Nouvelle coquine esclave sexuelle

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Nous roulons depuis plus de 3 heures : je commence à en avoir assez de conduire. Jayden ma compagne rechigne à me remplacer, occupée qu’elle est à dévétir ses jambes écartées aux routiers : elle adore dévétir ses mamelles et le reste. La voilà au point d’avoir envie de se taper une branlette. Ce n’est pas la première fois qu’elle manifeste son goût afin de les plaisir solitaires. Sa robe ouverte envers par de nombreux boutons est le cache idéal afin de son corps. Elle ouvre les boutons du bas, laisse paraître sa somptueuse foune un peu velue. Sa main droite du genou viens vers l’intérieur. Elle se touche la jambe lentement afin de faire durer son attente. Dès qu’elle touche les lèvres, elle est libérée. Elle ouvre les lèvres avec deux doigts, viens lentement sur le bouton, insiste dans sa touche jusqu’au moment suprême de l’orgasme. Cette première fois est le début de son après midi. Elle ne se soucie pas de moi qui reste avec mes envies. Je dois attendre l’arrivée à l’étape surtout si quelques fois elle recommence. Elle a l’air de se moquer de moi. J’ai mes besoins également. Je souhaites moi également gémir comme elle. Des fois je prends mon cul à pleine main sans afin de autant me faire plaisir. Surtout au cours des arrêts pause pipi, je ne pourra aller me masturber dans les toilettes.

Je la plaquais envers le mur, prenais ses mamelles dans ma bouche et glissais un doigt dans sa splendide foune, puis deux, et enfin un troisième. Elle haletait, je sentais ses tétons se dresser entre mes lèvres. Je me retirais d’un coup.  » ; ; Fais-moi un strip-tease. » ; ; lui demandais-je, froidement. » ; ; Je ne sais pas si elle était perturbée par mon ton ou par son excitation, mais elle se déshabilla sans attendre. Elle jeta son manteau dans l’entrée. De dos, elle remuait ses jambes son maximum en baissant son jean, jusqu’à l’enlever complètement, et dévoilait un petit cul parfait habillé d’une fine dentelle. Elle s’approcha et se mit à califourchon sur moi, me laissant accès à ses divines mamelles. Je m’empressais de les ruiner dans mes mains et je retirais son débardeur. Maman comme son maximum, elle ne portait pas de soutien-gorge. En caressant ses jambes je sentais le désir me gagner comme jamais… je la portais jusque dans la piaule, l’allongeais sur le lit. Alors que je retirais à mon tour mes vêtements, dévoilant une généreuse poitrine et mon cul son maximum lisse, elle me désigna la porte de son placard.

Thérèse, qui était lesbienne jusqu’au bout de son clitoris, ne fut pas trop affectée par cette séparation car dans son métier les occasions de convenir à les nymphos étaient nombreuses et elle ne se privait pas de les exploiter, ramenant à son domicile des nymphos conquises pendant le vol ou lors d’un cocktail ou d’un dîner ! Il faut dire qu’elle était physiquement très splendide qu’elle avait un corps splendide, d’une sensualité à fleur de clito et était dotée d’un regard bleu pâle pailleté d’or capable de faire fondre tous les icebergs de la banquise ! De plus elle avait des doigts et des lèvres magiques qui savaient mettre en torche les corps de ses conquêtes qui sortaient de ses bras hagardes, le regard noyé, la foune en béance, follement amoureuses de leur homme et ne rêvant que d’une chose : Recommencer ! Sans savoir que Thérèse qui avait déjà fait la ferveur avec une autre la nuit précédente allait faire plaisir celle-là en plongeant son gros orteils et de nombreux autres jusqu’au plus profond envisageable de sa foune, à moins qu’elle ne se serve de l’un de ses godes à vibreur intense qui les faisaient se tordre de plaisir dans des draps embaumés par les parfums divers et intimes des autres nymphos qui y avaient joui avant celle là !

En remerciement mon amie tint parole et je passais une nuit au paradis en la contemplant faire la ferveur avec sa soeur avec laquelle elle accoupla leurs deux vulves ruisselantes et leurs deux clitoris, tant et si milieu que après avoir joui avec sa soeur, cette dernière se désaccoupla d’ avec elle afin de venir chevaucher mon cul dressé vers le plafond que je branlais en les contemplant se gouïner ! Tout au long de que, allongé sur le dos et sur le bon lit, je baisais sa soeur, mon amie vint s’asseoir sur mon cul afin de m’offrir sa cramouille devenue marécage et son clito bandé comme une pine de garçonnet !

Aurelien

Coquin amoureux de la plume et des belles photos, Erosto, m' est comme un petit boudoir coquin permettant de mettre par écrit les plaisirs sexuels, les histoires érotiques et les nombreux conseils coquins pour les couples, les hommes et les femmes qui aiment comme moi pimenter leur vie sexuelle et agrémenter les soirées torrides pour le seul plaisir du partenaire

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