André et Mélanie viennent de faire l’amour. En sueur l’un et l’autre, avec tout de même plus de traces pour Mélanie, ils discutent.
-Tu sais de quoi j’ai envie mon amour ?
-Là tout de suite ? D’une bonne douche vu ton état ! lui répond André
-Oui, aussi, mais je ne pensais pas à cela
– Dis-moi
-Mariage. Et si on se mariait
-Quoi… mais… euh…
-Non pas pour de vrai, rassure toi
André est farouchement opposé au mariage, Mélanie le sait bien depuis le temps qu’ils sont ensemble, mais ce qu’elle veut, c’est tout autre chose que l’union devant le curé ou même devant le maire.
-Et bien explique toi alors
-C’est mon fantasme depuis bien longtemps. J’ai envie de le réaliser coûte que coûte depuis quelques mois
-Et tu m’en parles seulement maintenant ?
-Oui. Ce n’est pas forcément facile de parler de cela…
-Avec moi ! Pas facile de parler ! Je pense être assez ouvert d’esprit tout de même
Mélanie vient se lover dans ses bras après l’avoir embrassé sur la bouche, lui déposant quelques particules des restes de sperme qu’elle vient d’avaler.
-Je fantasme sur l’idée d’être baisée à mon mariage, du moins, d’être baisée en robe de mariée, de servir de putain à tous ceux qu’ils le souhaitent, que tu souhaites durant le mariage…
André est barman dans un club libertin, des idées tordues, des fantasmes excentriques, des soirées à thèmes, des pratiques dont il ne soupçonnait pas l’existence dans son ancienne vie, il en a vue, et pourtant, jamais il n’aurait pu penser à ce fantasme là. C’est un homme grand, musclé, fière allure et prenant soin de sa silhouette. De toute manière, s’il veut conserver son emploi, le patron lui a bien fait comprendre qu’il se doit d’être agréable à l’œil et de pouvoir discuter sur tous les sujets, sans jamais émettre le moindre jugement.
Mélanie est une ancienne stripteaseuse qui a un lourd passé dans le domaine du sexe. Ses sextapes et autres films porno amateurs ont plusieurs fois fait parler d’eux, et pas forcément que dans les revues adultes et les endroits spécialisés. A cela, elle peut dire merci à tous les réseaux sociaux. Grand, brune, les cheveux descendant au niveau de ses reins, des seins volumineux et fermes, des jambes interminables, et un petit fessier juste comme il faut pour la main d’André.
Ils sont beaux, ils sont amoureux, ils ont la vie devant eux, et au lit, ce n’est pas de tout repos.
-Explique moi cela, mais avant, va donc prendre une douche pour retirer toutes les traces et autres odeurs que tu as, je ne me ferais jamais à ces mélanges d’huiles aphrodisiaque, de cyprine et de vieux foutre.
-Viens avec moi, on sera mieux
-Non, file, j’irai ensuite et on parlera. Si on y va tous les deux, je sais comment ça va finir.
-Oui je sais, c’est justement pour ça que je te le demande.
Mélanie ne laisse pas le choix et André et lui empoigne à pleine main ses deux testicules.
-Vient !
N’ayant pas le choix, André suit la cadence avant de voir son service trois pièces étirés au maximum.
Sous la douche, Mélanie commence à se frotter le corps sensuellement. Elle masse ses seins, son ventre plat, sa nuque, elle lave ses cheveux. Le mal est fait. A force de voir Mélanie se nettoyer et onduler devant lui, André retrouve sa vigueur masculine.
A genoux dans la cabine de douche, Mélanie commence à nettoyer la verge grossissante d4andré qui s’appuie sur les parois. Son phallus érigé, il le voit disparaitre dans la bouche de sa belle. 1 minute, 2 minute, combien de temps, il ne sait pas, mais cette pipe est bonne, très bonne. Pourtant, il ne cesse de penser au fantasme du mariage et du terme putain.
Mélanie, la putain du mariage. A cette idée, il en devient incontrôlable et se déverse dans la bouche de Mélanie, surprise par cet afflux de semence, abondante cette fois encore.
-Et bien, dit elle, je vois que l’idée te donne des idées mon cochon. Je ne t’ai jamais vu éjaculer si fort une seconde fois.
-Va falloir que tu me dises tout, maintenant.
André bande encore suffisamment pour profiter de la douceur de la matrice de Mélanie. Les fesses tendues vers le plafond et sur la pointe des pieds, elle expose sa croupe pour se laisser pénétrer par son étalon. André lui glisse dedans très facilement. Quelques va et vient suffisent à faire jouir fortement Mélanie. Quelques minutes plus tard, le ballon d’eau chaude vidé, les deux amoureux sont obligé de cessé leurs ébats humides, non content d’avoir jouit plusieurs fois de suite.
Installés confortablement dans le lit tous les deux, les regards se croisent ; André attendant patiemment que Mélanie prennent la parole.
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