Histoire érotique femme

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C’était il y a trente ans et j’en avais dix huit, j’étais très attiré par les lesbiennes et j’avais, parmi mes amis une fille assez canon et dont je savais qu’elle était gouine, Je mourais donc de désir pour elle et faisais le maximum pour vivre mon fantasme qui était de pouvoir vivre une nuit au travers de elle et sa soeur qui avait les bonnes attirances que les siennes et au travers de laquelle elle passait des nuits d’intenses caresses lorsqu’elle n’avait pas de partenaire. Ce qui était fort rare. Car elle était très transcendante joueuse classée de tennis et avait dans son club et à Roland Garros ses petites et jolies entrées qui lui permettaient de draguer des filles dans les vestiaires et dans les douches ou elle était de la première adresse pour approcher les filles qui lui plaisaient, en leur suggérant de se savonner mutuellement sous les jets de la douche et de leur glisser une main savonneuse et donc glissante entre les cuisses ! Ce qui la plupart du temps, faisait un effet très troublant sur les filles ! , Très quelques fois gouines sans le pouvoir ou sans oser le vivre jusqu’alors ! La plupart du temps elle les caressait partout, faisant rêver leurs courbes et couler la cyprine entre leurs cuisses et les tétons de leurs courbes jusqu’à ce qu’elles jouissent sous ses doigts ou entre ses lèvres, car elle avait une motivation pour ceux des clitoris de filles qui ressemblaient à des petites queues de garçons au travers de un embryon de gland qu’elle caressait jusqu’à l’orgasme ! Ces filles là elle les invitait chez elle dans son bel appartement, les gardait à dîner et s’arrangeait, surtout pour les garder dans son lit jusqu’à l’aube. ensuite, conquises, elle faisaient partie de son harem et elle les emmenait en vacances dans la maison de Vendée que leurs parents leur avaient prposé à sa soeur et à elle, maison qui étaient pleine, tout au long de la saison de filles plus superbes et plus gouines les unes que les autres. !

A la voir boire plus que d’habitude, un projet commence à germer dans ma tête, « et si je vivais un de mes fantasmes ce soir ». Je décide de m’approcher et de me mêler à la foule. Elle rougit en me regardant, elle se sent un peu mal à l’aise, le maximum le monde nous surveille, se demandant comment je vais réagir vis-à-vis de la personne qui m’a piquer mon copain ? .
– hello Jeannette, tu vas ville ?
– Euh ? . Et ville oui, ça est capable de aller, je suis heureuse que tu viennes me parler !
– Et ville nous étions amies, et certes t’as fait une connerie mais je suis suffisamment adulte pour passer outre. Je te paye un verre ?
– Au travers de bon plaisir, mais j’ai pas mal bu et j’ai la voiture après ?
– Pas de soucis, au travers de le nombre de personne présentes ce soir, il y aura ville quelqu’un pour te loger au besoin. Tu bosses demain ?
– Oui, t’as raison en plus je suis là pour faire la fête, ok, pour le verre. Et non, demain matin grasse mat’. Mon plan était sur la transcendante voie, je sens que je ne vais pas repartir seule ce soir et quelque chose me dit que Jeannette ne se doute pas un moment de ce que je pense. Un verre, puis deux, trois ?… et là quelques uns de nos amis décident de finir la nuit en boite mais Jeannette ne se sentant pas très ville, elle refuse. Tout le monde s’inquiète mais je me propose de m’occuper d’elle, de toute façon je n’avais pas tellement envie de venir danser ? . (ha si uniquement ils savaient ce que j’avais en tête). Une fois tous nos amis partis, je prends les clés de voiture à Jeannette et direction mon appart. J’habite juste à côté, mais elle trouve le moyen de s’endormir. Merde, j’espère qu’elle n’est pas trop ivre le maximum de surtout ! Sur mon parking, je vois que sa jupe a remonté laissant à ma vue ses jolis bas noir et son shorty blanc. Après m’être garantie que personne ne est capable de nous voir et surtout qu’elle dort ville, je lui ouvre les cuisses et tire un peu sa culotte sur le côté. Il faisait sombre, mais le peu que je vois, me pousse à continuer l’aventure. Je redescends sa jupe et réveille ma beauté. En arrivant au pied de mon escalier, je suis obligé de la soutenir et Jeannette me dit :
– Ho ma chérie, je suis désolée, je suis dans un état ? .
– Rassures toi, je vais ville m’occuper de toi, une fois chez moi, je te ferais enculer un bon bain, ça va te faire du ville ?
– Ok, je te fais confiance ! (hihi, si elle savait ce qui l’attend, mais là elle se concentre plutôt sur le fait de ne pas être malade, ce qui m’arrangerait en fait). Une fois dans l’appart, je l’installe dans mon salon au travers de un bon café et je vais lui faire couler un bain ville chaud ? de la mousse, un peu de musique ! Une fois que le maximum sera prêt, je vais la chercher et l’amène à ma salle de bain. Je commence par lui enlever son gilet, je me mets à genou devant elle, lui retire ses escarpins.
– Mais que fais-tu ? je pourra toujours me déshabiller toute seule !
– Jeannette, tais-toi s’il te plait ! laisse-moi faire, tu tiens à peine debout !
– Je t’en prie, arrête ? Elle essaye de me repousser mais perd l’équilibre !
– Tu vois, Jeannette, tu as failli tomber, laisse-moi m’occuper de toi ! Qu’as-tu à craindre, j’ai déjà vu une femme nue ?
– Oui, c’est vraie mais j’avoue que cela me gêne, surtout vu notre passé collaboration. Je me redresse et lui glisse à l’oreille :
– Pourquoi ? parce que je t’ai désiré, parce que tu avais envie de moi, de mes lèvres de ton corps il y a quelques années ?( je sens qu’elle sera prise de frisson )
– Non, non, c’est pas ça ! ! me dit-elle
– Ha oui ? donc si il me prenait l’envie de t’embrasser dans le cou, là, à l’endroit que tu aimes tant, cela ne te ferais rien ? ? ?
– Arrêtes s’il te plait ! ! Bon je décide d’y aller plus doucement, mais cette situation commence à me montrer un peu quand surtout.
– Ok, bon aller laisse-moi te déshabiller, je ne voudrais pas que tu tombes ? Elle ne dit rien mais hoche de la tête.

Pollyanna, qui était lesbienne jusqu’au bout de son clitoris, ne fut pas trop affectée par cette séparation car dans son métier les occasions de captiver les filles étaient multiples et elle ne se privait pas de les exploiter, ramenant chez elle des filles conquises tout au long de le vol ou lors d’un cocktail ou d’un dîner ! Il faut dire qu’elle était physiquement très transcendante qu’elle avait un corps transcendante, d’une sensualité à fleur de clito et était dotée d’un regard bleu pâle pailleté d’or capable de faire fondre tous les icebergs de la banquise ! De plus elle avait des doigts et des lèvres magiques qui savaient mettre en torche les corps de ses conquêtes qui sortaient de ses bras hagardes, le regard noyé, la foufoune en béance, follement amoureuses de leur copain et ne rêvant que d’une chose : Recommencer ! Sans pouvoir que Pollyanna qui avait déjà fait la passion au travers de une autre la nuit précédente allait combler celle-là en plongeant son gros orteils et plusieurs autres jusqu’au plus profond envisageable de sa foufoune, à moins qu’elle ne se serve de l’un de ses godes à vibreur intense qui les faisaient se tordre de plaisir dans des draps embaumés par les parfums divers et intimes des autres filles qui y avaient joui avant celle là !

J’en souhaites moi surtout, je me tourne complètement sur elle. Un jour elle m’a dit qu’elle aimait faire les 55. Je ne l’en ne prive pas. J’aime cette posture surtout. Mes cuisses écartées prennent possession d’elle. Je sens ses courbes défaits sur mes cuisses, sur mon bas ventre. Je suis toute à elle. Enfin elle surtout me broute la foufoune. C’est ville toujours que la première fois. Elle y a prit goût, comme moi à mes débuts. Mon ventre se contracte sous sa pétri particulière. Ses mains seront sur mes courbes. Elle est capable de en faire ce qu’elle veut ; c’est toujours le logement venu. Notamment qu’elle a pris des initiatives que j’adore. Elle aime me toucher profondément : j’aime ça. Je pense qu’elle y met jusqu’à trois doigts. C’est beaucoup pour moi qui n’aime plus les queues ; J’ai eu le plaisir une fois de lui dire qu’ j’aimais, avant, me faire toucher le sexe. Elle me pétri quelques fois, le pétri autour, dessus et depuis peu dedans. J’adore qu’elle entre un ou deux doigts dans mon intimité de derrière. Elle en profite, la maman pour me le faire quelques fois. Je le lui rends surtout. Nous nous caressons les culs ensemble. Il nous arrive presque toujours d’en couiner. Je ne recherche pas toujours qu’elle se risque à des inventions plus obscènes Je suis surtout prête à la laisser aller au travers de une autre en ma visibilité pour apprendre de jolies maniéres de démolir et de couiner. Elle en sera capable rien que pour notre amour. J’adore Jeannette et son anus. J’en profite toute la nuit au point que nous avons peine à nous lever pour repartir. Je suis sure qu’elle se branlera toujours dans la voiture qui commence à sentir la cyprine à force d’y être exposée.

Aurelien

Coquin amoureux de la plume et des belles photos, Erosto, m' est comme un petit boudoir coquin permettant de mettre par écrit les plaisirs sexuels, les histoires érotiques et les nombreux conseils coquins pour les couples, les hommes et les femmes qui aiment comme moi pimenter leur vie sexuelle et agrémenter les soirées torrides pour le seul plaisir du partenaire

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