Au magasin un après-midi

Bonjour, nous nous présentons : moi, je suis Sylvie, dessinatrice, 22 ans, 1m76 pour 58kg, rousse aux longs cheveux (milieu du dos),95B de poitrine et sexe totalement épilé.

Mon fiancé, Luc, 25ans, ambulancier, 1m97 pour 85kg, cheveux très courts noirs, bien musclé, mais sans trop.

Cette histoire s’est passée un jour où nous faisions des courses en ville. Nous habitons la région de Québec. Ce jour là, j’avais envie de m’acheter un ensemble de sous-vêtements complet ainsi qu’un nouveau tailleur.

On a commencé par les sous-vêtements. J’avais choisi un ensemble soutien push-up, un string, un porte-jarretelles blanc ainsi que les bas. J’essayais tous ça en cabine. Mon fiancé était vraiment enchanté de mon choix et à le voir ainsi excité, je remarquai que je commençais à mouiller comme une folle.

Je me rhabillai (je portais un tailleur jupe courte bleu marine, des bas noirs et des chaussures à haut talons) et il ne voulut pas que je remette mon string. Il le mit dans le sac de mes nouveaux sous-vêtements.

J’adorais cette sensation : sentir l’air frais me caresser mon sexe doux, épilé et si mouillé.

Le problème, c’est que je mouillais tellement que je sentais cette humidité envahir le dessus de mes cuisses et arriver à la lisière de mes bas.

On redescendait vers le centre de Québec à pied et je remarquais que Benoît avait une érection du tonnerre.

Pour le faire mousser, j’ai défis deux boutons de la veste du tailleur, ce qui dévoila en grande partie mes seins soutenus par un soutien noir.

Ce qui n’arrangeait pas les choses, car à voir mon homme dans cet état et les passants me regarder, ça me rendit folle d’envie et je sentis mon sexe se liquéfier.

Nous sommes rentrés dans un magasin de vêtements et ne trouvant pas mon bonheur au rez de chaussée, nous sommes montés à l’étage. Tout en montant l’escalier, ma jupe courte et moulante remonta si fort que je dévoilai mes bas et le bord de la peau nue de mes cuisses.

Le vendeur n’en ratait pas une miette. Je me dirigeai vers la cabine. Mais voilà, Benoît n’avait pas voulu que je rabaisse ma jupe et arrivés à la cabine où le vendeur nous attendait, mon sexe était presque à l’air et un fin filet de mouille coulait littéralement de ma chatte. J’ai voulu lui en mettre plein la vue ; j’ai mis une main sur ma chatte pour recueillir mon jus, puis j’ai léché ma main et je suis entrée dans la cabine avec mon homme.

J’ai immédiatement sorti son sexe et j’ai commencé à le sucer. Lui aussi, il était détrempé. Il a ouvert ma veste, a retiré mon soutien et me pelotait les seins. Il m’a retourné et m’a prise par derrière. J’avais besoin de crier mais je me retenais en serrant les dents.

Dans nos mouvements de plaisirs, j’ai accroché un peu la tenture de la cabine et je vis que le vendeur était encore là, mais qu’il était rentré dans la cabine face à la nôtre et qu’il était en train de e faire sucer par une autre vendeuse blonde assez jolie.

Alors, je n’ai pas hésité et j’ai ouvert en grand le rideau.

Benoît a redoublé de puissance et je ne pouvais plus retenir mes gémissements.

Il ne fallut plus beaucoup de temps pour que j’atteigne mon 1er orgasme très puissant. Ensuite, je me mis à genou devant sa queue comme la vendeuse dans la cabine d’en face.

Le vendeur jouit et recouvrit le superbe visage de sa compagne. Juste après, ce fut au tour de mon Benoît de m’en asperger le visage avec de longs jets chauds.

Il me releva et on vit que les vendeurs étaient partis.

Il ne voulut pas que je remette mes sous vêtements. Donc, je remis ma veste (j’avais entre temps essayé le tailleur qui m’allait comme un gant). Je voulus prendre un mouchoir pour m’essuyer le sperme qui coulait sur mes joues et le menton mais il me l’interdit.

On arriva à la caisse et heureusement, il n’y avait personne d’autre que nos vendeurs. Ils me regardèrent et me dirent que je ne payerai que la veste et que la jupe c’était un cadeau pour notre audace.

Je m’essuyai et on sortit.

On remonta chercher la voiture et sur le chemin, Benoît ne se gênait pas pour dévoiler mes bas, mes cuisses et le bord de mes fesses aux passants.

Je peux vous dire que la nuit fut très très chaude.

Sylvie bonabese

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