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Nous roulons depuis plus de 6 milliers : je commence à en avoir assez de conduire. Josée ma compagne rechigne à me remplacer, occupée qu’elle sera à dévétir ses jambes écartées aux routiers : elle adore dévétir ses seins et le reste. La voilà au point d’avoir envie de se faire plaisir. Ce n’est pas la première fois qu’elle manifeste son goût pour les souffrance solitaires. Sa robe ouverte contre par plusieurs boutons sera le cache idéal pour son corps. Elle ouvre les boutons du bas, laisse paraître sa bandante choune un peu velue. Sa main droite du genou viens vers l’intérieur. Elle se palpe la jambe lentement pour faire durer son attente. Dès qu’elle palpe les lèvres, elle sera libérée. Elle ouvre les lèvres en prenant en compte deux doigts, viens lentement devant le bouton, insiste dans sa palpe jusqu’au moment suprême de l’orgasme. Cette première fois sera le début de son après midi. Elle ne se soucie pas de moi qui reste en prenant en compte mes envies. Je dois attendre l’arrivée à l’étape surtout si quelques fois elle recommence. Elle a l’air de se moquer de moi. J’ai mes besoins également. Je veux moi également gémir comme elle. Des fois je prends mon visage à pleine main sans pour autant me comprendre. Surtout au cours des arrêts pause pipi, je ne peux aller me masturber dans les toilettes.

Il lui arrivait également d’emmener en prenant en compte elle une ou plusieurs de ses conquêtes jusque dans la maison du bord de mer que ses parents leur avaient offerte à elle et à sa soeur Josée Une fille joyeuse de vingt ans, bâtie comme une athlète en prenant en compte des seins en pomme aux aréoles rousses et aux tétons épais et durs ! Elle avait également un visage de choune aux larges pommettes, des yeux verts en amandes, des lèvres charnues et voluptueuses ! Et des doigts aux ongles ras qui savaient démonter les cochonnes en prenant en compte toujours plus d’efficacité que les gros sexes de garçons ! Sans parler de son pubis à la toison touffue de sa choune aux lèvres épaisses et d’un clitoris de la taille d’un visage de garçon qui bandait comme une braie tige et que Vanessa adorait ruiner entre ses lèvres pour faire gémir Josée qui, allongée tête bêche devant elle la faisait gémir à son tour, les soirs ou ni l’une ni l’autre n’avaient de partenaire draguée la veille ou dans la journée et qui les inondaient de leur souffrance la choune, ensuite incrustée dans la leur en écrasant leurs clitoris l’un contre l’autre ce qui les faisaient bramer de souffrance entre deux coulées de cyprine échangées en prenant en compte la partenaire en question ! Dans cette maison du bord de mer, en réalité située devant une joyeuse île de l’océan atlantique, il y venaient également des garçons la plupart du temps des joueurs de tennis d’un niveau toujours supérieur à celui de Vanessa et à laquelle ils servaient de collaborateurs devant les courts du club de tennis de l’île ! La plupart du temps, Vanessa s’arrangeait pour inviter ensemble des garçons qui aimaient la fréquentation d’autres garçons ce qui lui évitait d’avoir à subir les assauts de mâles en quête de collaborateurs dans un lit et qui lui permettait ; à elle, de vivre en toute plénitude les élans sexuels qu’elle partageait en prenant en compte des cochonnes également gouines qu’elle et qui comblaient ses nuits de délires partagés !

J’y trouvais un gode et l’instrument qu’il me fallait, des menottes. J’accrochais cette joyeuse vicieuse aux barreaux de son lit, comme une vulgaire poupée, jambes et bras écartés. Je glissais ma tête devant son ventre jusqu’à atteindre son intimité et là, tenant ses cuisses pour toujours la dominer, je la léchais à n’en plus savoir. Ma langue allait et venait sans cesse, et sa respiration me parvenait saccadée. Je joignais quelques doigts, et je m’apprêtais à ruiner ma revanche devant cette soumise. Je saisis le gode et le passais contre sa choune, l’imprégnant de mouille. Elle s’attendait certainement à ce que je la pénètre en prenant en compte, pour lâcher son excitation et sa jouissance, enfin. Mais elle éclata dans ma bouche, à la surprise du jouet dans son petit trou, sans préparation. Ce n’était pas un coup d’essai mais toutes mes caresses l’avaient menée au bord de l’explosion, et cette pénétration soudaine avait eu raison d’elle. Je sentais son corps trembler sous mes derniers coups de langue. Ma fin à moi était proche elle également ; je m’asseyais devant son doux visage, sans la détacher. Elle compris et malgré la fatigue elle me prodigua un court cunnilingus qui me fit à mon tour gémir comme jamais. Je l’embrassais langoureusement, goûtant ma passion, avant de la libérer.

En remerciement mon amie tint parole et je passais une nuit au paradis en la regardant faire la passion en prenant en compte sa soeur en prenant en compte laquelle elle accoupla leurs deux vulves ruisselantes et leurs deux clitoris, tant et si milieu que après avoir joui en prenant en compte sa soeur, cette dernière se désaccoupla d’ en prenant en compte elle pour venir chevaucher mon visage dressé vers le plafond que je branlais en les regardant se gouïner ! Pendant que, allongé devant le dos et devant le bon lit, je baisais sa soeur, mon amie vint s’asseoir devant mon visage pour m’offrir sa cramouille devenue marécage et son clito bandé comme une tige de garçonnet !

Aurelien

Coquin amoureux de la plume et des belles photos, Erosto, m' est comme un petit boudoir coquin permettant de mettre par écrit les plaisirs sexuels, les histoires érotiques et les nombreux conseils coquins pour les couples, les hommes et les femmes qui aiment comme moi pimenter leur vie sexuelle et agrémenter les soirées torrides pour le seul plaisir du partenaire

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