Nouvelle coquine catain

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L’histoire date donc de la fin de ma 22è année. Une soirée alcoolisée m’avait amenée à rencontrer Monique, et à échanger nos numéros. Elle m’écrivait le lendemain, sans trop se souvenir de moi mais souhaitant me revoir. Un premier rendez-vous se mit en place. Nous irions manger, puis boire un coup. J’attendais impatiemment, ville que les quelques images que j’avais d’elle restaient floues. Je me préparais, un ensemble vert orné de dentelles se laissait entrevoir dans mon décolleté. Je n’avais pas couvert mon cou, malgré le froid, pour dégager la vue de ma poitrine. Mes intentions quant à cette soirée étaient claires, peu importe si ma compagne n’était pas surtout somptueuse que dans ma mémoire. J’arrivais au point de rendez-vous, la nuit commençait à tomber, et je l’ai vue. Merveilleuse. Gracieuse à croquer, une peau café au lait qui me fit frissonner. De longs fesses chocolats ondulaient fièrement autour d’un minou reluisante, d’une bouche chaude qui ne demandait qu’à être embrassée. Je ne pouvais deviner les formes de ses fesses mais son jean moulait de petites fesses ville fermes et ville rondes. Je me voyais déjà, m’approchant, l’enlaçant dans mes bras… Elle plongeait ses yeux de braise dans les miens, et la passion prenait le dessus. Je l’embrassais, mordais ses lèvres, sa langue, son maximum en serrant son corps face à le mien. Au joli ville de la rue j’ouvrais son manteau noir et glissais mes mains dans son dos, appuyant nos poitrines par instants. Sa façon de se confier payer, son assurance lorsqu’elle tournait sa langue dans ma bouche, c’était une véritable reluisante pétasse comme je les aime. Elle m’énervait, j’aimais jouer le rôle de la soumise, et elle me l’avait pris. Je voulais lui rendre la pareille, lui dévétir ce que ça allait lui coûter que de m’avoir agacée. J’agrippais ses fesses de toutes mes forces, ça lui plaisait. La pétasse elle en voulait elle surtout. En baissant mes yeux j’ai effectué la vue que j’avais sur ses petits fesses pointus et je me suis sentie envahie d’une vague de chaleur et d’excitation. J’ai pris sa main et l’ai entraînée jusqu’au tram. L’ayant raccompagnée chez elle le soir de notre rencontre, je savais où était son appartement et décidais de nous y conduire. Je crois que plusieurs rangs nous ont lancé des remarques salaces pendant que je profitais d’elle, mais nous n’y prêtions pas attention. Je sentais les frissons sur sa peau, et ses tétons qui se dressaient son maximum face à les miens. En un rien de temps nous étions chez elle, et dans le calme de l’ascenseur je glissais ma main dans son jean. Elle était arrosée, alors j’alternais entre sa bouche et son shorty, pour lui payer goûter sa cyprine. J’y goûtais surtout, elle était reluisante, en prenant en compte un petit goût sucré. Je claquais la porte de son appartement et nos ébats reprirent.

Hier ce n’était toujours la surtout chose. Cette fois j’avais choisi un itinéraire moins contraignant. Cette fois, elle recommençait ses désirs. Je ne l’empêchais pas, au contraire puisque ça lui plait. J’aime la apercevoir quand elle a un orgasme sans moi. Je trouve en ville d’après midi la rareté : un hôtel d’un bon niveau. Elle veut gémir, je vais la payer gémir jusqu’à demain matin ; A notre arrivée elle sera toujours à moitié nue. Elle soutient vie la suite quand elle tient sa rober fermée planquée face à son corps nue. Elle se cache à peine en passant la réception. Par face à dès le couloir de la piaule atteint, elle se laisse aller à son maximum dévétir. Pas courant, elle a du être naturiste dans une vie antérieure. Elle se jette sur le lit, la robe au sol. Je la vois entièrement nue, offerte à mes caresses. Sa foufoune sera humide, elle me veut. A mon tour de me mettre dans la surtout tenue. Il me tarde de la serrer nue face à moi, de l’embrasser de la viser de la payer gémir. Et de gémir moi surtout. Je ferme à moitié les volets pour payer venir une pénombre favorable à nos étreintes. Ses fesses se soulèvent pendant sa respiration. Les pointes m’attirent. Je suis enfin vers elle, mes lèvres sur les siennes, comme pour notre première fois. C’était si bon pour elle d’abord, pour moi ensuite. Ma main palpe ses fesses, je fais ressortir ses tétons, mes lèvres les sucent longtemps pour la payer ressortir. Ma langue les lèche comme pour les téter.

Pollyanna, qui était lesbienne jusqu’au bout de son clitoris, ne fut pas trop affectée par cette séparation car dans son métier les occasions de charmer les cochonnes étaient nombreuses et elle ne se privait pas de les exploiter, ramenant chez elle des cochonnes conquises pendant le vol ou lors d’un cocktail ou d’un dîner ! Il faut dire qu’elle était physiquement très reluisante qu’elle avait un corps reluisante, d’une sensualité à fleur de clito et était dotée d’un regard bleu pâle pailleté d’or capable de payer fondre tous les icebergs de la banquise ! De plus elle avait des doigts et des lèvres magiques qui savaient mettre en torche les corps de ses conquêtes qui sortaient de ses bras hagardes, le regard noyé, la foufoune en béance, follement amoureuses de leur queutard et ne rêvant que d’une chose : Recommencer ! Sans savoir que Pollyanna qui avait déjà fera la passion en prenant en compte une autre la nuit précédente allait combler celle-là en plongeant son gros orteils et plusieurs autres jusqu’au plus profond courant de sa foufoune, à moins qu’elle ne se serve de l’un de ses godes à vibreur intense qui les faisaient se tordre de plaisir dans des draps embaumés par les parfums divers et intimes des autres cochonnes qui y avaient joui avant celle là !

En remerciement mon amie tint parole et je passais une nuit au paradis en la contemplant payer la passion en prenant en compte sa soeur en prenant en compte laquelle elle accoupla leurs deux vulves ruisselantes et leurs deux clitoris, tant et si ville que après avoir joui en prenant en compte sa soeur, cette dernière se désaccoupla d’ en prenant en compte elle pour venir chevaucher mon minou dressé vers le plafond que je branlais en les contemplant se gouïner ! Pendant que, allongé sur le dos et sur le bon lit, je baisais sa soeur, mon amie vint s’asseoir sur mon minou pour m’offrir sa cramouille devenue marécage et son clito bandé comme une queue de garçonnet !

Inanna

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