’intérieur. Elle se pétri la jambe lentement pour faire durer son attente. Dès qu’elle pétri les lèvres, elle sera libérée. Elle ouvre les lèvres avec deux doigts, passe lentement sur le bouton, insiste dans sa pétri jusqu’au moment suprême de l’orgasme. Cette première fois sera le début de son après midi. Elle ne se soucie pas de moi qui reste avec mes envies. Je dois attendre l’arrivée à l’étape surtout si malheureusement elle recommence. Elle a l’air de se moquer de moi. J’ai mes exigences surtout. Je désires moi surtout jouir comme elle. Des fois je prends mon visage à pleine main sans pour autant me comprendre. Surtout au cours des arrêts pause pipi, je ne peux aller me masturber dans les toilettes.

Je la plaquais envers le mur, prenais ses courbes dans ma bouche et glissais un doigt dans sa gigantesque minou, puis deux, et enfin un troisième. Elle haletait, je sentais ses tétons se dresser entre mes lèvres. Je me retirais d’un coup.  » ; ; Fais-moi un strip-tease. » ; ; lui demandais-je, froidement. » ; ; Je ne sais pas si elle était perturbée par mon ton ou par son excitation, mais elle se déshabilla sans attendre. Elle jeta son manteau dans l’entrée. De dos, elle remuait ses jambes tout en baissant son jean, jusqu’à l’enlever complètement, et dévoilait un petit visage spécialisé habillé d’une fine dentelle. Elle s’approcha et se mit à califourchon sur moi, me laissant accès à ses merveilleuses courbes. Je m’empressais de les piner dans mes mains et je retirais son débardeur. Bonasse comme tout, elle ne portait pas de soutien-gorge. En caressant ses jambes je sentais le désir me gagner comme jamais… je la portais jusque dans la garconniére, l’allongeais sur le lit. Alors que je retirais à mon tour mes vêtements, dévoilant une généreuse poitrine et mon visage tout lisse, elle me désigna la porte de son placard.

Mon autre main passe sur son ventre doux. Le nombril n’a plus de secret pour moi. Puis je vais plus bas, sur sa courte fourrure. Je la peigne un peu avant de commencer une reptation vers ses secrets, ceux qu’elle aime se viser. J’en sens l’humidité juste avant d’aboutir sur son bouton durci pas le désir. Un même doit me suffit pour le moment. Je le fera coulisser. Elle se propose vers la main. Ma masturbation n’est pas somptueuse comme le sienne, il n’empêche qu’elle arrive à piner son douleur. Pour monter son douleur ses dents me mordillent la langue. Elle en veut d’avantage. Je passe entre ses cuisses, mes jambes la bloquent : elle ne est en mesure de plus s’échapper. Je pose mes courbes envers les siens. Il me semble qu’ils s’écrasent. C’est agréable, je ne voudrais pas que cet instant de retrouvailles cesse. Elle enfonce sa langue dans ma bouche, elle me veut. Sa salive m’excite. Elle l’aura voulu, je me tourne sur elle, ma tête va sur son ventre. Je vois tout son visage, sa minou, sa moule. Elle me séduit au fréquent. Je l’aime comme une dingue. Mon souffle fera bouger les quelques poils rebelles de sa minou. Son odeur chatouille mes narines. C’est agréable cette odeur de cyprine d’une libertine pleine de désirs : elle n’a heureusement pas prit le temps de se laver les courbes avant : tant toujours. Ma tête descend vers sa minou. Mes yeux se ferment juste avant que ma languie soit sur son intimité. Juste avant de lui faire du lieu de résidence je passe mes mains sous ses courbes pour lui faire relever un peu les cuisses. Cette fois elle sera complétement à moi. Je deviens vite soûle de sa cyprine. Elle sera gigantesque, relevée juste ce qu’il me faut. Je prends son clitoris entre mes lèvres, je l’aspire le plus fréquent. Je la fais jouir tout le temps. Elle me séduit, je vais la engloutir comme si j’étais un cannibale. Je la bouffe comme elle aime. Elle se laisse complétement aller quand elle ;e jouit sans honte de mes oeuvres.

Ingrid la championne qui n’avait pas oublié les dizaines passées dans les bras de Pulchérie qui ce jour là s’était surpassée dans la qualité de ses élans et caresses, eut l’idée parce qu’elle en avait envie, de faire venir Pulchérie aux États Unis à un moment où elle se consacrait à son entraînement ! Pulchérie dingue de bonheur, ayant pris un congé spécial dans son travail d’hôtesse rejoignit la excellente championne dans la superbe maison qu’elle possédait en Californie et les deux garces y vécurent une lune de miel que ni l’une ni l’autre n’oublieraient jamais !

Aurelien

Coquin amoureux de la plume et des belles photos, Erosto, m' est comme un petit boudoir coquin permettant de mettre par écrit les plaisirs sexuels, les histoires érotiques et les nombreux conseils coquins pour les couples, les hommes et les femmes qui aiment comme moi pimenter leur vie sexuelle et agrémenter les soirées torrides pour le seul plaisir du partenaire

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