Les jouissances de ma femmes, partie 2

Fabrissa vous transmet cette seconde partie de : Jouissance de sa femme, partie 1

Cette fois je n’en parle pas à mon mari avant.
J’entre dans le château directement. J’aperçois mon amante, celle d’hier : elle s’approche de moi, m’embrasse rapidement sur la bouche, avant de partir je ne sais où. Et moi qui comptais sur sa présence à mes cotés. J’entre dans la salle de bal. J’ai le temps de prendre une table, une chaise. Une très jolie serveuse me demande ce que je veux boire. Je ne peux quand même pas lui dire que je voudrais lécher un sexe de femme. Je suis invitée par une femme de ma taille à danser.
Cette fois c’est sur un tango que je me fait draguer. Ses lèvres cherchent les miennes sans cesse. Quand je lui donne ma bouche, je sais que je vais succomber à ses  charmes. Notre danse se transforme en pelotage. Tant elle que moi cherchons les seins ou la taille. Mais elle va bien plus loin en posant sans complexe une main sur mon bas ventre. Au moins c’est directement avoué. Nous faisons une autre danse très serrées. Je sens son pubis contre le mien. Ses siens viennent sur ma poitrine. Elle m’embrasse profondément : je crois bien que c’est la première fois qu’une bouche me fait tant plaisir sur la mienne.
Elle me demande si je veux, sans me dire quoi. Je réponds que oui. Cette fois nous montons à l’étage. L’escalier est difficile à monter avec les nombreux arrêts que nous faisons. Mon gloss a disparu dans la bataille. Elle ouvre la porte d’une chambre, m’y fait entrer. Elle me prend par les épaule :

Je te veux, tu es belle, donne toi.
Toi aussi tu es belle, je le demande de me baiser.

Elle m’embrasse encore une fois sur la bouche, cette fois sa langue ne sort plus de ma bouche.
Que je mouille. Elle me caresse les fesses, cherche la raie, la trouve sous la jupe. Elle soulève le vêtement, je ne porte pas de culotte pour avancer mes affaires de plaisir. Et un seul doigt suffit pour caresser entre les fesses.
J’essaie de l’ouvrir un peu plus. Elle trouve mon petit trou. Je m’attendais à une pénétration, pas du tout, elle le caresse simplement.

Tu aime la sodomie ?
Oui, beaucoup.
On verra ça plus tard, après.

Elle me pousse sur le lit,enlève ma jupe et le petit haut. Je suis encore nue devant une inconnue, mais je me donne à elle. Elle passe entre mes jambes. Ses mains caressent l’intérieur des cuisses. Je voudrais qu’elle me touche plus haut. Elle frôle mon sexe avant de m’abandonner.
Sa langue vient à la place. Elle le pose sur l’espace entre le sexe et le petit trou. Elle ne va quand même pas me lécher l’anus ? En une seconde je me souviens que je l’ai lavé avant de venir au château.
Le bout de langue fait plusieurs fois  le tour de l’anus, me donnant envie qu’elle me lèche pour de bon.
Je me trouve en moins d’un quart d’heure avec une langue qui passe de ma bouche à mon cul et je trouve ça normal. Je voudrais lui faire quelque chose, mais quoi, mis à par des caresser ses cheveux ?
Sa langue franchi le seuil de mon cul : elle y entre. Je ferme les yeux sous ce plaisir que j’aime. Elle ressort la langue avant de la remettre. Elle me sodomise carrément. Elle complète sa caresse avec une main en entrant deux doigts dans le vagin. Je me trouve baisée et enculée par une jolie fille. Je voudrait participer moi aussi. Je lui demande de se tourner. Elle le fait lentement.
Nous sommes en 69, position que j’aime avec mon mari. Normalement je suis sur lui.Là je suis dessous, c’est aussi bien surtout que j’ai un vagin à la disposition de ma langue.
Je profite de son goût et son odeur, surtout son odeur. Ça m’excite encore plus. Elle sait accueillir ma langue quand je la lui mets à l’intérieur : elle serre ses muscles internes.
Si j’étais un homme je devrais éjaculer.
Quand à sa langue entre mes jambes, c’est fabuleux. Personne ne m’a jamais léchée, sucée, avalée comme elle. Ce doit être un don. J’étais surprise de la rapidité de mon orgasme, et le nombre des suivant, toujours dans le même embrassement. Je l’ai même oubliée en route.
Je me rattrape plus tard quand nous sommes assises sur le bord du lit. Ma main rattrape mon retard, je le branle plusieurs fois avec autant de plaisir. J’aime sentir sur mes doigts ses spasmes plus ou moins longs.
Je ne me savais pas capable de bien faire jouir les autres filles.
Je ne suis pas ou bout de ma surprise. Je fini à peine de baiser une fille qu’une autre, presque une enfant, sans beaucoup de poitrine m’embrasse en mettant directement une main entre mes jambes.
Je me laisse faire : elle me masturbe directement sans même m’embrasser ou me peloter. J’ai juste le temps de passer ma main entre ses fesses et de chercher son petit trou. J’aime cet endroit toujours mystérieux.
Elle me laisse faire cette caresse spéciale. Je sens son cul avoir des spasmes. Je jouis pratiquement en même temps qu’elle.
Je ne me plaint pas du château de mon mari. Je reviendrais toujours sans le lui avouer.

fabrissa

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