Des vacances peu reposantes

Première partie : Weekend au soleil – histoire érotique

Durant cet été Pierre et Béatrice ont prévu de partir 5 jours dans le sud de la France. Des vacances très attendus pour un couple d’entrepreneur dans la trentaine. Béatrice a une boutique en ligne qui ne lui laisse que peu de temps de repos, 33 ans, 175cm et 70 kilos. Une silhouette élancée, un peu sportive aussi, mais surtout, très sensuelle qui s’harmonise à merveille avec la taille de sa poitrine. Un joli 95C. Pierre est lui aussi entrepreneur, mais pas dans le même domaine. Lui son domaine d’expertise c’est le bâtiment, la rénovation. Grand brun d’un mètre quatre-vingt pour 90 kilos, une gueule de baroudeur avec sa barbe mal taillée, mais un cœur grand comme ça. Son seul regret, c’est de ne pas avoir assez de temps pour profiter des loisirs et de sa femme.

Les vacances commencent plutôt bien. 5 heures de route minimum s’annoncent et il fait beau. Le seul bémol est que la climatisation du Volkswagen Amarok a lâché la veille. Trop tard pour la faire réparer, mais ce n’est pas cela qui va gâcher les vacances.

Pierre et Béatrice ont pris la route à 7 heures du matin, mais il fait déjà chaud à 10 heures. Impossible de rouler les fenêtres fermées, il est donc difficile d’avoir une conversation sur l’autoroute. Heureusement, Pierre et Béatrice savent très bien s’occuper sans avoir besoin de parler. Béatrice passe son temps à caresser le pantalon de son mari, allant toujours plus près de son phallus serré dans son jean.

Pierre essaie tout de même de garder le contrôle sur la route mais sa femme lui donne tellement envie qu’il décide de s’arrêter sur une aire d’autoroute.

-Ca va être à mon tour de m’occuper de toi maintenant. 1 heure que tu me caresses, je n’en peux plus.

-Ah bon, et tu vas faire quoi gros malin ? Tu vas me prendre là ? Devant tout le monde.

L’aire d’autoroute est blindée. Ils ont juste le temps de trouver une place de stationnement, mais Béatrice a raison. Il n’est pas possible de faire quoi que ce soit avec autant de monde sur le parking.

-Déshabille toi maintenant !

-Quoi ! Mais ça va pas toi !

-Allez. Personne ne nous connait et dès que tu es déshabillée, on repart. Promis

Béatrice ouvre son chemisier ample bouton par bouton en regardant dans toutes les directions pour être sûr que personne ne regarde. Elle fait glisser une manche, puis l’autre. Place les bras dans le dos, dégrafe le soutien-gorge en dentelle blanche, le jette à la tête de Pierre.

-C’est bon là. On peut y aller ?

-Non. Retire tout. Culotte, jupe etc.

Béatrice dé zippe la jupe, la laisse tomber sur le sol. Elle se cambre et fait glisser un joli petit string noir jusqu’à ses chevilles. Avec ses pieds elle ramasse jupe et string et d’un geste élégant les envois valser sur la tête de Pierre.

Celui-ci s’empare de tout, démarre le 4×4, enclenche la marche arrière et part assez rapidement au point que les personnes à coté se retournent.

-C’est malin, tout le monde me regarde maintenant.

Pierre attend la sortie de l’aire d’autoroute et jette toutes les affaires de Béatrice par la fenêtre.

-Mais tu es devenu fou ! Je fais comment maintenant ? Je ne vais pas sortir toute nue de la voiture. Tout le monde va me voir ! T’es vraiment un grand malade.

-Tu as joué avec moi assez longtemps aujourd’hui. Moi aussi j’ai envie de toi, mais c’est pas possible, enfin pas pour l’instant.

-Explique-moi comment je vais faire pour sortir de la voiture maintenant ! Tu as intérêt à trouver une bonne solution !

-Je verrai ça plus tard dit-il pour toute réponse sa main commençant déjà à se rapprocher des magnifiques seins de sa femme.

Énervée comme rarement, Béatrice lui dégage l’un main d’un revers de la sienne, mais celui-ci insiste plusieurs fois et finit par avoir gain de cause. Béatrice se laisse caresser le sein gauche. Délicatement, tendrement, juste ce qu’il faut de caresse pour calmer Béatrice et petit à petit l’exciter.

-Profitons des vacances ma chérie. Ça ne nous arrive pas assez souvent.

-Tu m’énerves !

-Tu ne me caresses plus ?

-Tu ne le mérites pas !

-Alors caresse toi devant moi. Fait toi plaisir.

30 minutes passent mais Béatrice tient tête et bougonne sans cesse quand elle commence à écarter les cuisses, remonter les pieds sur le tableau de bord et se caresser l’entre jambes.

-Tu vas voir si on ne va pas en profiter. Ralenti un peu.

Béatrice écarte de plus en plus les jambes. Elle se masturbe tranquillement le clitoris, caresse ses petites lèvres, pénètre du bout des doigts et les fait lécher à Pierre.

A chaque fois qu’il double un camion, c’est un concert de klaxons et d’appels de phares.

-C’est ce que tu voulais lui demande elle ?

-Entre autres.

-Tu es fou !

 

La sortie d’autoroute n’est plus qu’à quelques centaines de mètres. Béatrice ne bouge pas le moins du monde et compte bien tourner cet épisode à son avantage.

-Ne passe pas au guichet automatique. Prend celui avec du personnel.

-Oh ! Parfait madame

Ni une ni deux, Pierre dirige le 4×4 vers le seul guichet qui est occupé par quelqu’un.

Un charmant jeune homme ouvre sa fenêtre à l’arrivée du gros 4×4, d’abord sans rien remarqué, puis il voit Béatrice. Celle-ci ondule dans le 4×4 en ayant les jambes sur le tableau de bord, ses mains glissées entre ses jambes, ses seins pointant vers le ciel.

-Pas trop dur votre journée demande Pierre au jeune homme.

-Il y a des jours plus sympas que d’autres dit-il en lançant un clin d’œil à Béatrice.

Le 4×4 démarre et quitte le guichet de péage.

30 minutes de routes de campagne, d’un virage à l’autre, tantôt en sous-bois, tantôt en plein soleil. C’est à 5 kilomètres de leur village cible que Pierre remarque un petit chemin à l’abri des regards. Il engage le 4×4 sur ce chemin pendant une centaine de mètre, coupe le moteur, descend de voiture pour aller voir Béatrice qui a encore les jambes en l’air.

Le temps d’ouvrir la porte, il se baisse et fait tourner sa femme d’un quart de tour et se lance dans un cunnilingus intense.

Il ne faut pas 5 minutes de caresses buccales à Béatrice pour atteindre le 7eme ciel.

Pierre lèche encore et toujours, il fait tourner sa langue sur son clitoris gonflé de désir, il pointe du bout de la langue le passage de ses petites lèvres. Béatrice ondule, se crispe, se cambre et crie de toutes ses forces.

Descendue à la quatrième vitesse et retournée, Béatrice offre un cul bien tendu à son homme. Celui-ci se dépêche de laisser sortir son sexe et pilonne le sexe de sa femme en s’agrippant aux hanches.

-Oh oui baise moi. Ça fait longtemps !

-Bouge pas, tu ne vas pas être déçu

Pierre s’active encore quelques minutes en transpirant à grosses gouttes par ces 35°C à l’ombre. Béatrice gémit tout ce qu’elle peut. Elle s’accroche à la portière, au siège, à tout mais ces coups de boutoirs sont si bons qu’elle en veut encore plus.

Pierre finit par éjaculer en elle en se cambrant bien fort pour aller encore plus loin en elle.

Il faut bien 2 minutes à chacun pour se remettre de leurs émotions. Le sperme et la cyprine coulent du sexe de Béatrice tombant sur un sol sablonneux et poussiéreux.

-Et maintenant, je remonte comme ça dans ta voiture ?

-Oui mais assis toi sur le bord d’abord.

Pierre aide Béatrice à s’assoir et à se tourner vers lui. Il se plie en deux et vient lécher son sexe. Pierre lèche le sexe, avale ce mélange de sperme et de cyprine. Béatrice lui caresse les cheveux et finit par lui plaquer la tête sur son sexe en laissant rouler ses yeux en arrière. Un orgasme encore plus grand la surprend.

-Je t’avais bien dit que je le ferai un jour !

-Et bien. Les vacances commencent plutôt bien ! si ce n’est mes vêtements bien sûrs.

Avant de reprendre place au siège conducteur, Pierre s’empare d’un petit sac qu’il tend à son épouse.

-Tient met donc ceux là

-Tu avais tout prévu ! T’es incroyable toi !

-Ne me remercie pas…

Béatrice ouvre le sac et y découvre une petite robe blanche, évasée au jambes, serrée aux cuisses et hanches, largement fendue dans le dos et avec un décolleté fort prononcé.

Il lui faut à peine deux minutes pour passer la robe, le string blanc et les escarpins avec des talons de 8 centimètres. Pierre ne lui a pas choisi de soutien-gorge préférant voir les deux globes se dessiner sous la robe et réagir aux courants d’air frais.

Pierre redémarre la voiture, refait le bout de chemin en marche arrière. Direction le logement de vacances.

-J’en reviens pas de ce que tu as manigancé ! T’es vraiment incorrigible !

-Moi aussi je t’aime ma chérie !

-Rahhhh tu m’énerves

-Ca ne t’a pas plu ?

-C’est pas le sujet !

-Alors ne te plains pas. D’ailleurs, si on profitait de ces vacances pour aller plus loin ?

-Comment ça ?

-Et si on en profitait, tous les deux, pour réaliser nos fantasmes, dans la limite que l’on se fixe. 5 jours de vacances. 5 fantasmes chacun, avec l’accord de l’autre. Ça te va ?

-Euh, je ne sais pas…

-On en reparle toute à l’heure. Regarde, on arrive, c’est là dit Pierre en pointant du doigt le bâtiment.

Une petite maison sans étage comme on en trouve partout dans le Sud. Un portail opaque ne laissant pas deviner ce qui se passe dans la cour, dans le jardin. Une haie taillée au cordeau éliminant autant le point de vue que les regards indiscrets. Une terrasse couverte sur l’avant et une sur l’arrière bien plus grande. Les deux pignons de murs sont orientés nord sud laissant passer le soleil comme il faut en évitant la chaleur du midi tant que possible. La chambre est sur le pignon nord, la cuisine et la salle de bain sur le pignon sud. Au milieu, une grande pièce de 30 mètres carré, deux larges baies vitrées et une salle de bain. La salle de bain est composée d’une vasque, d’une douche à l’italienne et d’une baignoire d’angle simple, sans buses d’air, mais spacieuse pour deux personnes. Dans le jardin quelques gros pots de fleurs sont disséminés de ça de là et un gros chêne centenaire jette son ombre sur le pignon sud et le mur ouest de la maison.

Sous la terrasse arrière, un barbecue gaz, un jeu de chaises longues, une table et quatre fauteuils confortables attendent.

La chambre est équipée d’un grand lit avec une armoire 3 portes juste en face dont 2 des portes comportent un miroir qui agrandissent la pièce incroyablement. Sur les cotés du lit, une table de chevet pour chacun et un fauteuil à accoudoirs terminent la décoration.

Béatrice se charge de défaire les valises et en profite pour passer une tenue plus confortable.

Elle choisit un short en jean qui descend jusqu’au pli des fesses et dont les poches sont si tendues qu’aucun smartphone ne peut y être glissé.

Pendant ce temps, Pierre s’occupe de vider la glacière électrique contenant les provisions pour la première journée, de déboucher une première bouteille de rosé pamplemousse et d’allumer le ballon d’eau chaude. L’installation à deux et pour deux est rapidement faite, pour le plus grand plaisir du couple qui va pouvoir se reposer un peu, enfin, après ces 6 heures de route.

-Béa, tu viens, je t’ai servi un verre de rosé pamplemousse. Je suis à la terrasse.

Béa ne répond pas immédiatement et arrive à la terrasse. Pierre en reste bouche bée, les lèvres à seulement quelques millimètres de son verre. Estomaqué comme un jeune homme lors de sa première vision d’une femme nue avant de faire l’amour.

-Ché…chérie, tu … es magnifique lui dit il

-Heureux que ça te plaise dit-elle sur un ton légèrement malicieux. Alors comme ça, tu as décidé de franchir le cap de savourer ma cyprine et ta semence, mais en plus tu aimerais coquiner toutes les vacances. Qu’est ce qu’il t arrive ? tu commences déjà ta crise de la quarantaine ?

-Non pas du tout. C’est jusqu’à la maison on n’est pas beaucoup ensemble, pas assez. Dans tous les sens du terme. Et comme on avait déjà parlé de nos fantasmes, je pense que c’est quand même plus pratique de le faire ici où personne ne nous connait. Reste à savoir lesquels maintenant, et si ça te convient.

-Si ça me convient ! ? Tu sais que oui. J’ai trop souvent envie de toi, et j’ai aussi quelques idées en réserve, mais je ne sais pas.

-Écoute, on fixe les limites, pas de souci et on voit. Osons et prenons plaisir. Qu’est ce qui peut nous arriver ?

-Rien c’est sûr.

-On pourrait peut-être faire l’amour dans les toilettes d’un restaurant. Qu’en penses-tu ?

-Oui bien sûr, mais quelque part, autant ça me tente, autant je ne trouve pas cela être un fantasme.

-Ah bon…

-Bon ok, alors ce soir, au lieu de manger notre boite de conserve au barbecue et bien on sort et on fait ça. Ça te va ?

-Oui bien sûr

-On profite de la terrasse. Je repasse ma robe que tu aimes tant à première vue et on y va.

-A moins que je ne te déshabille de ton short avant… Buvons un verre à la santé de ces bonnes vacances.

-Santé. Et toi, quels seraient tes fantasmes ?

-J’en ai tellement répond Pierre en avalant une grosse gorgée de rosé pamplemousse. Par où commencer. Faire l’amour avec deux femmes. Me faire sodomiser. Essayer avec un homme. Voir un homme te faire l’amour sans participer. Se promener nu dans les bois. Aller dans un camping très coquin. Être ton jouet sexuel toute une nuit ou plus.

-Ah oui tu ne manques pas d’imagination

-Et toi ce serait quoi ?

-Faire l’amour avec un homme noir. Me faire baiser devant toi. Vu que tu parles de sodomie, j’avoue que moi aussi j’aimerai bien te voir en train d’être sodomisé et pourquoi pas te sodomiser, mais pas d’un doigt, avec quelque chose de plus gros. Tester la double pénétration également. Être le plateau repas de toi et tes potes…

-Humm intéressant tout cela. 5 jours ne vont pas suffire j’ai l’impression.

-Sur ces belles paroles, tu n’as pas envie de commencer ?

-Terminons notre verre et je suis à toi.

Les amoureux rangent les verres un petit bout de temps plus tard. Pierre prend ses clés de voiture, Béatrice son petit sac à main, les smartphones sont jetés dans le fond de celui-ci.

-Au fait, tu sais où on mange ? Demande Béatrice.

-Pas le moins du monde. On verra bien

-Ok

Le 4×4 sillonne les petites routes sans grande direction précise. Le couple profite du paysage, du soleil descendant au-dessus des arbres et commençant enfin à arrêter de surchauffer les corps.

-On commence enfin à respirer un petit peu

-C’est ce que j’étais en train de me dire. Tu n’as pas envie qu’on trouve rapidement un restau avec une belle terrasse pour manger et siroter quelques verres. J’ai grand besoin d’un mojito dit Béatrice.

-Je fais au plus vite

Quelques minutes plus tard le 4×4 entre d’un petit patelin du sud. L’entrée du village oublié par le temps est typique. De vieilles bâtisses faites de grosses pierres. Des enfants qui courent après un ballon. Un vieux chien couché à l’entrée d’un porche énorme. Quelques anciens jouant à la pétanque sous l’ombre d’un vieil arbre. Une fontaine magistrale où l’eau s’écoule par un mince filet. Et juste un peu plus bas, un restaurant avec une terrasse ombragée par quelques catalpas.

-Ca me semble plutôt pas mal là-bas dit Pierre

-Oui mais attention aux tarifs

-De toute façon on n’a pas envie de tourner encore longtemps alors bon…

Une place est trouvée de suite, à quelques pas du restaurant. Si Pierre n’attire pas les regards, il en est tout autre pour Béatrice avec sa robe sexy qu’elle a portée durant une partie du trajet.

Les anciens, les jeunes hommes et surtout ces deux beaux serveurs ne manquent pas de la couver du regard.

-Toi tu leur plais bien j’ai l’impression dit Pierre en passant le bras autour du cou de sa belle.

-Fait pas le malin. C’est toi qui m’a offert la robe après tout.

-Je ne regrette vraiment pas. Tu es encore plus belle et surtout plus radieuse. Ça fait du bien d’être en vacances avec toi. Je t’aime.

-Et bien. Qu’est ce qui va nous tomber dessus ! Comme ça, en plein milieu de la rue, tu me balances un je t’aime. Moi aussi je t’aime tu sais.

 

-Une table pour deux ? Demande le premier serveur

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Troisième partie de l’histoire porno : Cocu et fier de l’être – Récit sexe

Aurelien

Coquin amoureux de la plume et des belles photos, Erosto, m' est comme un petit boudoir coquin permettant de mettre par écrit les plaisirs sexuels, les histoires érotiques et les nombreux conseils coquins pour les couples, les hommes et les femmes qui aiment comme moi pimenter leur vie sexuelle et agrémenter les soirées torrides pour le seul plaisir du partenaire

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