Itinéraire d’une dévergondée Chapitre 15

Inanna, vous transmet le 15ème chapitre de son histoire érotique

N’oubliez pas de lire le premier chapitre d’Indécences – Itinéraire d’une dévergondée

Chapitre 15 : Luxure agreste

Sous un ciel sans nuage, la lumière crue me fit cligner des yeux. L’agréable sensation d’être nue en toute impunité en plein air, la chaleur du soleil directement sur ma peau me procurèrent immédiatement un sentiment de plénitude et de sérénité.
À peine un pied à l’extérieur, Gildas rebroussa chemin. La tige de son sexe oscillant à l’horizontal, il m’expliqua au passage :

« Je vais chercher une couverture, ce sera mieux que de se coucher directement sur l’herbe. »

Je pris une profonde inspiration pour calmer le bouillonnement qui avait reprit possession de mon corps aux mots

« se coucher »

. Ne s’apercevant nullement de mon trouble, Claude et Charles s’étaient déjà avancés vers le fond du jardin, semblant prendre un réel intérêt pour les parterres de fleurs.
Plantée devant la porte, j’attendis le retour de Gildas, car je n’avais nullement l’intention de continuer les réjouissances entamées sans la présence de celui qui en était l’organisateur. Il réapparut rapidement, le membre ramolli dodelinant encore plus au rythme de ses pas.
Fuyant l’ombre des pommiers, il me devança pour se diriger directement au centre de la pelouse. Comme il dut se pencher en avant pour étaler le couvre-lit au sol, il m’offrit subrepticement l’émoustillante vision de ses glandes génitales ballottant à la jonction de ses cuisses. Leur hâle apparent, contrastant avec sa peau laiteuse, me déconcerta.
Se redressant, il fit un demi-tour pour m’adresser directement la parole :

« Alors petite Justine, j’espère que l’on ne te fait pas peur ? »

Je marquais l’étonnement devant la question que je trouvais pour le moins tardive. Je saisis alors que ce petit tableau offert n’avait rien de fortuit. Le sourire en coin qu’il affichait ne trompait pas, il devinait que je n’avais rien manqué de l’exhibition de ses lourdes gonades.
Claude et Charles se retournèrent à son interrogation. D’un air détaché, les mains dans le dos, ils me scrutaient avec une extrême attention, cherchant à percevoir si je ressentais la moindre crainte. Devant la joliesse de leurs somnolents attributs, je me sentis plus que jamais décidée à leur prouver que je n’éprouvais aucune frayeur face à leur masculinité.
Il ne me fallut aucun effort pour leur révéler :

« J’ai envie…»

Ma phrase resta en suspend. Une main glissée dans mon entrejambe, je caressais ostensiblement les proéminents bourrelets encadrant l’ouverture de ma vulve d’un index délié. Aucun ne broncha.
Je m’avançai vers Gildas et lui fit comprendre mon intention en le prenant par un poignet et je l’amenai sur la couverture qu’il venait de déplier avec aplomb. Il porta ses mains sur ma poitrine, englobant fermement chaque sein au creux d’une main pour les pétrir. Je le laissais se complaire dans sa contemplative vénération, tandis que j’enserrais sa verge molle de mes mains qui n’accusaient aucun tremblement.
Je me laissai glisser au sol, effleurant délibérément de la joue la douceur de sa verge indolente. Il ne m’offrit aucune résistance lorsque je l’attirai vers le sol en lui étirant le pénis ; il s’allongea le plus commodément près de moi.
La douceur de l’étoffe, ajoutée au moelleux apporté par le dense gazon, offraient un tapis confortable pour se livrer à nos excès. Sous le regard curieux des deux autres restés en retrait, je relâchai le sexe tentateur et portais mon intérêt sur la sensible enveloppe de sa bourse acculée entre ses cuisses. Je ressentis le corps de mon hôte se détendre sous mes doctes effleurements.
Son pénis se cabra légèrement, se décollant du ventre où il reposait alangui. Je le saisis entre les doigts et fis glisser la peau du prépuce sur le gland vermillon à demi dégagé. Un incontestable émoi me gagna en sentant sa verge devenir de moins en moins malléable sous mes caresses. J’accolai mon visage au bedon qui se gonflait au rythme de sa forte respiration, mes lèvres s’approchèrent pour aspirer la troublante émanation de sa virilité. J’en appréciais le contact pesant sur ma langue, la bouche de plus en plus remplie par l’accroissement de sa chaude raideur.
Ne portant qu’une attention indirecte aux deux autres, je n’en devinais pas moins leurs yeux rivés sur nos indécents ébats. Me savoir observée avec ce pénis coulissant entre mes lèvres m’excitait certainement autant qu’eux, et je ne me privais nullement de me comporter en parfaite débauchée en pratiquant ma fellation avec maints bruits de succions et des gémissements exagérés.
Gildas s’abandonnait au plaisir, geignant de contentement lorsque ma tétée se faisait la plus intense. L’une de ses mains vint flatter ma croupe, s’attarda sur les renflements de ma motte, se distrayant à étirer la peau élastique de mes grandes lèvres en dehors de l’ouverture du sexe.
Désireuse d’être fouillée plus profondément, je lui tendis mon postérieur et desserrai perceptiblement les cuisses. Comprenant l’aubaine qui se présentait, il glissa deux doigts dans l’orifice du vagin pour en tâter la douce moiteur.

[Il glissa deux doigts dans l’orifice du vagin…] 015

Claude, qui s’était avancé, pénis et testicules fièrement présentés, n’avait rien manqué de notre débauche en plein air, et réclamait son droit – que je trouvais bien légitime – d’y participer :

« Et nous alors ? On n’y a pas droit à la petite gâterie ?  Pas vrai Charles ? Il faudrait que l’on s’occupe tous un peu d’elle. »

J’avais trois individus mâles à ma pleine disposition et je m’épanouissais à la perception de leur ardente convoitise. Délaissant le phallus dressé, je relevai la tête en direction des deux évincés. Gildas réalisa qu’il devait effectivement me partager :

« Vous avez raison, je vous la laisse, elle est à vous. »

Retirant ses doigts profondément logés dans ma vulve, il dut d’abord se retourner sur le ventre avant de pouvoir se relever. Dans le mouvement, son pénis en érection accrocha un pli de la toile, ce qui lui occasionna une légère douleur. L’anicroche n’échappa pas à Claude qui ironisa :

« Ben, mon côlon ! Elle t’a bien chatouillé le poireau pour que tu veuilles ramener toute la bâche avec toi ! »

Gildas dut reculer un peu pour se dégager, frictionna son sexe meurtri tout en pestant :

« Prends la place ! »

L’intéressé vint s’agenouiller prestement devant moi pour me présenter crânement ses nobles attributs. Les muscles de ses cuisses se contractèrent lorsque je me mis à considérer avec une semblable fierté le lest de ses testicules. La flasque hampe qui les surmontait se cabra lorsque mes doigts l’encerclèrent, comme voulant rivaliser d’orgueil avec ses bourses bien assujetties, au point de devoir redresser mon buste pour pouvoir l’introduire en bouche.
Il adressa un signe de ralliement en direction de son camarade Charles qui, se montrant toujours aussi distant, restait seul dans un coin isolé du jardin sans oser prendre part à nos réjouissances collectives :

« Viens ! Elle peut s’occuper de nous deux. »

Charles s’approcha à pas lent, son court sexe sortant à peine de la coque de noix faisant saillie sous son ventre rebondi. Claude me caressa le front puis, dès que son ami se trouva à portée, hésita :

« Suce mon copain… si tu veux ? »

Baissant le ton, il poursuivit :

« Présente-moi tes petites fesses, j’ai une folle envie de goûter à ta petite chatte ! »

Me privant de son friand morceau, il me contourna pour se placer derrière moi et colla ses lèvres au creux de mes reins pour y déposer un doux baiser. Une de ses mains se posa sur la peau délicate à l’intérieur de ma cuisse et remonta jusqu’à l’embrasure de mon sexe. Ensorcelée par le frissonnant contact de ses doigts qui cherchaient à explorer ma bouillonnante intimité, je me cambrai pour lui permettre de mieux palper ma croupe.

Inanna

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