Betty et Bob

Bonjour à tous,

Je suis le prototype du petit gros, et je m’appelle Bob. Je travaille dans une boite d’informatique et j’aime assez mon job. Mes collègues sont sympas, et parmi un petit groupe qui se retrouve parfois pour boire un coup le soir, il y a Betty. Betty est une jolie brune de 25 ans avec une paire de seins (95C) qui fait envie à tout le service. Cependant, elle est réservée et discrète.

Un soir de sortie entre copain, Betty avait un peu abusé sur la boisson et dès 20h avait envie de dormir. Bien que nous essayions d’en profiter et de l’emmener sur un terrain graveleux, elle sourit gentiment à nos blagues vaseuses sans plus. Puis, elle voulu rentrer chez elle pour dormir. Cependant dans son état, elle n’aurait pas été loin. Je me suis donc proposé pour la reconduire chez elle, mes camarades étant trop content de rester à boire un coup.

A peine dans la voiture Betty s’endormi. Arrivés devant chez elle, je l’aidais à monter les étages, puis je l’asseyais sur son lit. Betty habite dans un studio d’une pièce, incluant la douche et l’évier dans un coin, puis la table de bureau et le lit de l’autre coté. A peine posée, celle-ci bascula sur son lit et me remercia dans un demi-sommeil en me disant de tirer la porte. Puis, elle se blottit en position fœtale pour dormir. Brutalement, la vue de sa jupe tendue sur sa culotte dévoilant par transparence un fessier charnu et rebondi me fit le plus grand effet. Mon cerveau se mit à faire 5000 tours, mais la peur du scandale car je suis marié fut plus fort que tout.

Descendant les escaliers, je repensais à ce cul si proche et si inaccessible. De retour chez mon collègue, je sors de ma voiture et en rangeant mes clés de voiture dans ma poche, je sentis les clés de l’appartement de Betty. De nouveau 1000 idées traversèrent ma tête, mais il fallait être très prudent afin que ni Betty, ni mes collègues ne se doutent de quoi que ce soit. Je me suis donc contenté de filer chez l’épicier du coin, qui fait clés et photocopies minute afin d’établir un double du trousseau.

De retour avec mes camarades, j’ai eu droit à un sourire en coin, ainsi qu’à quelques commentaires. « Tu es un rapide toi, elle n’a rien du sentir.. », puis un autre de dire, « de toute façon, elle est trop bien faite pour vouloir de toi. ». S’en était trop, j’étais décidé, il fallait tenter le tout pour le tout. Après minuit, lorsque tous voulurent rentrer, je suis passé devant chez Betty, et je suis rentré avec mes doubles. Si celle-ci se réveille, je pourrai toujours lui dire que je redépose ses clés. Je monte donc à pas feutrés vers le studio. J’ouvre la porte mais la lumière est allumée. J’hésite donc quelques secondes, puis j’entre en annonçant, « j’avais oublié tes clés ». Et la surprise, Betty dormait gentiment installée dans son lit, vêtue d’une chemise de nuit rose, boutonnée sur le devant. Mes paroles ne l’avait absolument pas dérangée, elle dormait totalement détendue, le visage gracieux et pas démaquillée.

L’occasion était trop belle, il fallait que j’en profite. Je m’approchais donc du lit, et j’entrepris de tirer doucement sur les draps afin de voir ou s’arrêtait la chemise de nuit. Le drap délicatement tiré me dévoila ses genoux dont je ne connaissais rien car Betty ne porte que des jupes longues ou des pantalons. Une idée me vint, et je redescendait dans ma voiture prendre ma mallette de boulot. En effet, la construction de sites internet me demande parfois de prendre quelques clichés, je dispose donc en permanence d’un appareil numérique. De nouveau remonté, j’entre à pas de loup, et j’entends Betty émettre un léger ronflement des plus rassurant. Je préparais donc mon appareil afin de prendre quelques clichés de Betty allongée dans son lit. Après avoir fait plusieurs gros plans de son visage et des vues globales, j’ai eu peur que le flash ne la tire de son profond sommeil. J’ai donc ouvert son placard pour trouver un linge opaque afin de continuer mes prises de vue sans risque. Le seul linge de taille adapté fut une petite culotte noire unis coté fesse et en dentelle coté sexe. Je lui posais donc doucement sur le visage, l’échancrure sur la tête afin de ne rien poser sur son nez ou sur sa bouche afin de ne pas la réveiller. L’alcool aidant, Betty continua de respirer régulièrement sans esquisser le moindre signe de gêne.

De plus en plus hardi, mon exploration progressa, en effet, je voulais voir cette poitrine dont tous rêvaient. J’ouvris donc un par un les bouton de la chemise de nuit, délicatement, en prenant soin de ne pas effleurer la peau de Betty. Après quelques minutes de travail consciencieux, j’arrivais à mes fins, et tous les boutons avaient sautés. J’ouvrir donc avec mille précautions le pan de la chemise de nuit, afin de dévoiler un sein. Je m’attendais vu leur poids à trouver un œuf sur le plat, mais grande fut ma surprise. En effet, grâce probablement à son jeune âge, même allongée, Betty avait le sein en forme de poire aplatie, mais faisant dresser fièrement le téton vers le haut. Les deux pans écartés, je pu profiter du spectacle de ses seins, des auréoles brun clair d’environ 3cm de diamètre et de tétons de la taille d’un petit poids. Subjugué par cette merveille, mon appareil crépitât de nombreuses fois sous tous les angles.

J’étais tellement attiré par les seins de Betty dont j’avais longtemps rêvé en secret, que j’avais totalement oublié son sexe dévoilé par l’ouverture des boutons. Un coup d’œil sur ma montre m’indiqua qu’il y avait déjà une heure que j’étais là.

Le sexe de Betty était celui d’une vrai brune, avec un toison épaisse, et visiblement peu entretenu. De grandes boucles brunes s’étendaient sur son pubis. Après quelques photos, j’ai eu envi de pousser plus avant mon exploration de cette forêt brune. Il me fallait donc lui faire ouvrir les jambes, sans que cette manœuvre ne réveille Betty. Je décidais donc de refermer les pans et les boutons de la chemise de nuit, d’enlever la culotte de ses yeux en la mettant provisoirement dans ma mallette et de cacher celle-ci sous le lit et d’éteindre la lumière afin qu’en cas de réveil inopiné, je ne sois pas surpris.

Avec un stylo à la marque de notre société pris sur son bureau, je décidais donc de lui chatouiller le genou comme pour simuler la présence d’une mouche. Après deux contacts furtifs, Betty entrepris de se gratter en gigotant son bras jusqu’à présent le long de son corps. L’effet ne fut pas immédiat, mais après plusieurs stimuli, et quelques grognements, Betty s’immobilisa et reprit une respiration régulière. En allumant la lumière de son bureau, je pu constater l’effet de ma stratégie. Betty avait laissé sa main sur son genou comme pour se protéger de cette mouche. Elle avait donc la jambe pliée et placée quasiment à l’équerre. Après une nouvelle séance de boutons, je pus enfin voir son sexe couvert de boucle plus que légèrement entrouvert. J’approchais donc la lampe de bureau de son intimité et à nouveau, je pris une série de cliché généraux, puis quelques gros plans. Je voyais très nettement ses grandes lèvres garnies de poils noirs, ainsi qu’une des ses petites lèvres d’un rose vif, l’autre étant cachée dans le replis de sa jambe restée droite. En haut de ses lèvres, je pouvais nettement apercevoir le capuchon de son clitoris et en dessous, je pouvais deviner le puits de son anus.

Une idée me vint soudainement en pensant que je connaissais maintenant Betty mieux que mes collègues ne le feront jamais. Mais pour connaître quelqu’un, il faut en connaître tous les détails. Je pris donc sur son bureau une petite règle carrée d’écolier, et je la posais délicatement à coté de sa vulve. Ainsi mesurant la longueur des ses grandes lèvres, celle des petites, puis la distance entre l’entrée de son vagin et le haut du capuchon de son clitoris. Pour chaque prise je bougeais délicatement la règle afin de positionner le zéro à l’endroit voulu. Enfin, je décidais de descendre la règle au niveau de son anus pour mesurer la distance entre ses deux trous. A peine la photo prise, que la règle calée en équilibre tomba vers le fond du lit, et sa partie supérieure vient frapper doucement le capuchon du clito de Betty. Celle-ci réagit immédiatement, je n’eu que le temps d’éteindre la lampe. Elle referma ses jambes et se mit sur le coté, ses mains serrées entre ses deux genoux. Il me fallu plusieurs minutes afin d’être sur que Betty s’était profondément rendormie. J’ai ensuite allumé la lampe de bureau afin de ranger mon appareil et de disparaître au plus vite. C’est alors que je fis le tour du lit pour ramasser mes affaires. En arrivant derrière Betty, j’eu à nouveau la vision de ce soir. Ces fesses fermes tendues dans sa jupe me revinrent en mémoire, mais cette fois, il n’y avait plus de jupe. Ses Fesses étaient toujours fermes et bien tendues par la position. Le sillon très profond séparant les deux globes de chair me laissait apercevoir la collerette de son anus. Je pris donc mon appareil pour prendre de photos sous cet angle, après plusieurs plans distant, je zoomait au maximum et en pleine lumière de la lampe de bureau pour immortaliser cet anus si bien dessiné. Ce n’est qu’à la troisième prise que j’aperçus un coin de plastique bleu émergeant des boucles brune de son sexe.

Il s’agissait du bout de la règle qui était maintenant profondément emprisonné entre les grandes lèvres et les jambes de Betty. Seul un minuscule bout bleu dépassait du coté de l’anus, et un morceau de quelques centimètres dépassait des boucles du pubis. Je me disais déjà que dans l’impossibilité de refermer les boutons, Betty aurait pu croire qu’elle les avait oublié sous l’effet de l’alcool, mais de la à se réveiller avec une règle de 20 cm coincée dans la vulve, la chose est plus difficile à oublier. Il me fallait donc obligatoirement récupérer l’objet. Apres quelques grattouillis de crayons sur les jambes, rien n’avait bougé, j’ai donc décidé de jouer le tout pour le tout, d’éteindre et de faire osciller doucement le bout de la règle côté pubis. Après quelques mouvements et une bonne frayeur de ma part, Betty se replace les mains entre les genoux, et j’en profite pour extraire la règle. Attendant quelques minutes le retour d’un souffle régulier, je rallume la lumière et au moment de reposer la règle, je vois que celle-ci brille à la lumière. En effet, après un passage sous mon nez, la règle sent très nettement la cyprine. La présence de la règle n’a donc pas laissée Betty indifférente dans son sommeil. Je décide donc de conserver la règle en souvenir et je la range dans ma sacoche. A peine celle-ci refermée, j’aperçoit le sein de Betty sortit de la chemise, et le téton n’a plus le même aspect que tout à l’heure. L’auréole est beaucoup plus foncée et forme un cône sur lequel pointe un téton ressemblant plus à une framboise qu’à un petit pois. Je ressors donc mon appareil pour immortaliser ce moment. Puis croisant à nouveau la règle, je décide de mesurer les tétons turgescents. Il fait 1,8 cm de long sur 0,9 cm de diamètre. En rangeant mon matériel, je cherche un moyen un jour de prouver que c’est bien moi qui ait réaliser ces clichés. Soudain, voyant les nouvelles cartes de visite de notre société, l’idée me vint. Le O de notre société est remplacé par un trou, d’environ 1 cm de diamètre. Je mis donc ma carte sur le téton érigé de Betty, et je pris donc une série de cliché, des plus éloignés au plus proches.

Je suis ensuite reparti en conservant la règle et la culotte dans ma valise. Betty était nue dans son lit, avec son drap sur elle. Ma collection de photos était d’environ 180 images.

bobetty liveutcha

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