Catherine et Jean-Luc

Catherine était devenue ma maîtresse depuis quelques semaines et notre entente sexuelle nous poussait vers d’autres horizons. Elle était parfaite au lit mais au fil des semaines ma libido s’amenuisait et il était temps de trouver une solution pour doper notre relation. Son passé était riche en aventures et certains de ses ex-amants continuaient de la voir à l’occasion des vacances scolaires. C’est bien connu les hommes mariés batifolent quand leurs femmes partent en vacances avec les enfants. Jean-Luc faisait partie de ces hommes qui prenaient contact avant les vacances scolaires. Aux dires de Catherine c’était celui qui était le plus proche de moi en sensualité et en façon de lui faire l’amour. En résumé, elle voulait bien nous avoir tous les deux en même temps dans son lit. Elle nous invita chez elle un soir de la semaine pour nous rencontrer tous les trois. Après avoir fait connaissance autour d’une bouteille de champagne, nous avions déjà planté le décor pour continuer la soirée : Catherine nous avait invité chacun notre tour à danser un slow avec elle et elle avait perdu une bonne partie de ses vêtements dans la danse. Elle n’était plus qu’en soutien-gorge, petite culotte et porte-jarretelles dont elle avait opté pour se rendre plus sexy. C’est vrai qu’elle était désirable et à notre demande elle continua l’effeuillage par un strip-tease des plus torrides. Il ne lui restait plus que ses portes jarretelles, ses bas et ses chaussures quand elle s’approcha de moi. J’embrassais ses seins volumineux (95D) en lui flattant sa croupe. Son sexe était très humide et elle poussa un gémissement au contact de mes doigts. Elle déboucla ma ceinture et baissa mon pantalon. Mon pénis était dressé sur mon ventre et prisonnier de mon slip. Elle prit mon sexe en bouche et le lapa comme une sucre d’orge. Jean-Luc me félicita pour mes dimensions et ma raideur. Pendant qu’elle me suçait avec tout son savoir-faire de grande amoureuse, il se frottait derrière elle en simulant la pénétration. Elle manifestait son plaisir par des gémissements sonores. Après quelques minutes d’une extrême sensualité elle nous invita à la suivre dans sa chambre. Nous connaissions tous les deux son lit, il faisait deux mètres de large. Souvent je la taquinais en lui disant qu’il était fait pour les partouzes. Elle avait sûrement rêvé de cela en l’achetant et enfin il allait servir à nous trois. Elle se coucha sur le dos, caressa son sexe en écartant les cuisses. Nous nous déshabillâmes tous les deux en la regardant se toucher. Nos deux sexes étaient au garde à vous. Celui de Jean-Luc était fin et très long. C’était la première fois que je voyais un sexe d’homme en érection de si près. Il avait la longueur et moi le diamètre. Nous étions complémentaires. Nous l’embrassions sur tout le corps au gré de nos envies. C’est lui qui commença les hostilités en lui mettant sa langue dans le vagin. Il la bouffait en lui écartant bien les cuisses. J’avais opté pour la continuité en lui mettant à nouveau mon sexe dans la bouche. Elle se cambrait en poussant son bassin en avant pour bien sentir sa langue. Je commençais à pénétrer de plus en plus loin sa bouche car je savais qu’elle pouvait me prendre profondément ainsi sans problème. Elle aurait pu faire un remake de ‘gorge profonde’ ou un numéro d’avaleuse de sabres sans problème. Souvent par le passé sa bouche avait soulagé mon désir dans les endroits les plus insolites. Il la prit à la missionnaire en poussant en elle au ras de ses couilles. Elle criait de plaisir et lâcha mon sexe pour ne pas s’étouffer. Je les regardais s’aimer et je trouvais cela très beau. Elle avait mis ses jambes autour de son bassin pour le sentir encore plus profond. Je voyais son sexe la pénétrer sur toute sa longueur. Il ressortait chaque fois pour disparaître comme un sabre. Elle mouillait comme une chienne et chaque introduction était accompagnée d’un bruit ventouse. Il s’arrêta de la pistonner et resta sans bouger au fond d’elle. Elle venait de jouir et son orgasme remplissait la pièce. Il avait réussi à ne pas éjaculer en elle et recommençait de bouger doucement. Elle l’embrassa pour le remercier du plaisir qu’elle avait eu et vint sur moi pour continuer sa chevauchée. Je ne l’avais jamais vue aussi trempée : son sexe était aussi lubrifié qu’après une éjaculation. Malgré le diamètre de mon membre elle s’ouvrit entièrement à moi. D’habitude il fallait dix bonnes minutes pour entrer en elle. Je sentis les doigts de Jean-Luc qui nous caressaient. De temps en temps un doigt inquisiteur entrait dans son vagin en même temps que mon sexe. Il me caressait les couilles en même temps et je trouvais cela très agréable. A ma grande surprise ce contact d’homme ne me repoussait pas du tout. Il se posta derrière elle et mit son sexe dans le sien. Nous étions tous les deux en train de la prendre dans le même trou. Je sentais son sexe contre le mien vibrer au rythme de notre maîtresse. Elle hurlait de plaisir et je sentais son vagin se resserrer de plus en plus. Je ne maîtrisais plus mon plaisir par ma position inférieure. Mes couilles me piquaient, j’allais éjaculer. Mon plaisir entraîna celui de mes partenaires et je sentis les jets de son foutre. En nous retirant je sentis le sperme s’écouler le long de mes cuisses. Elle était pleine comme une outre et nos semences s’échappaient de son sexe comme la mayonnaise d’un tube. Elle embrassa nos deux sexes en même temps et se délecta de nos foutres. Sous l’effet de la caresse ils reprirent tous les deux de la vigueur et c’est elle qui décida de la suite des réjouissances. En plus de connaître nos performances amoureuses, elle savait que nous avions des prédispositions homosexuelles. Souvent elle se servait de ses doigts pour me donner du plaisir en pénétrant mon anus. Elle m’enduisit l’anus de gel lubrifiant et commença une dilatation de mon sphincter dont elle avait le secret. Au bout de quelques minutes il fut complètement ouvert et soumis. Jean-Luc lorgnait mes fesses et son sexe s’approchait de plus en plus de mes arrières. Je sentais maintenant son gland buter contre ma rondelle. C’est elle qui le prit en main et le présenta à mon petit trou. La finesse de son membre le fit entrer sans heurts et je sentis sa tige explorer mes intestins. Elle se caressait en nous regardant et ses doigts écartaient ses lèvres encore toutes mouillées. Je bandais malgré le plaisir que je prenais avec mon cul. J’avais envie de la prendre et m’approchais de sa chatte pour le lécher. Jean-Luc ne me quittait pas et je le sentais de plus en plus dur. Je rampais sur elle en gardant en moi mon sodomisateur. Je profitais de ses coups de boutoir pour me glisser dans son vagin. C’était absolument divin de la baiser en me faisant prendre. Je ne savais plus où était mon plaisir. Je jouissais avec mon cul. Jean-Luc arrêta de me pistonner et sortit de moi. Elle vint sur moi sans lâcher son étreinte et continua de se pénétrer. Je ne voyais pas ce qu’il faisait, mais je devinais ses intentions. Elle ondulait de plus en plus ses hanches en poussant des petits râles. Au bout de quelques minutes il se positionna derrière elle et la pénétra par son anus. Je sentis sa tige contre la mienne. Elle bougeait pour se faire pénétrer par nos deux sexes en même temps. Le rythme était de plus en plus rapide et elle maîtrisait sa jouissance. Elle nous suggéra d’échanger nos positions car elle voulait sentir maintenant ma grosse bite dans son cul. Le passage était tellement ouvert que je n’eus aucune difficulté pour la prendre. Malgré la taille de mon sexe je m’enfonçais en elle jusqu’aux couilles. Elle hurla de plaisir en me demandant de la défoncer comme une chienne. Son anus était complètement ouvert et à chaque fois que je sortais d’elle il restait béant. Elle n’arrêtait pas de jouir et je sentais qu’elle ne réagissait plus à mes coups de boutoir. Elle était proche de l’asphyxie et son corps ne bougeait presque plus. Elle n’était plus qu’un trou et j’avais du mal à en finir. Jean-Luc avait joui en elle et son foutre coulait le long de ses cuisses. Il se tourna en me demandant de le prendre à son tour. Ses petites fesses rondes m’excitaient énormément. Au contact de mes doigts son anus se relâcha. Un peu de gel lubrifiant facilita l’introduction de mon sexe. Ce n’était pas une première main mais il était beaucoup plus serré que celui de Catherine. Nous étions accouplés comme deux homosexuels et lui prenait un pied d’enfer avec mon gros calibre. Catherine avait ouvert les yeux et nous regardait en nous encourageant. Elle approcha sa main de mes testicules et les pressa comme pour les faire couler. Au contact de ses doigts je déchargeais dans le cul de Jean-Luc. Elle but mon foutre qui s’écoulait de son trou et nous embrassa tous les deux sur la bouche.

Depuis nous nous revoyons tous les trois à chaque vacance scolaire et de temps en temps je revois Jean-Luc en solo dans un sauna ou un hôtel. Nous sommes tous les deux décidés de vivre complètement notre bissexualité.

Marc bunjeuno

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