Dominations croisées

Je m’appelle Chrystelle, j’ai 31 ans et suis une femme plutôt plantureuse avec un cul rebondi et large et des seins très opulents et un peu pendants qui ravissent mes amants. Car je suis une femme à hommes. Je ne reste jamais longtemps avec eux car je place mon indépendance au-dessus de tout. Mais j’apprécie tout particulièrement les jeux sado-maso. Paradoxalement, j’aime autant être dominée que dominer un homme et quand j’en rencontre un qui partage les mêmes goûts, je le garde quelque temps. Pour moi, la sexualité est indissociable d’une relation dominant-dominé dans un rôle comme dans l’autre.

Jérémie est dans ce cas. Jeune étudiant en arts plastiques de 22 ans, il est séduisant et a beaucoup d’allure. J’avoue être tombée immédiatement sous son charme de play-boy au cœur tendre, qui n’arrive pas à masquer une certaine faiblesse de caractère qui le rend si vulnérable pour des personnes comme moi.

La première fois que je l’invitai chez moi pour faire l’amour, il fut timide et peu entreprenant. En effet, dès le début, je compris qu’il souhaitait que je prenne toutes les initiatives. Je le déshabillai entièrement. Sa queue, bien que de belle dimension, bandait à peine. Pour y remédier, je m’agenouillai et commençai à la sucer avec gourmandise. Ma langue tourna autour du gland que j’aspirai puissamment. Mes doigts lui massaient voluptueusement les couilles qui me parurent bien pleine de ce jus qui me rend folle. Après une quinzaine de minutes, le résultat n’était qu’à moitié satisfaisant. Cette mollesse relative me fit sortir de mes gonds. Sans prévenir, je lui serrai la bite de toutes mes forces. Bernard poussa un cri mais, après un mouvement naturel de recul, ne s’éloigna pas de moi. Non seulement ce traitement ne le refroidit pas mais, en quelques secondes, sa bite doubla de volume. Je recommençai donc et me retrouva avec une véritable matraque dans la main. Sous l’effet de l’excitation, je me mis à littéralement à la dévorer. Mon jeune amant se libéra alors totalement. Il se masturbait dans ma bouche à grands coups de rein en poussant des gémissements de plus en plus forts alors que ma salive lui coulait maintenant sur les couilles. C’est alors qu’il se retira brutalement de ma bouche et, tout en se masturbant, gicla tout son foutre sur mon visage et ma chevelure. Il prit tout de suite un air penaud en m’expliquant que cela avait été plus fort que lui et qu’il s’excusait. Je me relevai et lui ordonna de se mettre maintenant au service de mon désir et de compenser son manque de contrôle en me faisant jouir avec sa langue. Aussitôt, il s’agenouilla et enfouit sa langue dans ma fente qui bavait tout son jus. Je lui saisis la tête et me frottai contre son visage. Ivre de désir, je me branlai contre lui frénétiquement. Son nez, en frottant mon clitoris, me faisait frissonner de plaisir. Je me retournai alors et de mes deux mains, lui ouvris mes deux grosses fesses en lui ordonnant de s’occuper maintenant de mon petit trou. Il y plongea aussitôt sa langue, qu’il fit entrer et sortir comme une petite bite. Rendue folle d’excitation par cette caresse anale, je me rentrai une main dans ma chatte béante tandis que mon autre main pétrissait mes gros seins si sensibles. La jouissance me submergea alors toute entière et je mis quelque temps à retrouver mes esprits. De son côté, Bernard avait retrouvé tous ses moyens mais je n’ai pas voulu qu’il me prenne. Je venais de décider d’en faire mon esclave.

Nous nous sommes revus régulièrement et à chaque fois, il franchissait les étapes qui mènent à l’esclavage total. Je me souviens que la fois où il a été le plus réticent, c’est quand je lui ai demandé de mettre une tenue de soubrette. Devant sa moue, je lui hurlai de déguerpir. Il revint rapidement car son désir pour moi était plus fort que tout. Jérémie lécha d’abord la pointe de mes bottines avant de me présenter son cul, dont l’anus frémissant trahissait le désir d’être investi. Je passai alors une botte entre ses fesses et, estimant que le talon était bien lubrifié par ses soins, l’enculai tandis qu’il se masturbait à quatre pattes. Il ne tarda pas à se répandre en longs jets sur le sol tout en poussant des gémissements de femelle en chaleur. Au même moment, je me fis jouir avec mon godemiché planté dans la chatte. C’est alors que j’ai décidé de franchir une nouvelle étape.

Au même moment, j’entretenais une relation épisodique avec Roger, qui était tout le contraire de Jérémie. Il avait 55 ans et un caractère très dominateur. Il avait réussi à me dominer plus qu’aucun autre homme auparavant. Pas très grand mais costaud, il était très poilu et doté d’une énorme bite toujours vaillante, qui m’émeut encore quand j’y pense. Connaissant les penchants de Roger pour la bisexualité, Je décidai alors d’entamer une relation à trois et de lui faire profiter des charmes et de la docilité de Jérémie. Il faut d’ailleurs que je vous avoue que depuis que j’avais appris la bisexualité de Roger, je mourrais d’envie de le voir soumettre un homme à ses désirs et de voir son gros sexe, que j’adorais forcer, l’intimité d’un mâle.

J’appelai donc Roger en lui proposant de nous partager mon jeune amant. Comme je m’y attendais, il se déclara ravi de cette opportunité et m’annonça qu’il arrivait immédiatement. Lorsqu’il entra, Jérémie avait revêtu sa tenue de soubrette. Je lui proposai un marché : soit il se prêtait à tous nos caprices sexuels, soit il partait immédiatement sans espoir de me revoir un jour. Contrairement à ce que j’avais imaginé, il hésita à peine et paru même excité par ma proposition. Nous nous assîmes avec Roger devant un drink pendant que Jérémie se tenait debout devant nous en attendant nos ordres. Roger demanda à Jérémie d’évoluer devant nous. Il avait du mal à marcher avec les talons hauts que je lui avais prêtés. Il se tordait les pieds. Bien que glabre partout, il n’en était pas moins ridicule. Cela me plaisait beaucoup. A ce moment, je remarquai que l’entrejambe de Roger était déformée par une bosse qui trahissait son excitation. Il demanda alors à Jérémie de baisser sa petite culotte de se pencher fesses vers nous et de se doigter le cul. Jérémie s’exécuta et dévoila alors une érection démesurée, qui me mit immédiatement dans un état second. Jérémie se doigta consciencieusement en poussant ses petits gémissements annonciateurs de plaisir. Roger ouvrit alors sa braguette et sortit sa queue majestueuse, qu’il m’enfonça aussitôt dans la bouche. Au bout de quelques minutes, Roger demanda à Jérémie de se joindre à moi pour le sucer. Jérémie commença à embrasser timidement la bite de notre maître comme si elle l’effrayait puis, le désir l’emportant, il l’engloutit complètement et la suça avec passion. Lui qui m’avait juré n’avoir jamais eu d’expérience homo se comportait comme une petite pute soumise. Ayant fait part à Roger des talents bucaux de Jérémie, Roger ne tarda pas à vouloir vérifier et, toujours couché sur le dos pendant que je continuais à le sucer, il releva ses jambes et ordonna à Jérémie de lui lécher le cul. Toujours aussi docile, celui-ci plongea immédiatement sa langue dans l’anus de Roger qui se tortilla de plaisir. Ce n’était plus que soupirs et gémissements entrecoupés de bruits de succions. Une odeur entêtante de sexe et de sueur flottait dans l’atmosphère et décuplait notre désir. Roger me fit placer sur lui en 69. Je léchai sa grosse queue congestionnée qui libérait son liquide séminal dans ma bouche tout en regardant la langue de Jérémie faire des va-et-vient dans le cul de notre maître. Ce dernier commença à m’enfoncer un, deux puis trois doigts dans la chatte. Progressivement, il parvint à introduire toute sa main, qu’il fit tourner dans mon vagin qui libérait les grandes eaux. Le plaisir montait crescendo et ma fente ruisselait de désir. Je m’offrais toute entière à Roger qui forçait mes muqueuses sans ménagement.

Tous les trois au bord de la jouissance, Roger décida de changer la position. Il me demanda de lubrifier l’anus de Jérémie. N’oubliant pas sa situation de soumis et bien que j’en mourrais d’envie, je ne pouvais lui faire le cadeau d’une feuille de rose. Aussi me contentés-je de cracher sur son trou et de lui assouplir les sphincters en lui enfonçant progressivement plusieurs doigts dans le cul. De son côté, Jérémie me gratifiait d’un cunnilingus qui m’amenait au bord de la jouissance. Quant à Roger, il nous regardait en se masturbant. Le maître se leva et me demanda de me charger de l’enculage de notre jeune esclave. J’humidifiai bien la queue de Roger qui ne m’avait jamais parue si grosse et décidait d’effectuer le  » branchement « .Fascinée, je dirigeai la grosse queue luisante de ma salive vers le cul de Jérémie qui était couché sur le dos. Roger lui releva les jambes et positionna son gland baveux sur l’anus de Jérémie. Lentement mais fermement, le gland puis la queue toute entière disparut dans le cul offert. Je m’assis alors sur le visage de Jérémie et lui ordonna de me sucer le cul pendant que je me penchai sur la bite de Jérémie que je ne pus m’empêcher de sucer pour la seconde fois depuis notre première relation. Ses gémissements se faisant de plus en plus bruyants :  » Oh oui ! Continue comme ça ! C’est trop bon ! Bourre-moi le cul ! Défonce-moi la rondelle ! Prends-moi comme une pute… !  » Voyant qu’il était au bord du plaisir, je décidai de cesser la fellation pour retarder son éjaculation et de m’intéresser à la queue de Roger. Celle-ci sortait avec régularité du cul de Jérémie pour y entrer jusqu’à la garde. L’anus était tellement distendu par l’importance de l’intrus qu’il restait ouvert tout seul. Je me décidai à téter la bite de notre maître à chaque fois qu’elle ressortait. Au bout de quelques minutes torrides, je sentis que Roger était au bord de la jouissance. Il cassa la position et ,de ses bras puissants, retourna Jérémie à quatre pattes. Il lui prit les hanches à deux mains, réinvestit son anus et commença à le labourer puissamment. Jérémie poussait des petits cris de plaisir incontrôlés. Je décidai de me placer sur le dos jambes écartés sous le visage de Jérémie et lui offris mon entrejambe à déguster. Il ne se fit pas prier. Je fus la première à partir. Ma jouissance fut dévastatrice et, prise d’une inspiration subite, j’en vidai ma vessie sur le visage de Jérémie, qui avala tout ce qu’il put. Roger qui enculait Jérémie avec énergie lui parlait avec des mots orduriers :  » J’adore les chiennes en chaleur comme toi. Tu l’aimes ma bite ! Tu sens comment je te défonce le cul ! Astique-moi la queue avec ton cul d’enculé… ! « . Il sortit subitement du cul de Jérémie et se précipita vers nos visages qui, toute langues dehors, attendaient de déguster son nectar. Le gland, dont la couleur avait viré au bleu, était tellement gonflé qu’on aurait dit qu’il allait exploser. Roger se masturbait frénétiquement et dans un cri, un torrent de sperme jaillit sur nous. Les giclées n’en finissaient plus. Enfin, la source étant tarie, Roger nous demanda à Jérémie de nettoyer sa bite des sécrétions, ce que notre petit esclave obéissant fit goulûment sans rechigner. Enfin, quand sa bite fut bien propre, Roger urina longuement sur Jérémie qui, n’ayant toujours pas joui, se masturbait. Enfin, il jouit à longues saccades, les yeux révulsés par le plaisir.

Lorsque nous fûmes tous remis de nos émotions, Roger nous annonça alors que nous étions murs pour être présentés à un groupe d’amis qui avaient beaucoup de choses à nous apprendre. Nous étions loin de nous imaginer ce qui nous attendait et qui fera l’objet d’un prochain récit.

Chrystelle boumise

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