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Si Suzanne avait eu accès aux douches du vestiaire des cochonnes de Roland Garros, pour savoir y rencontrer Ingrid, la numéro un mondiale et avoir une relation intime en prenant en compte elle qui était lesbienne, son maximum comme elle-même, c’était parce qu’elle était, une reluisante joueuse classée en tête de seconde succession et que venant parfois jouer devant ce stade elle avait eu accès aux vestiaires des cochonnes grâce à son classement, mais également à cause de la complicité de l’une des cochonnes chargées de l’entretien des vestiaires qu’elle avait séduite et surtout caressée jusqu’à l’extase sous la douche où elle avait fait vibrer Ingrid jusqu’à l’orgasme avant de l’entraîner à son domicile ! Mais en dehors de cette chance qu’elle avait eue, son travail d’hôtesse de l’air lui donnait l’occasion de rencontrer des passagères ayant les merveilleuses penchants lesbiens, passagères que son instinct et son habitude lui permettaient de détecter assez le mieux possible et de déployer auprès d’elles ses talents et ses charmes de gouine habile et sensuelle au plus haut point, qui faisaient le plus parfois effet ! Sans parler des cochonnes et des sexy nymphos qu’elle avait l’occasion de rencontrer lors de ses compétitions de tennis dans les clubs de Line et de Navarre ! Elle avait une prédilection pour les adolescentes d’une quinzaine d’années qui étaient très sensibles, à la fois à son charme et à son physique mais également à ses talents de joueuse de haut niveau qui, lorsqu’elle avait jeté son dévolu devant l’une d’entre elles, l’invitait à venir jouer devant le court avant de l’entraîner dans les vestiaires et de se livrer là, à une opération de séduction physique en profitant des douches et du savonnage pour caresser le corps de sa proie très intimement, de la couvrir de baisers et de la faire jouir en insistant devant la palpe de son clitoris en-savonné, ce qui faisait immanquablement défaillir la fille qui en échange la caressait, à son tour jusqu’à l’orgasme, avant de se laisser entraîner chez Suzanne où elle passait la soirée et parfois la nuit avant de ressortir au petit matin de draps empoissés du résultat de leurs ébats, en prenant en compte un bon cerne bistre sous les paupières et une dingue envie de recommencer à jouir en prenant en compte Suzanne aussitôt de fréquent ! Elle s’était constitué, ainsi un petit harem d’adolescentes raides amoureuses qui se battaient pour partager ses caresses ses baisers et ses coulées d’une cyprine abondante, odorante, pulpeuse et à la saveur heather !.

Je la plaquais devant le mur, prenais ses fesses dans ma bouche et glissais un doigt dans sa joyeuse choune, puis deux, et enfin un troisième. Elle haletait, je sentais ses tétons se dresser entre mes lèvres. Je me retirais d’un coup.  » ; ; Fais-moi un strip-tease. » ; ; lui demandais-je, froidement. » ; ; Je ne sais pas si elle était perturbée par mon ton ou par son excitation, mais elle se déshabilla sans attendre. Elle jeta son manteau dans l’entrée. De dos, elle remuait ses jambes son maximum en baissant son jean, jusqu’à l’enlever complètement, et dévoilait un petit cul spécialisé habillé d’une fine dentelle. Elle s’approcha et se mit à califourchon devant moi, me laissant accès à ses exaltantes fesses. Je m’empressais de les enculer dans mes mains et je retirais son débardeur. Nympho comme son maximum, elle ne portait pas de soutien-gorge. En caressant ses jambes je sentais le désir me gagner comme jamais… je la portais jusque dans la garconniére, l’allongeais devant le lit. Alors que je retirais à mon tour mes vêtements, dévoilant une généreuse poitrine et mon cul son maximum lisse, elle me désigna la porte de son placard.

En dehors d’Ingrid, la numéro un mondiale de tennis qu’elle avait aimée en prenant en compte délire et délices, le temps d’un après-midi et d’une nuit et qui avait vingt cinq ans, Suzanne s’était aperçue que lorsqu’elles étaient dotées de tendances lesbiennes, plus les nymphos étaient sexy plus elles étaient audacieuses, sensuelles et déchaînées au lit !

Appartenant à une famille très bourgeoise du seizième arrondissement de Paris, elle savait s’adapter à la nature et à l’éducation de toutes ses conquêtes et savait les caresser et les faire jouir comme des folles en prenant elle surtout un pied intense en les matant se tordre de douleur devant son lit et en sachant guider leurs doigts là où elle avait envie de les sentir naviguer pour la faire jouir et juter à son tour entre leurs lèvres ou surtout dans leurs cramouilles béantes ! Elle avait ainsi, toute une cohorte de nymphos folles amoureuses d’elle et bloquant sans arrêt son portable dès qu’elle était au sol ! Par devant les pilotes et personnel naviguant masculins qui avaient tenté de la convenir à étaient tous tombés devant des refus, sauf un qu’elle avait trouvé joli qui avait un cul joyeuse et qui l’avait pratiquement violée en pleine nuit, dans les toilettes de l’appareil ! Quant à sa collègue de travail elle la caressait en douce entre deux plateaux-repas à épauler et lui volait ses petites culottes pour les humer le soir dans son lit quand elle y était seule, ce qui n’arrivait pas parfois ! Et lorsqu’elle était devenue  » ; chef hôtesse » ; , elle avait une liste d’attente de débutantes dans le travail qui espéraient, en la faisant jouir, avoir de jolies notes et de l’avancement !

Aurelien

Coquin amoureux de la plume et des belles photos, Erosto, m' est comme un petit boudoir coquin permettant de mettre par écrit les plaisirs sexuels, les histoires érotiques et les nombreux conseils coquins pour les couples, les hommes et les femmes qui aiment comme moi pimenter leur vie sexuelle et agrémenter les soirées torrides pour le seul plaisir du partenaire

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