Lily, jeune lesbienne coréenne

Lily est une jeune sud coréenne. Je l’ai vue pour la première fois au magasin où elle travaillait à l’époque, alors qu’elle servait des clients. Les nombreuses photos d’elle que mon compagnon -dont elle était l’ex femme- possédait encore, ont fini, à force de les regarder sans cesse, par me rendre dingue. Je ne savais m’expliquer cette sensation inhabituelle envers cette femme que, selon les conventions, j’étais sensée haïr. Je lui trouvais quelque chose de spécial, sa beauté peut-être, sa grâce sûrement, sa douceur. Ses cheveux étaient lisses et noirs de jais, ses yeux étaient marrons et en amande, son visage ovale paré d’un petit nez fin et d’une bouche en cœur, avec des lèvres pulpeuses. Elle était petite et menue. Elle n’avait pas forcément un corps qui correspondait à ce qu’on appelait communément un “corps de rêve”, mais elle savait le mettre en valeur et il était suffisamment harmonieux à mon goût pour que je puisse apprécier l’imaginer nue. Au fil du temps, je me suis rendue compte que mes sentiments pour elle allaient bien au-delà de ce qu’ils devaient être. C’est simple: elle m’obsédait.
Un soir, alors que j’allais me coucher, seule chez moi, elle ne quittait pas mes pensées. Je pris encore une fois quelques photos d’elles et les regardait, admirative devant tant de beauté. C’est alors qu’il me prit une drôle de sensation au niveau du bas ventre, ce n’était pas désagréable, comme si quelque chose me chatouillait. J’avais de toute évidence, envie de me masturber.
Allongée sur le dos, ma nuisette, sous laquelle j’étais nue, me permit de conduire ma main sans encombre à l’entrée de mon vagin, où je pus sentir que je mouillais abondamment. J’essuyai un peu de cette mouille avec deux de mes doigts que je portai ensuite à ma bouche afin d’en sentir l’odeur et la consistance. C’était transparent, assez épais et gluant. Je remis ma main entre mes jambes et y insérai mon index à plusieurs reprises. Puis, ma main entière effleura mon sexe. J’ai continué à me caresser ainsi pendant plusieurs secondes. Pour mieux ressentir le plaisir, j’écartai mes jambes au maximum, puis avec mon index et mon majeur, je remontai lentement jusqu’à mon clitoris, tout dur alors, et le caressai en effectuant des petits cercles en va-et-viens avec ces deux doigts, les pensées remplies de celle que mon imagination m’offrait pour ce plaisir.

Tandis que mon corps se crispait, que mes yeux se fermaient, je m’abandonnais à cette agréable sensation et ne pus réprimer des cris « oh ouiiiii », « huuuum ». Quand je sentais que j’étais au bord de l’orgasme je m’arrêtai un peu, juste le temps de voir en rêve ma belle s’abandonner à moi, nue, d’imaginer combien sa peau devait être douce, et d’un coup, ce n’était plus tenable, une sensation indescriptible m’envahissait, alors je repassais rapidement mes doigts sur mon clitoris et il ne suffisait que de quelques secondes pour que mon vagin soit pris de spasmes, et qu’en plein jouissement, je lui crie « je te veux », « je t’adore », « oooooh oui ». Quelques instants plus tard, je sentais de nouveau de la mouille affluer à l’entrée de mon vagin.
Je repris ma respiration, essoufflée par ce plaisir qui m’avait envahi et après quelques minutes allongée, je décidai de remettre cela de nouveau, jusqu’à épuisement – en priant pour que cet épuisement soit le plus tardif possible, tant je ne me lassais pas de ce plaisir. Cette nuit là, je me suis fait jouir 12 fois.

Je parlais à Lily depuis quelques temps par téléphone, j’étais en fait l’intermédiaire entre elle et mon copain pour leur divorce à venir, la communication entre eux étant rompue. Une relation s’est alors crée, je ne peux pas dire que nous étions amies, mais on s’entendait bien. Comme elle n’avait pas de voiture, et m’avait demandé de venir la chercher le jour du divorce.
Le jour venu, comme convenu, je l’attendais à la gare. Elle rayonnait. Elle portait un legging en cuir noir, des talons hauts de la même couleur et un débardeur blanc, qui laissait deviner la forme des petits seins qu’il dissimulait. Elle monta dans ma voiture, et nous partîmes au rendez-vous. Après qu’il fut fini, elle accepta d’aller chez moi pour boire un verre. Sur le trajet, je tentai de la mettre à l’aise, ayant ma petite idée derrière la tête.
Alors qu’elle était assise sur le canapé, je lui lançai des petits regards en espérant qu’ils soient lourds de sens. Sentant le désir monter en moi, je me dépêchais alors de trouver un prétexte pour l’emmener dans mon lit. Heureusement pour moi, ses cernes, même s’ils n’abimaient en rien sa beauté, démontraient une grande fatigue.

 

« Tu as l’air fatiguée, tu veux te reposer un peu avant de prendre le train ? ».

Elle acquiesça.

C’est alors qu’elle se plaint d’avoir mal au dos, et comme nous étions désormais assez à l’aise pour que je puisse me le permettre, ce fut l’occasion rêvée de lui proposer un massage. Elle accepta ma proposition et ôta complètement son haut, en prenant soin de me cacher le spectacle de sa nudité. Mais déjà son dos nu m’excitait.

 

 

Je commençai alors à la masser avec la paume de ma main, d’une façon douce et langoureuse. Effectuant d’abord des va et viens de haut en bas sur son dos pendant quelques minutes, je me mis ensuite à masser sa nuque, et à redescendre doucement jusqu’à commencer à effleurer le côté de ses seins. A ma grande surprise, elle prit doucement mes mains et les conduit sur sa poitrine. Je pouvais sentir ses petits seins bien fermes et les caressai avec la plus grande délicatesse. Ses mamelons, tout petits, étaient durs, et j’en titillais le bout avec mon index. Je ressentis alors qu’elle avait un frisson. Je me déshabillai à mon tour et collai mon corps contre le sien. Je commençai par lui embrasser la nuque et ondulais mon corps en prenant bien soin de caresser son dos avec mes seins.

 

 

 
D’un geste doux, j’enlevai son legging, sous lequel elle était nue, ce qui me permit de découvrir d’un coup ses petites fesses rebondies. Je ne pus m’empêcher de les caresser.
C’est alors qu’elle se retourna et que je découvris sa nudité, cette merveille que je m’étais imaginée de nombreuses fois devenait enfin réalité. Mes yeux se baissèrent naturellement vers son sexe, dont les poils étaient fins et peu nombreux, ce qui la rendait fraiche à souhait.
Je poursuivis mes caresses sur son bas ventre, juste assez longtemps pour avoir le temps de la contempler sans qu’il y ait de temps mort.

 

 

Je descendais ma main vers son vagin, et je pus sentir sa mouille, chaude et abondante, entre mes doigts, et après l’avoir pénétrée avec mon index, je portai ce dernier à ma bouche afin de goûter à ce nectar dont j’avais tant de fois imaginé le goût. C’était sucré et piquant à la fois, d’une agréable douceur pour les papilles et d’une odeur qui aujourd’hui encore, me rend folle rien qu’en y repensant.
Je me penchai alors et explorai ce trésor avec ma langue cette fois. Je soulevai délicatement ses jambes, et commençai par un grand coup de langue, depuis l’entrée de son vagin jusqu’à la naissance de ses lèvres. Je sus au grand soupir qu’elle poussa, qu’elle appréciait ce geste et pour la faire languir un peu, j’effleurai son anus avec ma langue. Mais n’en pouvant plus d’attendre de la goûter, je dévorai sa mouille en enfonçant ma langue dans son vagin pour être sûre de ne pas perdre une seule goutte de cette essence. Elle prit alors ma tête de ses douces mains, et me conduit jusqu’à son clitoris: elle voulait que je la fasse jouir, là, maintenant!! Je léchai alors du bout de ma langue l’objet de son plaisir, tout en lui caressant la cuisse d’une main et les seins de l’autre…

Elle poussait de petits gémissements de sa petite voix douce et claire

« oh oui, comme ça, continue, encore »,

et je pouvais sentir son excitation aux battements rapides de son cœur et à son souffle accéléré. Je poursuivis mes va et viens avec ma langue alternant parfois avec mes mains le temps de lécher tout son corps, et il ne suffit que de quelques minutes pour que je la sente se cambrer, que je voie ses yeux rouler en arrière, jusqu’à ce que son corps tout entier se mette à trembler, qu’elle ondule ses hanches comme une sirène et qu’elle pousse un cri

« ooooooooooooh ouiiii j’adoreeee tu me fais rêver »…

 

 

 

Et comme mon excitation était à son paroxysme, que mon bas ventre était douloureux tellement j’avais envie de jouir, je continuais son ascension au septième ciel en frottant mon clitoris contre son sexe. Il ne suffit que d’une fraction de seconde pour que je me cambre à mon tour et que je hurle, telle une chienne, tout le plaisir qu’elle me donnait. Je ne pus réprimer mon envie de goûter une dernière fois son essence et pour conclure, nettoyai son vagin avec ma langue, tandis qu’elle reprenait ses esprits. Je m’allongeai à ses côtés et nous collâmes nos deux corps nus encore bouillants dans une longue étreinte.
« Tu es si belle… » lui dis-je.

C’est alors que la porte de l’appartement s’ouvrit…
« Laetitiaaaa! Laetitiaaaaaa! » Mon compagnon me secoua un peu et m’embrassa sur les lèvres. « Tu as l’air fatiguée, besoin d’un massage »?
Il me fallut quelques temps pour reprendre mes esprits, et me rendre compte que tout cela n’était encore une fois qu’un rêve…

 Auteur: Pepette2702

Erosto : Voici le premier récit d’une femme qui aimerait avoir vos avis sachant qu’elle ne se considère ni comme une écrivaine ni comme une poète. A vous de lui donner vos impressions et critiques constructives. Pour ma part, j’espère qu’il y aura encore d’autres récits aussi prenant et excitant.

Pepette2702

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