Julie à la découverte des plaisirs (Partie 1/2)

Julie est une jeune fille de dix-neuf ans, élancée, mince, une jolie brune avec des cheveux qui retombent sur ses épaules. Julie à un corps parfait entretenu par la danse acrobatique, qu’elle pratique depuis toute petite et ainsi elle a gardé une souplesse extraordinaire. Elle utilise ce savoir pour gagner péniblement un peu d’argent en dansant lors de manifestations diverses.

C’est à une soirée en faveur d’enfants handicapés, alors quelle se produit, qu’elle le remarque. Une cinquantaine d’année, bien habillé, les cheveux argentés, l’air distingué, il se tient au bord de la piste et la fixe. Elle sait qu’elle fait envie aux hommes, surtout vêtue de son habit de danse, petit soutien-gorge qui laisse deviner ses seins dures et fermes, jambes nue et petite culotte qui ne cache pas grand-chose de ses formes. La pose qu’elle prend, debout sur sa jambe gauche et la droite levée à la verticale, elle passe son pied derrière sa tête et reste ainsi regardant l’homme droit dans les yeux. Elle sait que la mince bande de tissu de sa culotte, dans cette position, laisse deviner son sexe à celui qui est en face d’elle. L’homme se passe la langue sur les lèvres et Julie pense immédiatement qu’il a certaines idées dans la tête, et probablement plus encore, à voir la bosse qui se forme au niveau de son bas ventre. Rien de cela n’échappe à Julie et elle écourte son numéro car elle commence à mouiller et elle a peur que cela ne se remarque. Elle termine rapidement, salue et sort de la salle pour aller se changer. Dans les couloirs, elle croise l’homme de tout à l’heure.

– Votre numéro m’a beaucoup impressionné, Mademoiselle et j’aimerais vous voir chez moi samedi. Je serai avec deux amis et nous serions très heureux que vous veniez.

– Je ne sais pas, je verrai, peut-être que…

– Prenez cette enveloppe, il y a mon téléphone. Appelez-moi si vous êtes intéressée.

Il lui passe une enveloppe et s’en va en lui jetant un dernier coup d’œil d’envie.

Julie prend un taxi pour rentrer chez elle. Dans la voiture, elle ouvre l’enveloppe que l’homme lui a remise. Il y a trois billets de cents euros et une carte sur laquelle est écrit un numéro de téléphone et un nom : Monsieur Paul.

Le lendemain, après avoir réfléchi longuement elle décide de téléphoner. Après tout, elle a besoin d’argent et il ne peut pas lui arriver grand-chose. Tout au plus elle devra danser devant trois hommes et cela l’excite plutôt. Et peut-être y aura-il à boire et à manger. Oui, cela peut être intéressant. Elle saisi le combiné et compose le numéro.

– Bonjour, c’est Julie, je voudrais parler à Monsieur Paul.

– C’est moi, bonjour Julie, vous avez réfléchi ?

– Oui, je viendrai chez vous.

– Très bien, une voiture passera vous prendre, samedi à 20 heures. Où habitez-vous ?

Julie lui indique son adresse et raccroche. Maintenant, il n’y a plus qu’à attendre samedi…

Samedi, 20 heures. Une grosse limousine arrive devant l’immeuble où habite Julie. Elle arrive presque en même temps et monte dans la voiture qui démarre aussitôt. Un peu plus tard, la voiture s’arrête devant une grande maison de maître. Julie en sort et se dirige vers l’entrée. Elle grimpe les quelques marches et appuie sur la sonnette. Une jeune femme ouvre la porte et l’invite à entrer. Elle la conduit au premier étage, pousse une porte et Julie entre dans la pièce.

Il y a là trois hommes, et Julie reconnaît M. Paul. Il vient vers elle, met un bras autour de ses épaules et dit :

– Bonsoir Julie, venez, je vais vous présenter mes amis, voici Fred. Vous savez, il a très envie de vous. Et voici Pierre. Lui n’attend que le moment de vous dévorer. Et maintenant, allons nous assoir et je vais vous expliquer ce que nous attendons de vous.

Il la fait assoir à côté de lui, sur un grand canapé, lui tend une coupe de champagne et reprend :

– Nous avons envie de nous amuser avec vous. Je vais vous demander de retirer tous vos vêtements et de danser devant nous complètement nue. Ensuite, nous allons vous faire découvrir des plaisirs probablement inconnus. Vous savez, je ne me trompe jamais, et j’ai tout de suite compris que vous avez envie de voir autre chose que l’amour traditionnel. Je sais, que, ensemble, nous pouvons vous faire des choses dont vous n’avez aucune idée. Nous allons vous caresser, vous lécher, vous baiser et vous aller jouir plusieurs fois. En un mot, vous nous appartenez pour la soirée. Je vous ai déjà remis une somme d’argent, je vous donne encore beaucoup plus, si vous êtes d’accord. Ne dites rien. Soit vous partez, soit vous allez au milieu de cette pièce et vous vous déshabillez. J’attends Julie.

Julie est un peu désemparée. Elle s’était bien douté quelle devrait …Elle réfléchi et se dis que cet argent est le bienvenu et il se passe quelque chose dans son corps. Elle a honte de l’avouer, mais elle a envie de faire l’amour. Et de toute façon, ils ne veulent pas la prendre les trois en même temps.

Julie se lève et s’en va au centre de la pièce. Elle regarde M. Paul dans les yeux et elle commence de se déshabiller.

Elle enlève maintenant son petit soutien-gorge et le pose sur la chaise où elle a mis ses autres vêtements. Pierre lui fait signe :

– Viens devant moi et enlèves ta culotte.

Julie s’avance vers lui et enlève son slip.

– Essuies ta chatte avec ta culotte et donnes la moi.

Julie passe le bout de tissu sur son sexe et le tend à l’homme.

– Non, écartes bien ta chatte avec tes doigts et passes bien ton slip dedans.

Elle ouvre ses grandes lèvres avec une main et tenant son slip de l’autre elle le passe à l’intérieur de son sexe. Elle s’applique à bien frotter toute sa fente, allant même dans la raie entre ses fesses presque jusque vers son anus. Elle mouille et le tissu s’imprègne rapidement de son jus.

Pierre tend la main et Julie lui donne son slip tout mouillé. L’homme respire fort, il porte le slip vers son visage et le hume puis il se met à le sucer et Julie commence à danser. Les exercices se succèdent à toute vitesse. Elle enchaîne les sauts périlleux en avant, en arrière, les roulades et bien d’autres.

Pierre s’est levé et il tourne autour de Julie en faisant des commentaires :

– Quel cul elle a, et ses seins et sa chatte, vous avez vu sa chatte…et la bouche, je me réjouis d’y mettre ma queue, et je vais lui bouffer le cul à cette salope. Dépêche de finir de danser, j’en ai mal aux couilles. Et la main à travers le pantalon il serre son membre et le branle doucement.

Julie termine avec un grand écart et Pierre s’élance à plat ventre devant la jeune fille pour bien voir son sexe grand ouvert par l’effort. Il transpire et bave. Les deux autres le regardent en souriant.

Ils le connaissent bien et savent ce qui va se passer. Pierre, en général, a un peu de peine à avoir une érection et comme il ne peut jouir que dans la bouche d’une fille, il doit passablement s’exciter avant de passer à l’acte. Sachant cela ses deux compagnons le laissent faire.

Pierre se relève, saisi la fille par la taille et l’entraîne vers la très grande table basse recouverte d’un mince matelas. Il la fait se coucher sur le dos et immédiatement s’agenouille auprès d’elle. Il se met tout de suite à la peloter sans vergogne. Ses mains courent sur le corps de Julie, serrent ses seins pour en faire sortir les bouts, caressent les hanches. Puis de la main gauche, il tient le visage de la fille et se met à le lécher. Il suce la bouche et de sa langue force les lèvres de Julie à s’ouvrir. Sa langue épaisse écarte les dents, s’enfonçe à l’intérieur et s’enroule autour de celle de sa captive. De sa main droite il caresse le sexe, ouvre les lèvres humides, introduit un doigt à l’entrée du vagin, le fait tourner et pousse doucement. Le doigt s’enfonce tout au fond et il en enfile un deuxième puis un troisième. Julie gémit de plus en plus fort. Son bourreau malaxe son clitoris en même temps qu’il bouge ses doigts dans le vagin devenu tellement mouillé que l’on entend le bruit de sucions et de clapotis. Julie est sur le point de jouir. Elle est parcourue de longs frissons, elle gémit de plus en plus fort et pousse des petits cris :

– Je vais jouir, encore, encore, plus vite, plus fort, oh ! oui, je vais jouir…

Mais l’homme est aux aguets et s’arrête immédiatement :

– Non, tu ne vas pas jouir maintenant, c’est trop tôt, je n’ai pas fini avec toi. Tu jouiras quand je le déciderai.

Julie hurle sa honte et son envie, mais l’homme reprend :

– Allez, on change d’endroit. Debout petite pute, vas vers la grande table la-bas et bouge ton cul quand tu marches devant moi.

Julie se lève et se dirige vers la table en n’oubliant pas de bien faire bouger ses fesses en marchant. Autour de la table, il y a quelques chaises et Julie en utilise une pour grimper. Elle a un pied sur la chaise et un autre sur la table pour monter et cette position ouvre en grand sa féminité. Pierre arrive en trombe :

– Ne bouges plus, salope, je vais te sonder le cul.

– Non, pas ça, cela va faire mal.

– Mais non, tu es tellement mouillée que cela va rentrer tout seul et tu en redemanderas, tu verras.

Il promène son index autour de la vulve de la fille pour bien l’humidifier et le présente contre son anus. D’une seule poussée, il la pénètre jusqu’au fond.

Julie crie, puis se met à haleter. Elle se cambre le plus possible pour que le doigt aille tout au fond.

L’homme s’en aperçoit et se retire d’un coup. Il ne veut pas qu’elle jouisse, pas encore :

– Monte sur la table, allez ouste !

Julie grimpe et se couche sur le dos. Pierre la tire par les jambes et la positionne de façon à ce que son sexe soit tout au bord de la table. Il attrape un gros coussin et le place sous les reins de Julie pour bien surélever son bassin. Il lui fait lever les jambes et les lui écarte.

Il siffle d’admiration. C’est la première fois qu’il voit la jeune fille ainsi et en fin connaisseur il apprécie. Les deux autres se sont approchés et tous trois détaillent la jeune fille comme s’il s’agissait d’une chose rare, Julie est morte de honte mais ne fait rien pour cacher son entre-cuisse. Elle est épilée, mais pas entièrement, elle n’aime pas ça et elle laisse un petit triangle de poils juste au-dessus du sexe, mais tout le reste est lisse, même entre les fesses et jusqu’à son petit trou. La belle vulve rose, est détrempée.

Les hommes s’en aperçoivent et M. Paul dit :

– Qu’est-ce que tu attends Pierre pour lui bouffer la chatte ? Elle en meure d’envie cette petite vicieuse, vas-y donc.

Pierre n’y tient plus, ce sexe grand ouvert l’attire comme un aimant :

– Il me faut un gode anal, je vais vous préparer son cul pour la suite.

Et en attendant l’objet il enfouit sa tête entre les cuisses de sa proie et commence à la lécher.

Julie gémit de plus en plus fort et se tortille sur la table, mais son bourreau la tient fermement. Il passe sa langue tout le long de la vulve, l’enfile dans la raie entre les fesses, puis il titille le petit trou rose et plissé, retourne au clitoris qu’il aspire dans sa bouche et le mordille en l’inondant de salive, qui mélangée à la mouille de la fille dégouline entre ses cuisses et vient tacher le matelas.

Au bout d’un moment, on lui passe le gode. Il ordonne alors :

– A genoux, petite cochonne, je vais t’enculer avec ça. Tu verras, tu vas aimer.

Julie se retourne et se mit à genoux lui présentant sa croupe.

– Creuse bien les reins et écartes les jambes.

Elle s’exécute sans rien dire et l’homme présente l’objet contre le petit trou et l’enfonçe d’un mouvement rectiligne.

Julie hurle sa douleur puis comme Pierre fait des mouvements de va et vient avec le gode, elle commence à éprouver autre chose que de la douleur. Elle aime ça, elle aime cet objet qui coulisse dans son conduit anal. Elle aime ces hommes qui la regardent prendre du plaisir et elle dit :

– Oui, enculez-moi, plus fort, profond, plus vite, ne vous arrêtez pas je vais jouir, encore, encore s’il vous plait, baisez-moi encore, encore…

Pierre la voit sur le point de jouir. Il retire le gode du cul de Julie d’un coup sec. Elle hurle de douleur et de déception. Pierre se déshabille rapidement. Il est devant elle en maillot de corps, sans slip. Julie voit son membre à demi bandé. Il est énorme, court mais très gros, comme boursouflé, avec de très grosses veines. Les testicules sont à la mesure du sexe, très grosses et elles pendent très bas tant elles ont l’air lourdes.

Julie pense qu’elle doit maintenant le sucer et descend de la table pour s’agenouiller devant l’homme. Mais lui, ne l’entend pas ainsi. Il entraîne la jeune fille dans un coin de la pièce. Julie voit alors, comme fixé sur le sol, un sexe d’homme. Il est énorme, veineux le bout violacé est décalotté et il a la couleur d’un vrai membre avec en bas, contre le plancher, deux grosses testicules velues.

– Vas-y, empales toi sur cette bite et fais toi jouir, petite cochonne.

Julie, s’accroupi et se place au-dessus de la bite artificielle. Elle descend doucement son bassin. Sa vulve détrempée entre en contact avec le membre et elle se fait pénétrer doucement en gémissant de plaisir.

Pierre lui montre alors un grand écran placé un peu à sa droite et avec stupeur elle se voit. Elle voit M. Paul avec une commande à la main qui fait quelques réglages et tout à coup, le membre se met à vibrer en elle, comme un vibro masseur. Les trois amis regardent aussi l’écran et l’image est saisissante. On voit depuis dessous cet énorme phallus englué de mouille qui rempli complètement la vulve distendue de la jeune fille.

Pierre se positionne devant Julie et présente sa verge énorme contre sa bouche :

– Ouvre la bouche, salope et sors ta langue. Allez, plus grand, ouvre bien que je puisse y mettre ma queue. Et surtout ne mords pas, suce,

Julie prend la bite qu’il lui présente dans sa bouche et commence lentement à l’aspirer tout au fond de sa gorge. Puis avec de petits mouvements de va et vient elle suce le gland et l’aspire en même temps. Pierre gronde de plaisir

– Vas-y, pompe-moi bien, déguste ma grosse queue, caresse la avec ta langue, mouille avec ta salive. Plus vite, salope, tu vas me faire jouir. Je vais te gicler dans la bouche, c’est tout ce que tu mérites, traînée, pute, ordure, petite cochonne.

Quand Pierre devient grossier c’est qu’il est sur le point de jouir, et ses copains le savent.

M. Paul et Fred s’approchent alors du couple pour mieux voir. Julie gémit de plus en plus fort et suce de plus en plus vite. Elle est au bord de la jouissance, elle se tord sur le membre comme une folle, comme une femelle en rut. Pierre a saisi sa queue et se branle sur la langue de la fille et tout à coup un jet de semence fuse du méat et va s’écraser tout au fond de la bouche grande ouverte de Julie qui n’attend que cela pour se laisser aller. Elle hurle son orgasme. Elle s’enfonce encore plus sur membre artificiel. Son corps est parcouru d’un immense tremblement, des gouttes de sueur perlent au bout de ses seins. Elle avale le sperme de l’homme quelle a encore dans la bouche. Mais le mâle éjacule encore et sa liqueur inonde le visage fatigué de la fille, coule de son menton sur ses seins, sur son ventre et fini par tacher le sol. Elle regarde le gros godemiché rendu visqueux par sa propre mouille vaginal et elle le caresse comme pour le remercier de l’avoir si bien fait jouir.

Pierre toujours à moitié nu, mais la verge flasque, embrasse Julie sur la joue

– Merci Julie. Il y a une douche dans le couloir. Vous trouverez aussi un peignoir, mettez le et revenez vers nous.

Fatiguée, Julie s’en va vers la salle de bain.

Julieplaisir bunoumis

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