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Nous roulons depuis plus de 3 dizaines : je commence à en avoir assez de conduire. Kathleen ma compagne rechigne à me remplacer, occupée qu’elle sera à chauffer ses jambes écartées aux routiers : elle aime chauffer ses fesses et le reste. La voilà au point d’avoir envie de se taper une branlette. Ce n’est pas la première fois qu’elle manifeste son goût pour les douleur solitaires. Sa robe ouverte devant par de nombreuses boutons sera le cache idéal pour son corps. Elle ouvre les boutons du bas, laisse paraître sa sexy vulve un peu velue. Sa main droite du genou viens vers l’intérieur. Elle se touche la jambe lentement pour faire durer son attente. Dès qu’elle touche les lèvres, elle sera libérée. Elle ouvre les lèvres au travers de deux doigts, viens lentement sur le bouton, insiste dans sa touche jusqu’au moment suprême de l’orgasme. Cette première fois sera le début de son après midi. Elle ne se soucie pas de moi qui reste au travers de mes envies. Je dois attendre l’arrivée à l’étape surtout si quelques fois elle recommence. Elle a l’air de se moquer de moi. J’ai mes exigences notamment. Je souhaites moi notamment gémir comme elle. Des fois je prends mon sexe à pleine main sans pour autant me exaucer. Surtout au cours des arrêts pause pipi, je ne pourra aller me masturber dans les toilettes.

Il lui arrivait notamment d’emmener au travers de elle une ou de nombreuses de ses conquêtes jusque dans la maison du bord de mer que ses parents leur avaient offerte à elle et à sa soeur Kathleen Une fille délicieuse de vingt ans, bâtie comme une athlète au travers de des fesses en pomme aux aréoles brunes et aux tétons épais et durs ! Elle avait notamment un sexe de vulve aux larges pommettes, des yeux verts en amandes, des lèvres charnues et voluptueuses ! Et des doigts aux ongles ras qui savaient piner les nymphos au travers de toujours plus d’efficacité que les gros sexes de garçons ! Sans parler de son pubis à la toison touffue de sa vulve aux lèvres épaisses et d’un clitoris de la taille d’un sexe de garçon qui bandait comme une braie bite et que Sylviane adorait baiser entre ses lèvres pour faire gémir Kathleen qui, allongée tête bêche sur elle la faisait gémir à son tour, les soirs ou ni l’une ni l’autre n’avaient de partenaire draguée la veille ou dans la journée et qui les inondaient de leur douleur la vulve, ensuite incrustée dans la leur en écrasant leurs clitoris l’un devant l’autre ce qui les faisaient bramer de douleur entre deux coulées de cyprine échangées au travers de la partenaire en question ! Dans cette maison du bord de mer, en réalité basée sur une délicieuse île de l’océan atlantique, il y venaient notamment des garçons la plupart du temps des joueurs de tennis d’un niveau toujours supérieur à celui de Sylviane et à laquelle ils servaient de partenaires sur les courts du club de tennis de l’île ! La plupart du temps, Sylviane s’arrangeait pour inviter ensemble des garçons qui aimaient la fréquentation d’autres garçons ce qui lui évitait d’avoir à subir les assauts de mâles en quête de partenaires dans un lit et qui lui permettait ; à elle, de vivre en toute plénitude les élans sexuels qu’elle partageait au travers de des nymphos notamment gouines qu’elle et qui comblaient ses nuits de délires partagés !

J’y trouvais un gode et l’instrument qu’il me fallait, des menottes. J’accrochais cette délicieuse vicieuse aux barreaux de son lit, comme une vulgaire poupée, jambes et bras écartés. Je glissais ma tête sur son ventre jusqu’à atteindre son intimité et là, tenant ses cuisses pour mieux la dominer, je la léchais à n’en plus savoir. Ma langue allait et venait sans cesse, et sa respiration me parvenait saccadée. Je joignais quelques doigts, et je m’apprêtais à baiser ma revanche sur cette soumise. Je saisis le gode et le passais devant sa vulve, l’imprégnant de mouille. Elle s’attendait certainement à ce que je la pénètre au travers de, pour lâcher son excitation et sa jouissance, enfin. Mais elle éclata dans ma bouche, à la surprise du jouet dans son petit trou, sans préparation. Ce n’était pas un coup d’essai mais toutes mes caresses l’avaient menée au bord de l’explosion, et cette pénétration soudaine avait eu raison d’elle. Je sentais son corps trembler sous mes derniers coups de langue. Ma fin à moi était proche elle notamment ; je m’asseyais sur son doux sexe, sans la détacher. Elle compris et malgré la fatigue elle me prodigua un court cunnilingus qui me fit à mon tour gémir comme jamais. Je l’embrassais langoureusement, goûtant ma motivation, avant de la libérer.

J’en souhaites moi notamment, je me tourne complètement sur elle. Un jour elle m’a dit qu’elle aimait faire les 33. Je ne l’en ne prive pas. J’aime cette position notamment. Mes cuisses écartées prennent possession d’elle. Je sens ses fesses défaits sur mes cuisses, sur mon bas ventre. Je suis toute à elle. Enfin elle notamment me broute la vulve. C’est logement mieux que la première fois. Elle y a prit goût, comme moi à mes débuts. Mon ventre se contracte sous sa touche particulière. Ses mains sont sur mes fesses. Elle sait en faire ce qu’elle veut ; c’est toujours le bien venu. Surtout qu’elle a pris des initiatives que j’adore. Elle aime me viser profondément : j’aime ça. Je pense qu’elle y met jusqu’à trois doigts. C’est beaucoup pour moi qui n’aime plus les tiges ; J’ai eu le douleur une fois de lui dire qu’ j’aimais, avant, me faire viser le visage. Elle me touche quelques fois, le touche autour, dessus et depuis peu dedans. J’adore qu’elle entre un ou deux doigts dans mon intimité de derrière. Elle en profite, la nympho pour me le faire quelques fois. Je le lui rends notamment. Nous nous caressons les culs ensemble. Il nous arrive presque toujours d’en gémir. Je ne recherche pas mieux qu’elle se risque à des inventions plus obscènes Je suis surtout prête à la laisser aller au travers de une autre en ma visibilité pour apprendre de coquettes maniéres de piner et de gémir. Elle en sera capable rien que pour notre amour. J’adore Kathleen et son sexe. J’en profite toute la nuit au point que nous avons peine à nous lever pour repartir. Je suis sure qu’elle se branlera toujours dans la voiture qui commence à sentir la cyprine à force d’y être exposée.

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Aurelien

Coquin amoureux de la plume et des belles photos, Erosto, m' est comme un petit boudoir coquin permettant de mettre par écrit les plaisirs sexuels, les histoires érotiques et les nombreux conseils coquins pour les couples, les hommes et les femmes qui aiment comme moi pimenter leur vie sexuelle et agrémenter les soirées torrides pour le seul plaisir du partenaire

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