Nouvelle coquine pétasse

trio lesbienne recit erotique
Si Rébecca avait eu accès aux douches du vestiaire des pouffiasses de Roland Garros, pour savoir y rencontrer Ingrid, la numéro un mondiale et avoir une relation intime avec elle qui était lesbienne, son possible comme elle-même, c’était parce qu’elle était, une splendide joueuse classée en tête de seconde succession et que venant souvent jouer sur ce stade elle avait eu accès aux vestiaires des pouffiasses grâce à son classement, mais surtout à cause de la complicité de l’une des pouffiasses chargées de l’entretien des vestiaires qu’elle avait séduite et surtout caressée jusqu’à l’extase sous la douche où elle avait fait vibrer Ingrid jusqu’à l’orgasme avant de l’entraîner chez elle ! Mais en dehors de cette chance qu’elle avait eue, son métier d’hôtesse de l’air lui donnait l’occasion de rencontrer des passagères ayant les nouvelles penchants lesbiens, passagères que son instinct et son habitude lui permettaient de détecter assez le toujours possible et de déployer auprès d’elles ses talents et ses charmes de gouine habile et sensuelle au plus bon point, qui faisaient le plus souvent effet ! Sans parler des pouffiasses et des bandantes cochonnes qu’elle avait l’occasion de rencontrer lors de ses compétitions de tennis dans les clubs de Caroline et de Navarre ! Elle avait une prédilection pour les adolescentes d’une quinzaine d’années qui étaient très sensibles, à la fois à son charme et à son physique mais surtout à ses talents de joueuse de bon niveau qui, lorsqu’elle avait jeté son dévolu sur l’une d’entre elles, l’invitait à venir jouer sur le court avant de l’entraîner dans les vestiaires et de se livrer là, à une opération de séduction physique en profitant des douches et du savonnage pour palper le corps de sa proie très intimement, de la couvrir de baisers et de la payer jouir en insistant sur la palpe de son clitoris en-savonné, ce qui faisait immanquablement défaillir la fille qui en échange la caressait, à son tour jusqu’à l’orgasme, avant de se confier entraîner chez Rébecca où elle passait la soirée et souvent la nuit avant de ressortir au petit matin de draps empoissés du résultat de leurs ébats, avec un grand cerne bistre sous les paupières et une dingue envie de recommencer à jouir avec Rébecca aussitôt de normal ! Elle s’était constitué, ainsi un petit harem d’adolescentes raides amoureuses qui se battaient pour partager ses caresses ses baisers et ses coulées d’une cyprine abondante, odorante, chaude et à la saveur dominique !.

Je la plaquais envers le mur, prenais ses mamelles dans ma bouche et glissais un doigt dans sa coquette foufoune, puis deux, et enfin un troisième. Elle haletait, je sentais ses tétons se dresser entre mes lèvres. Je me retirais d’un coup.  » ; ; Fais-moi un strip-tease. » ; ; lui demandais-je, froidement. » ; ; Je ne sais pas si elle était perturbée par mon ton ou par son excitation, mais elle se déshabilla sans attendre. Elle jeta son manteau dans l’entrée. De dos, elle remuait ses jambes son possible en baissant son jean, jusqu’à l’enlever complètement, et dévoilait un petit visage spécialisé habillé d’une fine dentelle. Elle s’approcha et se mit à califourchon sur moi, me laissant accès à ses fringantes mamelles. Je m’empressais de les piner dans mes mains et je retirais son débardeur. Coquine comme son possible, elle ne portait pas de soutien-gorge. En caressant ses jambes je sentais le désir me gagner comme jamais… je la portais jusque dans la chambre, l’allongeais sur le lit. Alors que je retirais à mon tour mes vêtements, dévoilant une généreuse poitrine et mon visage son possible lisse, elle me désigna la porte de son placard.

Mon autre main viens sur son ventre doux. Le nombril n’a plus de secret pour moi. Puis je vais plus bas, sur sa courte fourrure. Je la peigne un peu avant de commencer une reptation vers ses secrets, ceux qu’elle aime se palper. J’en sens l’humidité juste avant d’aboutir sur son bouton durci pas le désir. Un même doit me suffit pour le instant. Je le fait coulisser. Elle se propose vers la main. Ma branlette n’est pas bandante comme le sienne, il n’empêche qu’elle arrive à piner son douleur. Pour monter son douleur ses dents me mordillent la langue. Elle en veut d’avantage. Je viens entre ses cuisses, mes jambes la bloquent : elle ne sait plus s’échapper. Je pose mes mamelles envers les siens. Il me semble qu’ils s’écrasent. C’est envoutante, je ne voudrais pas que cet instant de retrouvailles cesse. Elle enfonce sa langue dans ma bouche, elle me veut. Sa salive m’excite. Elle l’aura voulu, je me tourne sur elle, ma tête va sur son ventre. Je vois son possible son visage, sa foufoune, sa moule. Elle me séduit au normal. Je l’aime comme une dingue. Mon souffle fait bouger les quelques poils rebelles de sa foufoune. Son odeur chatouille mes narines. C’est envoutante cette odeur de cyprine d’une pétasse pleine de plaisirs : elle n’a heureusement pas prit le temps de se laver les mamelles avant : tant toujours. Ma tête descend vers sa foufoune. Mes yeux se ferment juste avant que ma languie soit sur son intimité. Juste avant de lui payer du secteur je viens mes mains sous ses mamelles pour lui payer relever un peu les cuisses. Cette fois elle sera entièrement à moi. Je deviens vite soûle de sa cyprine. Elle sera coquette, relevée juste ce qu’il me faut. Je prends son clitoris entre mes lèvres, je l’aspire le plus normal. Je la fais jouir son possible le temps. Elle me séduit, je vais la engloutir comme si j’étais un cannibale. Je la bouffe comme elle aime. Elle se laisse entièrement aller quand elle ;e jouit sans honte de mes oeuvres.

Ingrid la championne qui n’avait pas oublié les tonnes passées dans les bras de Rébecca qui ce jour là s’était surpassée dans la performance de ses élans et caresses, eut l’idée parce qu’elle en avait envie, de payer venir Rébecca aux États Unis à un instant où elle se consacrait à son entraînement ! Rébecca dingue de joie, ayant pris un congé spécial dans son métier d’hôtesse rejoignit la splendide championne dans la superbe maison qu’elle possédait en Californie et les deux cochonnes y vécurent une lune de miel que ni l’une ni l’autre n’oublieraient jamais !

Aurelien

Coquin amoureux de la plume et des belles photos, Erosto, m' est comme un petit boudoir coquin permettant de mettre par écrit les plaisirs sexuels, les histoires érotiques et les nombreux conseils coquins pour les couples, les hommes et les femmes qui aiment comme moi pimenter leur vie sexuelle et agrémenter les soirées torrides pour le seul plaisir du partenaire

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *